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riens ou calvinistes, et que par cette raison le culte divin, ou l'exercice de la religion catholique, ne pouvoit être pratiqué. Mais cette union fut limitée au moyen d'une clause par laquelle le pape Grégoire XIII, d'heureuse mémoire, déclara expressément qu'au cas que les habitants de ces bailliages virssent à se convertir de la foi catholique, les chevaliers de Saint-Lazare devraient donner à chaque curé des paroisses desdits bailliages au moins cinquante ducats par an, lesquels curés devroient être nommés et établis par l'évêque. Or, comme depuis peu, par le moyen des prédications continuelles qui ont été faites en ces quartiers, les habitants de deux de ces bailliages, savoir Ternier et Chablais, au nombre de soixante-quatre paroisses, sont retournés dans le sein de la saincte Eglise, il est nécessaire de les pourvoir de curés suffisants et doctes pour les instruire et catéchiser. Outre cela on ne pourra se dispenser d'avoir pour le moins huit prêtres pour l'Église de Thonon, principale ville de ces baillages, tant pour confesser que pour administrer les saints sacrements; et de plus trois bons prédicateurs, qui ne cessent d'exercer cette fonction apostolique. Il faudra encore réparer les églises, qui sont presque toutes ruinées, et supporter plusieurs autres charges de très-grande dépense.

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C'est pourquoi il supplie très-humblement Votre Sainteté, qu'elle daigne casser et annuler l'union de tous ces bénéfices, de quelque espèce et de quelque condition qu'ils soient, et les appliquer auxdits recteurs, chapelains, prédicateurs, et autres charges nécessaires pour la conservation de la sainte religion; attendu que le sérénissime duc de Savoie, grand maître dudit ordre militaire de Saint-Maurice et de Saint-Lazare, y consent donnant toute permission au seigneur évêque de disposer de sujets pour cette premiere fois, et d'en pourvoir les églises paroissiales et les bénéfices unis, les distribuant selon qu'il verra être nécessaire; et outre cela de choisir trois bons prédicateurs de quelque ordre religieux que ce soit.

II.

Pour obtenir un chanoine théologal.

représente très-humblement à Votre Béatitude. que la pauvreté du pays, ou plutôt la modicité des revenus des prébendes theologales du diocèse de Genève est telle qu'il ne se trouve point de théologiens qui veuillent les accepter, et que cependant ces théologiens sont nécessaires pour prêcher la parolle de Dieu dans un diocèse si misérable, et environné de tant d'hérétiques.

C'est pourquoi le même Claude de Gra nier, évêque de Genève, supplie Votre Sainteté, qu'elle daigne lui permettre de supprimer une prébende monacale des monastères et prieurés conventuels de son diocèse, vacante ou à vaquer; afin qu'il en puisse assigner deux à chaque théologien, selon qu'il verra être expédient ; et au défaut des prébendes, de pouvoir supprimer quelques bénéfices simples des églises dans lesquelles la prébende théologale sera constituée, afin d'y appliquer les fruits; d'autant que par ce moyen le service divin ne sera point diminué dans ces monastères, prieurés et églises, mais plutôt qu'il s'ac croîtra et s'augmentera de jour en jour.

III.

Pour l'assignation des portions congrues. Claude de Granier, évêque de Genève, représente très-humblement à Votre Saintelé, que la plupart des curés du diocèse de Genève sont tellement pauvres qu'ils sont contraints d'abandonner leurs enfants spirituels, au grand détriment de leurs âmes.

C'est pourquoi le même évêque Claude de Granier supplie Votre Sainteté qu'elle daigne lui donner permission et pouvoir de leur assigner une portion congrue toutes les fois qu'il en sera requis, et qu'il le ju gera nécessaire, même hors le temps de la visite générale; laquelle portion congrue sera prise sur les dimes, prémices et offrandes possédées par les abbés, prieurs, et autres ecclésiastiques, nonobstant opposition et appellation quelconque.

