Histoire des Français depuis les temps des Gaulois jusqu'en 1830: Les Valois (âge de transition de la féodalité : 1328-1598)Paulin et Hetzel, 1838 - 610 sayfa |
Diğer baskılar - Tümünü görüntüle
Sık kullanılan terimler ve kelime öbekleri
alliance alliés Anglais Armagnacs armée armes assemblée assiéger attaquer avaient bataille Bourbon bourgeois Bourguignons c'était calvinistes cardinal catholique cents Charles VII chefs clergé comte comte d'Armagnac concile concile de Bâle connétable couronne d'Aragon d'Armagnac dauphin déclara devant duc d'Orléans duc de Bourgogne duc de Bretagne duché Édouard Édouard IV enfin ennemis Espagnols états féodale Ferdinand fille Flandre force François Ier frère Froissard gouvernement guerre Guienne Guise haine Henri VIII huguenots Jean Jeanne jeta l'Allemagne l'Angleterre l'armée l'Église l'empereur l'Europe l'Italie laissa ligue Lorraine Louis XI Luther maison marche Maximilien Mayenne menaça Milan mille fantassins mille hommes mort mourut n'avait Naples Navarre négociations noblesse Normandie ordonna paix pape pays Pays-Bas pendant peuple Philippe Picardie politique princes prit protestants provinces puissance ravages réforme refusa résolu révolte rois royale royaume royaume de Naples s'empara s'était secours seigneurs siége six mille soldats Suisses tion traité trève trône troupes Turcs Vénitiens villes voulait
Popüler pasajlar
Sayfa 577 - ... prêtres, et fera de nos ornements et chapes des chausses et des livrées à ses pages et laquais ('). » Enfin les ligueurs sollicitèrent la cour de Rome de venir à leur aide. Grégoire XIV, qui venait de succéder à Sixte-Quint, était tout dévoué à l'Espagne et à la cause catholique : il envoya une petite armée en France avec de grosses sommes d'argent, renouvela l'excommunication contre Henri, et fulmina les bulles les plus violentes contre tous ses adhérents (mars). Ces mesures...
Sayfa 362 - Poët, grand chambellan du roi de Navarre, et datée du 30 septembre 1561. « Honneur, gloire et richesses seront la récompense de vos peines; surtout ne faites faute de défaire le pays de ces zélés faquins qui excitent les peuples à se bander contre nous.
Sayfa 88 - Bonnes gens, vous véez (voyez) bien à votre département quelle chose vous laissiez derrière ;n'ayez nulle espérance de retourner si ce n'est à votre honneur; car vous ne trouverez rien ; et sitôt que orrons (entendrons) nouvelles si vous êtes morts ou déconfits, nous bouterons le feu en la ville et nous détruirons nous-mêmes ainsi que gens désespérés.
Sayfa 28 - Ha, gentil sire, depuis que je repassai la mer en grand péril, si comme vous savez, je ne vous ai rien requis ni demandé : or vous prie-je humblement et requiers en propre don, que pour le Fils de sainte Marie , et pour l'amour de moi , vous veuillez avoir de ces six hommes mercy.
Sayfa 334 - Monsieur, il n'ya point de pitié en moi, car je meurs en homme de bien. Mais j'ai pitié de vous, de vous voir servir contre votre prince et votre patrie et votre serment.
Sayfa 337 - Par quoi , s'il vous plaist avoir cette honnête « pitié , et moyenner la sûreté que mérite la « prison d'un roi de France , lequel on veut « rendre ami , et non désespéré , vous pouvez « faire un acquest , au lieu d'un prisonnier in« utile , de rendre un roi à jamais votre es« clave
Sayfa 595 - Bien public, qui étoit de séparer par intérêts particuliers tous ceux qui étoient ligués contre lui, sous des prétextes généraux ? qui est ce que je veux essayer de faire maintenant, aimant beaucoup mieux qu'il m'en coûte deux fois autant en traitant...
Sayfa 387 - Une semblable association, dans le même corps, de science à un » degré suffisant de profondeur et de zèle infatigable, de travail et » de persuasion , de pompe et de mortification , de propagation et » d'unité systématique, n'a jamais existé, avant eux, dans le monde. » Ils étaient laborieux et mystiques , politiques et enthousiastes ; * c'étaient des gens que l'on aimait à fréquenter, n'ayant aucun inté» rêt personnel , s'aidant tons les uns les autres ; il n'est donc pas » étonnant...
Sayfa 446 - Or, suivit ce prince, je vous veux montrer combien la religion que je tiens est plus douce que celle de quoi vous faites profession. La vôtre vous a conseillé de me tuer, sans m'ouïr, n'ayant reçu de moi aucune offense; et la mienne me commande que je vous pardonne, tout convaincu que vous êtes de m'avoir voulu homicider sans raison. Allez-vous-en, retirez-vous; que je ne vous voie plus ici; et, si vous êtes sage, prenez dorénavant en vos entreprises des conseillers plus gens de bien que ceux-là.
Sayfa 484 - Noue attribue à l'amiral d'avoir dit plusieurs fois, depuis la paix, « qu'il dési« rait plutôt mourir que de retomber en ces confusions, et voir devant ses