La Revue hebdomadaire, 9. cilt

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Librairie Plon, 1900
 

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Popüler pasajlar

Sayfa 187 - O chère Vision, toi qui répands encore, De la plage lointaine où tu dors à jamais, Comme un mélancolique et doux reflet d'aurore Au fond d'un cœur obscur et glacé désormais!
Sayfa 193 - Honte à toi, femme à l'œil sombre, Dont les funestes amours Ont enseveli dans l'ombre Mon printemps et mes beaux jours ! C'est ta voix, c'est ton sourire, C'est ton regard corrupteur, Qui m'ont appris à maudire Jusqu'au semblant du bonheur; C'est ta jeunesse et tes charmes Qui m'ont fait désespérer, Et si je doute des larmes, C'est que je t'ai vu pleurer.
Sayfa 194 - REGRETTEZ-VOUS le temps où le ciel sur la terre Marchait et respirait dans un peuple de dieux ' ; Où Vénus AStarté ', fille de l'onde amère, Secouait, vierge encor, les larmes de sa mère, Et fécondait le monde en tordant ses cheveux...
Sayfa 231 - Paris qui en ait plus besoin, eu égard à leur grand nombre et à l'extrême pauvreté de leur maison, qui le plus souvent manque de pain ; l'honneur qu'ils ont d'être vos voisins leur fait espérer que vous leur accorderez l'effet de leurs prières qu'ils redoubleront envers...
Sayfa 155 - Tant qu'un homme ne s'intéresse qu'à soi, à sa fortune, à son avancement, à son succès personnel et propre, il s'intéresse à bien peu de chose : tout cela est de médiocre importance et de peu de durée, comme lui-même.
Sayfa 142 - Nous n'avons pas le temps d'aller jusqu'à nous, tout occupés que nous sommes à des choses étrangères. Nous n'avons pas le temps de regarder le ciel qui attend nos regards. » Elle trouvait enfin cette magnifique...
Sayfa 11 - Octobre donnait à la terre une parure d'or. Les teintes changeantes des feuillages coloraient l'horizon. Sur le coteau de Veyrier, elles mêlaient en un bouquet magnifique le vert sombre des sapins, le cuivre rouillé des chênes, le rouge sanglant des vignes et des érables. Les platanes de l'avenue d'Albigny dessinaient sur l'horizon bleuâtre un long nuage doré ; leurs larges feuilles, aimées du soleil, de cette nuance d'or vert que prend le vin du Rhin dans les coupes de cristal, laissaient...
Sayfa 194 - Parfumant de baisers l'Adonis bienheureux, Et n'ayant pour témoins sur le rameau qui plie Que colombes d'albâtre et ramiers amoureux. Et tu n'es pas la Muse aux lèvres éloquentes, La pudique Vénus, ni la molle Astarté Qui, le front couronné de rosés et d'acanthes, Sur un lit de lotos se meurt de volupté. Non ! les Rires, les Jeux, les Grâces enlacées, Rougissantes d'amour, ne t'accompagnent pas.
Sayfa 186 - O fraîcheur des forêts, sérénité première, O vents qui caressiez les feuillages chanteurs, Fontaine aux flots heureux où jouait la lumière, Eden épanoui sur les vertes hauteurs ! Salut, ô douce paix, et vous, pures haleines, Et vous qui descendiez du ciel et des rameaux, Repos du cœur, oubli de la joie et des peines ! Salut ! ô sanctuaire interdit à nos maux...
Sayfa 231 - L'honneur qu'ils ont d'être vos voisins leur fait espérer que vous leur accorderez l'effet de leurs prières qu'ils redoubleront envers le Seigneur, pour la prospérité de votre chère compagnie...

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