Chefs-d'œuvre dramatiques, 4. ciltMassonet yonet, libr., 1828 |
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affreux Agamemnon ALDAMON Allez AMÉNAÏDE amour ARGIRE Argos ASSÉLI barbare bras brave Byzance CATANE cendre cher chevaliers CLYTEMNESTRE cœur coupable courage courroux crainte crime cruel d'horreur d'Oreste daigne destin dieu dieux digne dois douleur ÉGISTHE ÉLECTRE enfant ennemis Épidaure époux esclave est-il ETAN Euripide FANIE fatal fille fils frémir funeste fureur GENGIS gloire haine Hélas héros horreur horrible hymen IDAMÉ indigne infortunés IPHISE j'ai j'en jour l'amour l'Orphelin larmes lieux lois long-temps LORÉDAN madame mains maître malheureux mère meurs mort mortels mourir ô ciel OCTAR Orbassan ORESTE OSMAN outrage PAMMÈNE pardonnez parle père peuple peut-être pitié pleurs Plistène punir PYLADE respecte rois sacrés sais sang d'Agamemnon sanglant SCÈNE VII Scythe secret seigneur sentiments seul sœur Solamir soldats Sophocle sort suis-je supplice Syracuse Tancrède Théâtre tombeau tragédie trahi tremble trépas triste tromper tyran vainqueur vengeance venger vengeur veux vœux vois voix Voltaire yeux ZAMTI
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Sayfa 179 - C'est d'ailleurs au théâtre seul que la nation se rassemble ; c'est là que l'esprit et le goût de la jeunesse se forment : les étrangers y viennent apprendre notre langue; nulle mauvaise maxime n'y est tolérée, et nul sentiment estimable n'y est débité sans être applaudi : c'est une école toujours subsistante de poésie et de vertu...
Sayfa 13 - On ne put imaginer qu'une femme, un enfant et un prêtre, pussent former une tragédie intéressante : l'ouvrage le plus approchant de la perfection qui soit jamais sorti de la main des hommes resta longtemps méprisé; et son illustre auteur mourut avec le chagrin d'avoir vu .son siècle éclairé, mais corrompu, ne pas rendre justice à son rjief-d'œuvrè.
Sayfa 187 - N'a qu'une liberté faible et mal assurée. Je ne veux point ici vous rappeler ces temps Où nous tournions sur nous nos armes criminelles, Où l'État répandait le sang de ses enfants. Étouffons dans l'oubli nos Indignes querelles. Orbassan, qu'il ne soit qu'un parti parmi nous, Celui du bien public et du salut de tous.
Sayfa 9 - Madame , quelle place pour la galanterie que le parricide et l'inceste qui désolent une famille, et la contagion qui ravage un pays! Et quel exemple plus frappant du ridicule de notre théâtre et du pouvoir de l'habitude, que Corneille, d'un côté, qui fait dire à Thésée : Quelque ravage affreux qu'étale ici la peste, L'absence aux vrais amants est encor plus funeste...