Introduction aux oeuvres de SpinozaBéthune et Plon, 1843 - 210 sayfa |
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absolument infini adéquate affections du corps attributs de Dieu Axiome c'est-à-dire cartésienne cause causes finales choses claires et distinctes concevoir connaissance conséquent Coroll corporel corps humain d'attributs infinis d'autres termes degré démontre Descartes déterminée développement dire doctrine Dualisme effet elle-même ÉMILE SAISSET essence éternel Ethique existe existence fond hommes Ibid infinité d'attributs joie l'activité l'Ame l'âme humaine l'Esclavage l'éternité l'Éthique l'existence l'homme l'idée de Dieu l'idée du corps l'imagination l'Infini l'ordre l'univers des âmes l'univers des corps Leibnitz Lemme Lessing Lettre à Oldenburg liberté libre arbitre loppe Louis Meyer Malebranche ment métaphysique mode de l'Étendue monde mouvement nature de Dieu nécessaire noza objet pable panthéisme parfaite passion Pensée absolue Pensée divine Pensée et l'Étendue perfection principe prophètes Propos puissance qu'est-ce qu'une raison rapport réelle Réforme de l'Entendement rien Schol sens seul Substance suite suivant Spinoza suppose système de Spinoza théorie tion Traité théologico-politique tristesse véritable Voilà volonté
Popüler pasajlar
Sayfa lxviii - ... être détruite et devenir fausse, l'essence de l'autre périrait en même temps. En conséquence, une chose q[ui est la cause d'un certain effet , et tout à...
Sayfa ix - Aussi peut-on dire que Spinosa n'a fait que cultiver certaines semences de la philosophie de M. Descartes...
Sayfa cxxxvii - Spinoza, justement admiré de Schelling : « Notre âme, en tant qu'elle connaît son corps et soimême sous le caractère de l'éternité, possède nécessairement la connaissance de Dieu, et sait quelle est en Dieu et est conçue par Dieu ' . » Maintenant comment s'opère le passage de la vie éternelle de l'âme à la vie temporelle et imparfaite?
Sayfa ccvii - Spinoza, tirée des écrits de ce fameux philosophe et du témoignage de plusieurs personnes dignes de foi , qui l'ont connu particulièrement, par Jean Colerus, ministre de l'église luthérienne de la Haye.
Sayfa xl - J'entends par substance ce qui est en soi et est conçu par soi, c'est-à-dire ce dont le concept peut être formé sans avoir besoin du concept d'une autre chose.
Sayfa clxv - L'âme est une idée. Son être est donc dans la pensée ; son activité, dans l'exercice de la pensée. Plus elle pense, plus elle est, en d'autres termes, plus elle a de perfection et de bonheur. Or la vraie pensée est dans les idées adéquates, les autres idées étant incomplètes et mutilées. La vie la plus libre et la plus raisonnable est donc celle de l'âme qui a le plus d'idées adéquates, c'està-dire qui connaît le mieux et soi-même et les choses*.
Sayfa clvi - Un cheval est excusable d'être un cheval, et non un homme; mais cela n'empêche pas qu'il ne doive être un cheval et non un homme. Celui à qui la morsure d'un chien donne la rage est assurément excusable, et cependant on a le droit de l'étouffer. De même, l'homme qui ne peut gouverner ses passions ni les contenir par...
Sayfa xlv - Un seul soupir de l'âme qui se manifeste de temps en temps vers le meilleur, le futur et le parfait, est une démonstration plus que géométrique de la Divinité 2.
Sayfa lviii - ... l'étendue finie, qui est proprement le corps , et de l'étendue infinie, qui seule convient à la nature de Dieu. Dire que Dieu est étendu, ce n'est pas dire que Dieu ait longueur, largeur et profondeur, et se termine par une figure. Car alors Dieu serait un corps, c'est-à-dire un être fini, ce qui est, suivant Spinoza, l'imagination la plus grossière et la plus absurde qui se puisse concevoir ' . Dieu n'est pas telle ou telle étendue divisible et mobile, mais l'Étendue en soi, l'immobile...
Sayfa xiv - Sacrifiez avec moi une boucle de cheveux aux mânes du saint et méconnu Spinoza ! Le sublime esprit du monde le pénétra, l'infini fut son commencement et sa fin, l'universel son unique et éternel amour...