Histoire de l'administration de la guerre, 4. ciltP. Didot, 1811 |
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acte administrateurs armées armes assez auroit avoient avoit bataillons Bezenval Calonne camp cavalerie cent champ de Mars chargé chasseurs chef cheval colonel commandant compagnie comte comte de Vergennes connoître conseil corps crut d'armes déja dépenses députés devoient devoit dispositions division donner dragons drapeaux escadron états généraux étendards étoient étoit eût faisoit falloit finances foible force gardes françaises garnison gouvernement gouverneur grades grenadiers guerre hommes hôpitaux hussards l'administration l'armée l'assemblée l'état l'infanterie lieutenant Loménie Louis XVI major maréchal de Broglie maréchal de camp maréchal de Ségur marine Maurepas médecins mée ment militaires mille millions Miroménil mouvement n'avoient n'avoit n'étoient n'étoit nationale Necker nistre nobles noblesse officiers Ordonnan ordonnance ordres paix par-tout parceque peuple place plan porter portoient portoit pouvoient pouvoit premier premiere prince principal ministre régiment réglements second sembloit seroient seroit service seul soldats solde stathouder systême tambours tiers-état timbales tion trésor trompettes troupes Turgot Vergennes Versailles
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Sayfa 302 - nous avons entendu les intentions qu'on a suggérées au roi; et vous, qui ne « sauriez être son organe auprès des états généraux, vous qui n'avez ici ni place, « ni voix, ni droit de parler, vous n'êtes pas fait pour nous rappeler son discours.
Sayfa 302 - Moniteur, séance du 23 juin. beau en colère, nous avons entendu les intentions qu'on a suggérées au roi ; et vous, qui ne sauriez être son organe auprès des états généraux , vous qui n'avez ici ni place ni voix, ni droit de parler, vous n'êtes pas fait pour nous rappeler son discours. Cependant, pour éviter toute équivoque et tout délai, je déclare que si on vous a chargé de nous faire sortir d'ici, vous devez employer la force ; car nous ne quitterons nos places que par la puissance...
Sayfa 327 - Sire , nous vous en conjurons au nom de la patrie, au nom de votre bonheur et de votre gloire, renvoyez vos soldats aux postes d'où vos conseillers les ont tirés : renvoyez cette artillerie , destinée à couvrir vos frontières ; renvoyez surtout les troupes étrangères, ces alliés de la nation, que nous payons pour défendre et non pour troubler nos foyers.
Sayfa 302 - Où sont les ennemis de la nation ? Catilina est-il à nos portes ? Je demande qu'en vous couvrant de votre dignité, de votre puissance législative, vous vous renfermiez dans la religion de votre serment ; il ne nous permet de nous séparer qu'après avoir fait la constitution.
Sayfa 326 - Les mouvemens de votre cœur, sire, voilà le vrai salut des Français. Lorsque des troupes s'avancent de toutes parts, que des camps se forment autour de nous, que la capitale est investie, nous nous demandons avec étonnement : Le roi s'est-il méfié de la fidélité de ses peuples? S'il avait pu en douter, n'aurait-il pas versé dans notre cœur ses chagrins paternels?
Sayfa 301 - cette insultante dictature ? l'appareil des armes, «la violation du temple national, pour vous « commander d'être heureux ! Qui vous fait ce «commandement? votre mandataire. Qui vous «donne des lois impérieuses? votre mandataire, «lui qui doit les recevoir de...
Sayfa 250 - Un capitaine-commandant, un capitaine en second, un lieutenant en premier, un lieutenant en second, un sous-lieutenant en premier, un sous-lieutenant en second.
Sayfa 338 - Quand les hommes ont fait tout ce qui est en leur pouvoir, il ne reste plus qu'à se soumettre avec patience aux lois de la nécessité et aux décrets de la Providence.
Sayfa 232 - ... la postérité. Un mousquetaire nommé Girardeau, blessé dangereusement, avait été porté près de sa tente. On manquait de chirurgiens assez occupés ailleurs; on allait panser le prince à qui une balle avait percé les chairs de la jambe : « Commencez, dit le prince, par soulager cet officier français, il est plus blessé que moi, il manquerait de secours et je n'en manquerai pas.
Sayfa 327 - Le danger, sire, est plus terrible encore; et jugez de son étendue par les alarmes qui nous amènent devant vous. De grandes révolutions ont eu des causes bien moins éclatantes ; plus d'une entreprise fatale aux nations s'est annoncée d'une manière moins sinistre et moins formidable.