IV.

Pour les dispenses de mariage.

Le même évêque représente très-humblement à Votre Sainteté qu'il y a plu sieurs lieux dans le diocèse de Genève où

Claude de Granier, évêque de Genève, tous les habitants sont unis par la consan

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Pour l'absolution de l'hérésie.

Ledit évêque représente très-humblement à Votre Sainteté qu'il y a dans son diocèse un grand nombre de luthériens et de calvinistes, et beaucoup de relaps, qui désirent revenir à la lumière de la foi, et qui ne le font pas, parce qu'ils ne veulent (ou n'osent) pas se présenter devant l'évèque.

Le même Claude de Granier supplie pour cette raison Votre Sainteté de donner permission à perpétuité, tant à lui et à son vicaire qu'à dix ou douze personnes savantes et habiles, telles qu'il les choisira, pour absoudre ces hérétiques ou relaps de quelque hérésie que ce soit : pour cet effet, et afin de pouvoir répondre à leurs objections subtiles et séduisantes, de permettre encore auxdits prêtres de pouvoir sans scrupule de conscience lire et avoir chez eux toutes sortes de livres défendus, et surtout de ceux que les hérétiques mettent tous les jours en lumière, attendu qu'on ne peut pas facilement les convaincre autrement; et il demande cette permission per pétuelle parce que, quand elle est donnée seulement pour un temps, lorsque le temps est fini, et qu'on ne trouve pas de commodités pour envoyer à Rome, plusieurs de

ceux qui veulent se convertir éprouvant de la résistance de la part de l'évêque, se refroidissent, et retournent à leur vomisser ment, ou bien, pendant l'attente de cette permission, viennent à mourir dans le désir de leur conversion, avec un grand détriment de leur âme.

VI.

Pour demander exemption des décimes pour l'évéque.

Votre Sainteté que les revenus de la mense Le même représente très-humblement à épiscopale sont si modiques, qu'à peine ils peuvent suffire pour l'honnête entretien de l'évêque, et surtout dans cette misérable conjoncture de temps, où il ne peut se dispenser de faire de très-grandes dépenses pour la consécration et la bénédiction des églises et des autels..

Ce'st pourquoi il supplie Votre Sainteté qu'elle daigne l'exempter de toutes sortes de payements de décimes concédés au sérénissime duc de Savoie; en sorte que la part qui le regarde soit répartie sur les autres évêques et bénéficiers de Savoie ; qui sont plus riches que lui, et qui ne sont pas obligés à supporter tant de charges et de dépenses.

VII,

Pour que les chanoines de Genève puissent pos‐

seder des cures avec leurs canonicats,

Claude de Granier, évêque de Genève supplie très-humblement Votre Sainteté d'user de dispense avec les chanoines de son église cathédrale, afin qu'ils puissent, en retenant leurs canonicats, posséder les cures, en y mettant des vicaires capables et suffisants pour porter la charge des âmes; attendu que la plupart desdits chanoines sont docteurs et gentilshommes, et ne peu vent pas vivre d'une manière convenable à leur état et à leur qualité, des revenus de leurs canonicats qui n'excèdent pas la valeur de soixante ducats, et qu'ils ne peuvent aspirer à d'autres bénéfices, puisqu'étant tous dépendants du droit de par tronage, ils ne peuvent être obtenus sans la présentation des patrons, lesquels en usent comme et en faveur de qui bon leur semble. Autrement ces pauvres chanoines seront contraints de se séparer les uns des autres, pour n'avoir pas de quoi vivre ; et

de la sorte cesseront de travailler à la vigne du Seigneur et au bien des âmes converties, quoiqu'ils soient presque tous docteurs.

VIII.

Pour affranchir les sujets de l'évêché de plusieurs servitudes.

