| Françoise de Motteville - 1824 - 484 sayfa
...septdechaque chambre, pour aller traiter la paix; ce qui donna quelque espérance aux gens de bien , et fit croire ŕ la Reine que les choses se passeroient comme...fort satisfait d'avoir fait résoudre cette seconde députation. S'il en étoit content , les généraux ne l'étoient pas de męme ; elle leur déplut... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1824 - 476 sayfa
...septdechaque chambre, pour aller traiter la paix; ce qui donna quelque espérance aux gens de bien , et fit croire ŕ la Reine que les choses se passeroient comme...fort satisfait d'avoir fait résoudre cette seconde députation. S'il en étoit content , les généraux ne l'étoient pas de męme: elle leur déplut... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1824 - 456 sayfa
...le peuple en fureur; un des séditieux voulut le poignarder. « Mon ami, lui dit-il avec fermeté, quand je serai « mort, il ne me faudra que six pieds de terre. » Son sang-froid admirable suffit pour dissiper l'attroupement. Les généraux, qui craignoient que... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1824 - 456 sayfa
...le peupleen fureur ; un des séditieux voulut le poignarder.. « Mon ami, lui dit-il avec fermeté, quand je serai « mort, il ne me faudra que six pieds de terre. » Son sang-froid admirable suffit pour dissiper l'attroupement. Les généraux, qui craignoient que... | |
| 1824 - 458 sayfa
...le peuple en fureur; un des séditieux voulut le poignarder. « Mon ami, lui dit-il avec fermeté, quand je serai « mort, il ne me faudra que six pieds de terré. » Son sang-froid admirable suffit pour dissiper l'attroupement. Les généraux, qui craignoient... | |
| Louis-Clair Beaupoil marquis de Sainte-Aulaire - 1827 - 396 sayfa
...s'approcher de lui , appuyant la pointe d'un couteau sur sa poitrine, il lui dit avec un regard paisible : « Mon ami , quand je serai mort , » il ne me faudra que six pieds de terre. » Retiré enfin dans sa maison , le premier président se prépara ŕ braver les nouveaux dangers... | |
| comte de Sainte-Aulaire (Louis Clair de Beaupoil) - 1841 - 478 sayfa
...de lui , appuyant la pointe d'un couteau sur sa poitrine , il lui dit avec un regard paisible : « Mon ami, quand je serai mort , il ne me faudra que six » pieds de terre. » Retiré enfin dans sa maison, le premier président se prépara ŕ braver les nouveaux dangers qui... | |
| Théodose Burette - 1842 - 752 sayfa
...magistrats; et, la poitrinc menacée par les épées des sédilieux, il se contenta de dire a l'un d'eux : « Mon ami, quand je serai mort , il ne me faudra que six pieds de terre. » Dčs lors le Parlement eut honte de l'abandonner; le traité de Rueil fut adopté, sauf quelques... | |
| Henri Martin - 1851 - 730 sayfa
...séditieux ayant crié : « A mort! » sur lui. il le regarda tranquillement : « Mon ami, «dit-il, « quand « je serai mort, il ne me faudra que six pieds de terre!» puis il s'en alla « sans se hâter d'un pas (27 février)1. » « Si ce n'étoit pas une espčce de... | |
| Louis-Phocion Todičre - 1852 - 424 sayfa
...menaça de le tuer. « Mon ami , lui dit « l'intrépide magistrat en le regardant tranquillement , « quand je serai mort , il ne me faudra que six pieds « de terre ! » Puis, « sans se hâter d'un pas, il s'en alla chez lui (1). » Le parlement s'assembla donc le... | |
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