Journal des chasseurs

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Léon Bertrand
1860
 

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Popüler pasajlar

Sayfa 284 - Le propriétaire ou possesseur peut chasser ou faire chasser en tout temps, sans permis de chasse, dans ses possessions attenant à une habitation, et entourées d'une clôture continue faisant obstacle à toute communication avec les héritages voisins. ART. 3. — Les préfets détermineront, par des arrêtés publiés au moins dix jours à l'avance, l'époque de l'ouverture et celle de la clôture de la chasse, dans chaque département.
Sayfa 369 - Ce temps d'arrêt lui avait suffi pour voir le lion mordiller sa victime avec tant de précaution qu'on eût eu peine à trouver un point qui saignât, fouler ce corps plein de jeunesse et de vie qui râlait, le tourner, le retourner avec ses pattes, et jouer avec lui comme le chat joue avec la souris tombée sous sa griffe. Les cheveux du Bédouin se dressèrent d'horreur sur sa tête et il se mit à fuir de toute la vitesse de ses jambes.
Sayfa 33 - Diane, je le croy fort bien , car il y estoit trop viollantement addonné, fust à courir et à picquer après le cerf, fust à beau pied à le destourner avec le limier ; et y estoit si affectionné qu'il en perdoit le dormir, estant à cheval avant jour pour y aller, et se peinoit aussi fort à appeller les chiens, fust de la voix, fust de la trompe. Il...
Sayfa 104 - ... feu; mais, les terribles fusils ne se relevant pas, ce fut un sauve qui peut général. Tout en se tenant derrière nous, les Bédouins poursuivirent les fuyards de leurs huées. De ce moment, nous pouvions dormir sur nos deux oreilles. Oueld-Gaber, sachant que les tribus qu'il venait de piller ne tarderaient point à se réunir pour lui courir sus. devait forcément regagner les montagnes avant la nuit, et profiter des ténèbres pour mettre son butin en sûreté. Néanmoins les hommes que nous...
Sayfa 61 - ... Depuis quelques heures, l'une des esclaves du djellab se plaignait d'un violent mal de tête : c'était une enfant de dix ans au plus . frêle , chétive. Sa chevelure noire se séparait en deux larges nattes maintenues par un brin de soie jaune qui courait d'une tresse à l'autre comme un fil d'or; ces deux nattes retombaient sur ses deux joues hâves, creusées par une longue maladie. Elle portait au cou un collier de verroteries bleu de ciel, pauvre hochet dont le maître l'avait parée avant...
Sayfa 95 - ... tendue. Quant à la chevelure, que l'on imagine une tête bistre, perdue dans une forêt de cheveux taillés comme les perruques à la mode sous la tin du règne de Louis XIV, beurrés journellement, et inondés, les jours de fête, de gouttelettes de suif qui, en se caillant, avaient l'air d'une couche de neige. Une aiguille en bois, d'un pied de long, toujours fichée dans les boucles, tenait lieu de peigne. Or. Mohammed Cotten était à dix lieues à la ronde un modèle d'élégance, de même...
Sayfa 149 - ... de les poursuivre : celles-là étaient à coup sûr destinées aux panthères. Nous courûmes à celles restées sur le terrain. Deux vivaient encore et se débattaient dans le sang ; des pleurs tombaient goutte à goutte de leurs larmiers ; c'était pitié d'entendre leur dernière plainte sous le couteau de Gazaïn, qui leur coupait la gorge avant de les vider. L'Abyssin était ému lui-même, et, chaque fois qu'il répétait son opération, le mot meskin (l'équivalent de pauvre bêle) tombait...
Sayfa 97 - ... lentement, presque à reculons, et toujours prêts pour un retour offensif. Gazaïn leur lâcha un coup de fusil, et l'un des plus gros tomba, la tête fracassée par une balle. L'explosion fit taire un instant tous les cris, et tous ces corps suspendus à la cime des rochers ou sur la pente rapide des mamelons voisins bondirent sur eux-mêmes, comme si une nappe électrique eût effleuré le sol et les eût touchés tous. Le groupe nombreux auquel appartenait le mort menaçait de se ruer sur...
Sayfa 60 - Enfin, lorsque l'inanition, la maladie, la soif, ont brisé ses forées et raidi ses pieds meurtris, avant de l'abandonner sur la route, le maître lui écrase la tête entre deux pierres, et tout est dit. — La peur d'un sort pareil relève le courage des autres, ajoutait le djellab. D'autres fois, le misérable qui, pendant la tourmente, faisait vœu de continence tant que durerait la traversée, cherchait à spéculer sur les malheureuses qu'il n'avait pu vendre, et proposait à chacun de les...
Sayfa 87 - Mokollo, village en terre ferme, à une heure nord-ouest de l'îlot sur lequel est bâti Masswah. Le départ eut lieu le 8 janvier dans la soirée. Ce jour-là, nous ne fîmes guère que deux heures de route, au fond d'une vallée assez large, entre deux montagnes dont le maigre feuillage des gommiers déguisait mal les flancs de pierre. Pourtant quelques jours de pluie avaient rafraîchi cette pauvre végétation : les rameaux des mimosas seydl étaient d'un vert magnifique, ainsi que les rares...

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