Le même représente très-humblement à Votre Sainteté que l'évêché de Genève a un grand nombre de sujets ou de tributaires qui sont obligés à une infinité de servitudes qui ressemblent plus le paganisme que le christianisme. Par exemple, lorsqu'ils viennent à mourir sans enfants, leurs biens tombent et reviennent à l'évèque, sans qu'ils puissent disposer d'aucuns de leurs biens par testament, ni être vêtus de drap noir, ni porter sur leur habit aucun bordé, ou la moindre bande de quelque couleur que ce soit. Il y en a même quelques-uns qui sont obligés de veiller toutes les nuits pour faire taire les grenouilles pendant que le seigneur dort: lesquelles choses sont tout à fait indignes d'un chrétien, comme tout le monde le peut voir.

C'est pourquoy il supplie Votre Sainteté qu'il lui plaise donner commission à quelqu'un des prélats de cet état de delà les monts, à l'effet de remédier à ces maux; lequel, après une onne information, avec l'assistance de deux pères jésuites ou capucins, et même, s'il est nécessaire, avec faire son devoir en cette partie, et puisse le secours du bras séculier, soit tenu de avec liberté et une autorité absolue visiter

lesdits monastères, et les remettre sur leur ancien pied, corriger les obéissants, répri expédient pour le salut de leurs ames et mer les rebelles, selon qu'il verra être la consolation du peuple; nonobstant toute appellation ou opposition quelconque; attendu que les supérieurs de ces monastères souffrent tous ces désordres sans y apporter le remède.

X.

Requête pour les chanoines de l'église cathédrale de Genève, présentée par S. François de Sales au nom de tout le chapitre.

Très-saint Père, les suppliants, qui sont tout dévoués à Votre Sainteté, savoir le C'est pourquoi il supplie Votre Sainteté prévôt, le chapitre et les chanoines de l'équ'elle daigne lui donner permission d'af-glise cathédrale de Saint-Pierre de Genève, franchir et délivrer les sujets d'une telle servitude, moyennant une somme de deniers dont ils conviendront, laquelle sera payée à l'évêque, et tournera évidemment à l'utilité de la mense épiscopale, les fruits et biens-fonds ainsi sujets étant convertis

en fiefs et biens emphitéotiques, selon qu'il le jugera nécessaire.

IX.

Pour la réforme des religieux et religieuses. Le même expose très-humblement à Votre Sainteté que presque tous les monastères, tant d'hommes que de femmes, et prieurés conventuels de Savoie et de Génevois, et autres lieux delà les monts des états du duc, sont tellement déchus de la discipline régulière et de l'ancienne observance de leur ordre, monastère ou prieuré, qu'à peine on peut discerner les réguliers des séculiers, parce que les uns sont errants et vagabonds par le monde, et les autres qui demeurent dans leurs cloîtres y vivent dans la dissolution, au très-grand scandale des peuples.

représentent très-humblement que depuis soixante ans et plus, étant chassés de la ville de Genève, et retirés avec l'évêque en celle d'Annecy du même diocèse, où a été jusqu'à cette heure le siége épiscopal, et où ils ont fait leur résidence, et ont célébré les

divins offices, il est arrivé que depuis quelques mois, par la vertu du Saint-Esprit, et par le moyen des continuelles prédications qui ont été faites dans les bailliages du Chablais et de Ternier, des états de Savoie, autrefois hérétiques, presque tous les habitants de ces contrées se sont convertis à la foi catholique, et principalement ceux de la plupart de la ville de Thonon, capitale de ces bailliages, avec soixante-quatre paroisses; à raison de quoi, pour maintenir ceux qui sont nouvellement convertis dans leur bon propos, et engager les autres à en faire de même, tant le révérendissime évêque que les susdits prévôt et chanoines ont délibéré d'aller habiter dans ladite ville de Thonon, et d'y travailler de telle sorte à la vigne du Seigneur, qu'en peu de temps on voie des fleurs et des fruits dans les nouveaux convertis et dans ceux qui ne le sont

