Théatre de Voltaire, 6. cilt

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Chez Antoine-Augustin Renouard, 1809
 

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Popüler pasajlar

Sayfa 130 - D'abandonner la France au fils de l'étranger. Je vois que de l'Anglais la race est peu chérie, Que leur joug est pesant , qu'on aime la patrie , Que le sang des Capets est toujours adoré. Tôt ou tard il faudra que de ce tronc sacré Les rameaux divisés et courbés par l'orage, Plus unis et plus beaux , soient notre unique ombrage.
Sayfa 313 - Les tragédies étaient souvent de longues conversations en cinq actes. Comment hasarder ces spectacles pompeux, ces tableaux frappants, ces actions grandes et terribles, qui, bien ménagées, sont un des plus grands ressorts de la tragédie; comment apporter le corps de César sanglant sur la scène * ; comment faire descendre une reine éperdue dans le tombeau de son époux, et l'en faire sortir mourante de la main de son fils % au milieu d'une foule qui cache, et le tombeau, et le fils, et la...
Sayfa 78 - Romains, j'aime la gloire, et ne veux point m'en taire ; Des travaux des humains c'est le digne salaire. Sénat, en vous servant il la faut acheter: Qui n'ose la vouloir, n'ose la mériter.
Sayfa 6 - L'ennemi tortueux dont il est entouré. Le sang tombe des airs. Il déchire, il dévore Le reptile acharné qui le combat encore; Il le perce, il le tient sous ses ongles vainqueurs; Par cent coups redoublés il venge ses douleurs.
Sayfa 334 - Cependant je rends service à l'État, j'écris plus de feuilles que personne , je fais enchérir le papier... et à moi rien! Je voudrais me venger de tous ceux à qui on croit du mérite. Je gagne déjà quelque chose à dire du mal ; si je puis parvenir à en faire, ma fortune est faite. J'ai loué des sots, j'ai dénigré les talents;. à peine y at-il de quoi vivre. Ce n'est pas à médire , c'est à nuire qu'on fait fortune.
Sayfa 251 - De nos voisins altiers imitons la constance; De la nature humaine ils soutiennent les droits , Vivent libres chez eux, et meurent à leur choix; Un affront leur suffit pour sortir de la vie ; Et plus que le néant ils craignent l'infamie. Le hardi Japonais n'attend pas qu'au cercueil Un despote insolent le plonge d'un coup-d'œil.
Sayfa 85 - Tu n'as point démenti mes vœux et mon estime. Va, conserve à jamais cet esprit magnanime: Que Rome admire en toi son éternel soutien. Grands dieux! que ce héros soit toujours citoyen ! Dieux, ne corrompez pas cette âme généreuse...
Sayfa 67 - C'est la cause de Rome , il faut qu'on l'éclaircisse. Aux droits de nos égaux est-ce à nous d'attenter ? Toujours dans ses pareils il faut se respecter. Trop de sévérité tient de la tyrannie. CATON. Trop d'indulgence ici tient de la perfidie. Quoi ! Rome est d'un côté, de l'autre un assassin, C'est Cicéron qui parle , et l'on est incertain ? CËSAR.
Sayfa 68 - C'en est trop, je ne vois dans ces murs menacés Que conjurés ardents et citoyens glacés. Catilina l'emporte, et sa tranquille rage, Sans crainte et sans danger, médite le carnage.
Sayfa 325 - La comédie intitulée l'Écossaise nous parut un de ces ouvrages qui peuvent réussir dans toutes les langues, parce que l'auteur peint la nature, qui est partout la même : il a la naïveté et la vérité de l'estimable Goldoni*, avec peut-être plus d'intrigue, de force, et d'intérêt. Le dénoûment, le caractère de l'héroïne, et celui de Freeport, ne ressemblent à rien de ce que nous connaissons sur les théâtres de France; et cependant c'est la nature pure. Cette pièce paraît un peu...

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