La France sous Philippe le Bel: étude sur les institutions politiques et administratives du Moyen âgeH. Plon, 1861 - 468 sayfa |
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Sayfa vii - L'académicien qui était alors directeur, continue Charles Perrault, alla, suivi de toute la compagnie en corps , haranguer le roi à SaintGermain , à la suite du parlement , de la chambre des comptes et de la cour des aides.
Sayfa 129 - Le jour même de l'arrestation , les bourgeois furent appelés par paroisses et par confréries au jardin du roi , dans la Cité ; des moines y prêchèrent. On peut juger de la violence de ces prédications populaires par celle de la lettre. royale qui courut par toute la France : « Une chose amère , une chose déplorable, une chose horrible à penser, terrible à entendre! chose exécrable de scélératesse, détestable d'infamie !... Un esprit doué de raison...
Sayfa 22 - A vous, très-noble prince, notre sire, « Philippe, par la grâce de Dieu roi de France; « supplie et requiert le peuple de votre « royaume, pour ce qui lui appartient, que ce « soit fait, que vous gardiez la souveraine « franchise de votre royaume, qui est telle que « vous ne reconnaissiez de votre temporel « souverain en terre, fors que DIEU...
Sayfa 447 - Roches et plusieurs autres, c'est à ssavoir la greigneur, la plus fort et la plus saine partie des bourgois de la ville d'Estampes, et firent, ordrenèrent et establirent par devant nous, pour eus et pour la communalté des bourgois et des bones genz de la ville d'Estampes, et en nom de eus, des bourgois et des genz de la dite ville, Jehan le Piquart de la Charronnerie, bourgois d'Estampes lay, et Denise le Charretier d'Estampes, clerc, porteurs de ces...
Sayfa 111 - Tu oubliez que LES PRÊTRES DU CHRIST SONT LES PÈRES ET LES MAÎTRES DE TOUS LES ROIS ET DE TOUS LES PRINCES CHRÉTIENS D'où te vient...
Sayfa 420 - Puis avait ledit maître (le jongleur qui avait monté le théâtre) plusieurs imaiges fait et ordonné à la semblance de plusieurs grands seigneurs, lesquels vinrent pour parler au roy l'un après l'autre. Premier y vint Charles de Valois, qui heurta à l'huis de la chambre, et dit qu'il...
Sayfa 129 - Un esprit doué de raison, compatit et se trouble dans sa compassion, en voyant une nature qui s'exile elle-même hors des bornes de la nature, qui oublie son principe, qui méconnaît sa dignité, qui prodigue de soi, s'assimile aux bêtes dépourvues de sens ; que dis-je? qui dépasse la brutalité des bêtes elles-mêmes ! ...» On juge de la terreur et du saisissement avec lesquels une telle lettre fut reçue de toute âme chrétienne.
Sayfa 33 - Les villes situées dans les iiefs des vassaux n'étaient pas convoquées par les baillis du roi, mais, sur leur invitation, par les baillis ou les prévôts seigneuriaux 2. Les villes de tout le royaume furent appelées aux états. La vérité de ce fait important qu'ont révoqué en doute des historiens qui n'ont vu dans les...
Sayfa 93 - Que le gouvernement temporel de son royaume appartenait à lui seul ; qu'il ne connaissait en cette matière aucun supérieur ; qu'il ne se soumettrait jamais à âme qui vive à cet égard; qu'il voulait exercer sa juridiction dans ses fiefs, défendre son royaume et poursuivre son droit avec l'aide de ses sujets, de ses alliés et de Dieu.
Sayfa 34 - ° 145. 21 gué, où il n'y avait ni jurisconsultes, ni savants, ni consuls, ni communautés; et à Mauriac, où il n'y avait que des individus et pas de commune. Dans ces localités, placées au bas de l'échelle politique, et auxquelles ne s'adressait même pas la convocation royale, l'envoi des députés fut le fait des seigneurs, qui les désignèrent quelquefois de concert avec leurs sujets. Le plus souvent on convoquait tous les habitants ; des femmes mêmes prirent part à ces élections.