pas. Mais parce qu'ils n'ont pas le moyen | Par ce moyen ils pourront se transporter de se soutenir et de vivre décemment, pour à Thonon, et rétablir l'église, pour résider n'avoir pas soixante ducats par an de cha- en cette ville, et y faire le fruit que l'on que canonicat; et qu'en ladite ville de Tho- doit attendre de l'effet de la parole dinon il y avoit anciennement une église et vine; ordonnant toutefois que tous les un couvent de l'ordre des ermites de S. Au- chapelains, bénéficiers et autres, fondés gustin, qui avoit cent écus de rente, et qui dans l'église de Genève, principalement fut supprimé et uni à l'ordre militaire de les douze prêtres de la chapelle qu'on apsaint Maurice et de saint Lazare par le pape pelle des Machabées, qui par leur fondaGrégoire XIII, d'heureuse mémoire, sous tion sont obligés à la résidence, soient prétexte que ces peuples étoient bien éloi- tenus, sans opposition ni exception quelgnés de se convertir à l'Eglise romaine, et conque, de se transporter en mème temps parce que le couvent est ruiné de telle sorte que le chapitre et les chanoines, pour faire que les frères ermites n'auront jamais de leur résidence en cette même ville de Thoquoi le faire rebâtir. non, sous peine pour les absents d'être bannis du chapitre, et privés de leurs bénéfices; en sorte qu'on en mette d'autres en leurs places. Et en ce cas qu'il ne s'en trouve aucun qui veuille consentir à cette résidence, que tous les fruits et revenus de ces chapelles seront appliqués à la mense capitulaire pour la réparation de l'église, et la manutention des autres chapelles qui y seront érigées.

Pour toutes ces raisons, les chanoines, prévôt et chapitre de Saint-Pierre de Genève, supplient très-humblement Votre Sainteté, qu'en détruisant et annulant cette union, elle daigne la transporter à la mense capitulaire, et lui appliquer les fruits de ce couvent, imposant un perpétuel silence sur cela aux chevaliers, attendu que le sérénissime duc de Savoie y consent, et que les chanoines sont pour la plupart docteurs et bons prédicateurs.

FRANÇOIS DE SALES.

Prévôt de l'église cathédrale de Genève.

REQUÊTE

PRÉSENTÉE PAR M. DE CHISSÉ,

CHANOINE DE Saint-Pierre de genève, AU NOM DE SON ÉVÊQUE, PAR LAQUELLE LE PRÉLAT DEMANDE S. FRANÇOIS POUR SON COADJUTEUR. (Vie du saint, par Aug. de Sales, liv. iv, pag. 180 du latin, et 209 du françois.)

Beatissime Pater, exponit humillimè Tuæ Sanctitati Claudius Granierus, episcopus Gebennensis, cùm abhinc annis viginti episcopali dignitate sit oneratus, et præterquàm quòd quinquaginta annos jam prætergreditur, adversis adeò continuò detinetur valetudinibus quæ canitiem dederunt, ut impossibile ferè sibi judicet tam vastam ampliùs regere et gubernare diœcesim, quæ sexcentarum circiter est parœciarum; cùm ita sit ut immensos oporteat tolerare labores, nunc maximè cùm in sexaginta quatuor parœciis cæmeteria, ecclesiæ et altaria benedicenda et consecranda sunt. Undè quò decentiùs

faciliùsque tale onus portare queat, de nobilitate et doctrinâ devoti oratoris et humillimi Tuæ Sanctitatis servi Francisci Salesii, præpositi ecclesiæ cathedralis Gebennensis, plenè et optimè instructus, summopere cuperet uti à Sanctitate Tuâ in adjutorem suum cum futurâ successione admitteretur, simulque cum illo dispensaretur ad retinendam eamdem præpositaram et canonicatum, quorum fructus non excedunt octoginta ducatos; necnon ecclesiam parœcialem parvi Bornandi, quam ex dispensatione apostolica obtinet, et cujus fructus ascendunt ad ducentos circiter ducatos, præter quartam partem om

