Histoire de Fleur l'épine. Le bélier. Les quatre Facardins. Zénéyde. L'enchanteur Faustus. Suite des quatre Facardins et de ZénéydeA.A. Renouard, 1812 |
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Aétius aimoit amant assez auroit aventure avoient avoit Bactriane beau beauté Bélier belle Alie bientôt c'étoit Cachemire calife Caramoussal carcan charmes cher chevalier Childéric chose Circassie Clodion cœur connoissance conte couteau crut curiosité d'Astracan Dentue désespoir devoit Dinarzade dire dis-je dit-il donnoit druide enchantement étoient étoit eût Facardin faisoit falloit fille Fleur d'Épine forêt fût géant grotte homme j'ai j'avois j'en j'étois jamais jour l'enchanteur laissa long-temps Luisante m'en main maître maîtresse malheur ment mère aux Gaînes Merlin Méroué monde mont Atlas Moulineau n'avoit n'en nuit nymphe palais paroissoit parut passer père perroquet personne Pertharite pied Poinçon portoit pouvoit première prince d'Arménie prince de Noisy prince de Trébizonde princesse prit pût récit regards reine renard blanc reste rien rire rivage Rosemonde s'étoient sais sembloit sénéchale Serène seroit seul sorcière sortir sultan sylphides Tarare tendre tendresse terre tête Tigrane trouver venoit vouloit voulut voyoit yeux Zeneyde
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Sayfa 504 - ... serpentoient à droite et à gauche autour de leurs oreilles, et faisoient transir les spectateurs. L'obscurité s'étant enfin dissipée petit à petit, on vit le magicien Faustus, les quatre fers en l'air, écumant comme un sanglier, son bonnet d'un côté, sa baguette de l'autre, et son alcoran magique entre les jambes ; personne, dans cette aventure, n'en fut quitte pour la peur.
Sayfa 8 - Si c'est un crime de l'aimer, On n'en doit justement blâmer Que les beautés qui sont en elle : La faute en est aux dieux Qui la firent si belle, Et non pas à mes yeux.
Sayfa 37 - Plus belle mille fois, réponditil. On n'a que faire de vous demander, ajouta-t-elle, si vous en êtes d'abord devenu passionnément amoureux ; mais dites-m'en la vérité.
Sayfa 254 - De gens sensés, et las de lire Des fables qui ne font plus rire . Les contes ont eu, pour un temps, Des lecteurs et des partisans ; La cour même en devint avide ; Et les plus célèbres romans Pour les mœurs et les sentiments, Depuis Cyrus jusqu'à Zaï<Je, Ont vu languir leurs ornements, Et relie lecture Insipide L'emporter sur leurs agréments.