 | 1864 - 614 sayfa
...dédain, sans voir et sans entendre, « À côté des fourmis, des populations ; « Je ne dislingue pas leur terrier de leur cendre, « J'ignore en les portant les noms des nations. « On me dit une mère et je suis une tombe. « Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, «... | |
 | Revue nationale et étrangère - 1864 - 604 sayfa
...« Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, « A côté des fourmis, des populations; « Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, « J'ignore en les portant les noms des nations. « On me dit une mère et je suis une tombe. « Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, «... | |
 | 1864 - 598 sayfa
...« Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, « A cêté des fourmis, des populations ; « Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, « J'ignore en les portant les noms des nations. « On me dit une mère et je suis une tombe. « Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, «... | |
 | Alfred de Vigny - 1882 - 358 sayfa
...roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populatious ; Je ne distingne pas leur terrier de leur cendre, J'ignore en les portant les noms des natious. On me dit une mère et je suis une tombe. Mou biver prend vos morts comme sou hécatombe.... | |
 | Jules Lemaître - 1886 - 350 sayfa
...superbe : Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis, les populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre; J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, Mon printemps... | |
 | Émile Faguet - 1887 - 486 sayfa
...ces vers : Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre ; J'ignore en les portant le nom des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe.... | |
 | Jean-Marie Guyau - 1889 - 464 sayfa
...roule avec dé.lain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations; Je ne distinguo pas leur terrier de leur cendre. J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, Mes printemps... | |
 | Émile Faguet - 1889 - 480 sayfa
...ces vers : Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre ; J'ignore en les portant le nom des nations . On me dit une mère, et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son... | |
 | 1891 - 972 sayfa
...à l'Homme? Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations, Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, J'ignore, en les portant, les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe, Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, Mon printemps... | |
 | Ferdinand Brunetière - 1892 - 378 sayfa
...à l'Homme? Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations, Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, J'ignore, en les portant, les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe, Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, Mon printemps... | |
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Je roule avec dédain sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts... 
