| 1823 - 754 sayfa
...apprise des Maures. Elle était persuadée que les hommes pouvaient sans crime avoir des senti mens tendres pour les femmes , que le désir de leur plaire les portait aux plus grandes et aux píos In-Ill"; actions , leur donnait de l'esprit , et leur inspirait de la libéralité et tontes... | |
| 1855 - 682 sayfa
...Madrid, qu'elle avait une haute idée de la galanterie que les Espagnols avaient apprise des Maures. Elle était persuadée que les hommes pouvaient, sans...femmes, que le désir de leur plaire les portait aux grandes et aux plus belles actions, leur donnait de l'esprit, et leur inspirait de la libéralité... | |
| Victor Cousin - 1855 - 582 sayfa
...l'époque de sou plus grand éclat ! 1. Voyez l'ouvrage que nous lui avons consacré. apprise des Maures. Elle était persuadée que les hommes pouvaient sans...pour les femmes, que le désir de leur plaire les portail aux plus grandes et aux plus belles actions , leur donnait de l'esprit et leur inspirait de... | |
| Victor Cousin - 1855 - 574 sayfa
...nous lui avous cousacré. apprise des Maures. Elle élait persuadée que les hommes pouvaient saus crime avoir des sentiments tendres pour les femmes, que le désir de lenr plaire les portait aux plus grandes et aux plus belles actious , lenr donnait de l'esprit et lenr... | |
| Jacques Demogeot - 1859 - 522 sayfa
...de celles dont la beauté faisait le plus de bruit quand la reine (Anne) vint en France (en 1615). Elle était persuadée que les hommes pouvaient sans...de l'esprit et leur inspirait de la libéralité et toute sorte de vertus ; mais que, d'un autre côté, les femmes, qui étaient l'ornement du monde et... | |
| Jacques Demogeot - 1859 - 524 sayfa
...faisait le plus de bruit quand la reine (Anne) vint en France (en 1615). Elle était persuadée que lès hommes pouvaient sans crime avoir des sentiments tendres...de l'esprit et leur inspirait de la libéralité et toute sorte de vertus ; mais que, d'un autre côté, les femmes, qui étaient l'ornement du monde et... | |
| Victor Cousin - 1859 - 562 sayfa
...galanterie que les Espagnols avoient apprise des Maures. Elle étoit persuadée que les hommes pouvoient sans crime avoir des sentiments tendres "pour les femmes, que le désir de leur plaire les portoit aux plus grandes et aux plus belles actions, leur donnoit de l'esprit et leur inspiroit de... | |
| Jules Jolly - 1860 - 506 sayfa
...« On étoit persuadé, » dit que'lque part madame de Motteville, « que les hommes pouvoient, » sans crime, avoir des sentiments tendres pour les femmes; » que le désir de leur plaire les portoit aux plus grandes et » aux plus belles actions, leur donnoit de l'esprit et leur » inspirait... | |
| Victor Cousin - 1862 - 570 sayfa
...chevaleresques que les Espagnols avaient empruntées des Mores. Elle prétendait « que les hommes pouvoient sans crime avoir des sentiments tendres pour les femmes, que le désir de leur plaire leur donnoit de l'esprit et leur inspiroit de la libéralité et toutes sortes de vertus; et que, d'un... | |
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