Défense de l'ordre social contre les principes de la révolution française[Fauche] Octobre, 1798 - 384 sayfa |
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abus Assemblée Nationale assemblées autorité avoient avoit besoin catholique Christianisme citoyens Clergé Conseil des Cinq-cents conserver Constitution de 1791 Contrat social Convention crime culte décrets démocratie despotisme devoirs Dieu Directoire Divinité doctrine dogmes doit ecclésias établi Etat étoient étoit faction falloit foible force publique galité genre humain gion gouver gouvernemens hommes institutions intérêt justice l'anarchie l'Assemblée l'autorité l'égalité l'Eglise l'Etat l'état de nature l'homme l'intérêt l'ordre social législatif légitime liberté civile ligion lois civiles Lycurgue maxime ment ministres moeurs monarchie Montesquieu morale multitude n'avoit n'étoit nation nationale naturelle nement pacte social passions peuple philosophes populace pouvoir pouvoir législatif pré Prince principes propriété puissance civile puissance souveraine puisse raison religion républicain République française Révolution Révolution française Rois Rousseau royaume sance sauroit sentimens serment seroient seroit seul société civile Souve souveraineté Sparte sujets sureté tion tisme titution toyens tyrannie verain vérité vertu voeu volonté générale دو وو
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Sayfa 228 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Sayfa 214 - Un prince qui aime la religion et qui la craint est un lion qui cède à la main qui le flatte ou à la voix qui l'apaise : celui qui craint la religion et qui la hait est comme les bêtes sauvages qui mordent la chaîne qui les empêche de se jeter sur ceux qui passent; celui qui n'a point du tout de religion est cet animal terrible qui ne sent sa liberté que lorsqu'il déchire et qu'il dévore.
Sayfa 220 - Chose admirable! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie , fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Sayfa 286 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Sayfa 69 - Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Sayfa 69 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Sayfa 221 - Gengiskan , qui ont dévasté l'Asie ; et nous verrons que nous devons au christianisme , et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens que la nature humaine ne sauroit assez reconnoître.
Sayfa 49 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui; ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Sayfa 111 - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Sayfa 185 - État, puisque la proposition contraire est une vérité du droit des gens, que la flatterie a quelquefois attaquée, mais que les bons princes ont toujours défendue comme une divinité tutélaire de leurs États.