Théatre de Voltaire, 8. ciltChez Antoine-Augustin Renouard, 1809 |
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Sayfa 438 - Qu'ils jouissent en paix de leurs droits, de leurs biens ; Qu'ils adorent leur dieu, mais sans blesser les miens : Que chacun dans sa loi cherche en paix la lumière ; Mais la loi de l'Etat est toujours la première.
Sayfa 13 - Ce qu'on ne doit point voir , qu'un récit nous l'expose : Les yeux en le voyant saisiraient mieux la chose ; Mais il est des objets que l'art judicieux Doit offrir à l'oreille et reculer des yeux.
Sayfa 334 - J'ai mon Dieu que je sers ; vous servirez le vôtre : Ce sont deux puissants dieux. JOAS. Il faut craindre le mien : Lui seul est Dieu, madame, et le vôtre n'est rien. ATHALIE. Les plaisirs près de moi vous chercheront en foule.
Sayfa 341 - J'approuve cependant que chacun ait ses dieux. Qu'ils avouent que dans les Guebres ce droit naturel est bien plus restreint dans des limites raisonnables , Que chacun dans sa loi cherche en paix la lumière ; Mais la loi de l'État est toujours la première.
Sayfa 326 - C'est un crime innocent dont je fais vanité. Vous verrez si des dieux de métal et de pierre Seront puissants au ciel comme on les croit en terre, Et s'ils vous sauveront de la juste fureur D'un Dieu dont la créance y passe pour erreur : Et lors ces malheureux, ces opprobres des villes...
Sayfa 5 - Il ne fallait pas les louer en face ; recalcitrabant undùjue tuti : c'était la coutume autrefois, mais c'était une mauvaise coutume, qui exposait l'encenseur et l'encensé aux méchantes langues. Le bon vieillard fut assez heureux pour que ces deux illustres Babyloniens daignassent lire sa tragédie persane , intitulée les Scythes. Ils en furent assez contents.
Sayfa 331 - Quoi ! fille de David, vous parlez à ce traître ? Vous souffrez qu'il vous parle? Et vous ne craignez pas Que, du fond de l'abîme entrouvert sous ses pas, II ne sorte à l'instant des feux qui vous embrasent, Ou qu'en tombant sur lui, ces murs ne vous écrasent? Que veut-il? De quel front cet ennemi de Dieu Vient-il infecter l'air qu'on respire en ce lieu?
Sayfa 155 - Tout le monde sait que Gourville ayant confié une partie de son bien à cette fille si galante et si philosophe, et une autre à un homme qui passait pour très-dévot , le. dévot garda le dépôt pour lui , et celle qu'on regardait comme peu scrupuleuse le rendit fidèlement sans y avoir touché.