nium fructuum et redituum ejusdem episcopatus, deductis tamen priùs oneribus, ad cujus assignationem idem episcopus consentit, et quæ poterit ascendere ad summam ducentorum ducatorum circiter quotannis. Quandoquidem ipse Franciscus optatur et desideratur, non ab eodem duntaxat episcopo, sed etiam à serenissimo Sabaudiæ duce, et omnibus iis populis, qui ex habitis continuò ab eo concionibus, non sine magno vitæ periculo abhinc quatuor annis inter calvinianos hæreticos, et exinde secutâ conversione, ejus omnium actionum probationem et viderunt et de die in diem vident. Erit res hæc Deo et hominibus gratissima, et ex singulari admodům Tuæ Sanctitatis gratiâ proveniet. Ita eam Deus optimus maximus quamdiutissimè servet incolumem.

Très-saint Père, Claude de Granier représente très-humblement à Votre Sainteté que depuis vingt ans il est chargé de la dignité épiscopale; et qu'outre qu'il passe déjà cinquante ans, il est sujet à tant d'infirmités et de maladies qui lui ont blanchi toute la tête, qu'il juge qu'il lui est impossible de régir et de gouverner davantage un diocèse si grand et si étendu, qui comprend environ six cents paroisses. Les choses étant telles, il est prêt à succomber sous le faix des immenses travaux qu'il a à soutenir, maintenant surtout qu'il lui faut sacrer et bénir les autels, églises et cimetières de soixante-quatre paroisses. C'est pourquoi, afin de porter cette charge avec plus de décence et de facilité, étant très-bien

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informé de la noblesse, doctrine, piété et probité du dévot orateur, et du très-humble serviteur de Votre Sainteté François de Sales, prévôt de l'Église cathédrale de Genève, il désireroit grandement que Votre Sainteté l'agréât pour son coadjuteur, avec la future succession, et par même moyen lui permit par dispense de retenir la même prévôté et le canonicat, dont les revenus n'excèdent pas quatre-vingts ducats; plus l'église paroissiale du petit Bornand, qu'il possède par dispense du saint-siége apostolique, et dont le revenu monte environ à deux cents ducats; plus la quatrième partie de tous les fruits et revenus de l'évêché, déduction faite au préalable des charges, lui évêque consentant à l'assignation de ladite partie, laquelle pourra monter à la somme de deux cents ducats annuellement. Cela est d'autant plus faisable, que ledit François est souhaité et désiré nonseulement du même évêque, mais encore du sérénissime duc de Savoie, et de tous ces peuples qui ont été témoins des belles actions qu'il a faites en prêchant continuellement au milieu des hérétiques et calvinistes, avec un grand danger de sa vie, pendant quatre années et comme le fruit de ses prédications a été la conversion d'un très-grand peuple, et qu'on voit qu'il fait mieux de jour en jour, on a conçu

de lui une très-bonne et très-douce estime. Ce sera donc une chose agréable à Dieu et aux hommes, que le suppliant tiendra de la faveur singulière de Votre Sainteté; laquelle il prie Dieu de conserver long-temps en bonne santé.

ÉTAT DE L'ÉGLISE DE GÈNEVE,

PORTE DE LA PART DE SAINT FRANÇOIS DE SALES AU SOUVERAIN PONTIFE, 'L'AN 1606, PAR M. JEAN-FRANÇOIS DE SALES, SON FRÈRE, CHANOINE DE SA CATHÉDRALE, QUI ALLOIT A ROME VISITER LES SEUILS DES SAINTS APOTRES, AU NOM DU SAINT PRÉLAT. (Tiré de la Vie de S. François de Sales, p. 296 du latin, et 557 du françois.}

Quo anno pulsus est Geneva episcopus. Septuagesimus primus jam excurrit annus, ex quo Gebennensis episcopus, cum

clero suo civitate sna pulsus, et per summam injuriam bonis omnibus mobilibus ac immobilium parte maxima spoliatus, extí

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