POUR achever de me peindre il m'est arrivé., un des plus extrêmes malheurs que je pouvais craindre, qui est la mort subite de M. le Prince: je le plains comme ce qu'il me devait être, non comme ce qu'il m'était. Je suis à cette heure la seule butte... Œuvres de Voltaire - Sayfa 149Voltaire tarafından - 1829Tam görünüm - Bu kitap hakkında
| Voltaire - 1761 - 388 sayfa
...m'eft arrivé un des plus extrêmes malheurs que je pouvais craindre, qui eft la more fubite de Mr. lé prince; je le plains comme ce qu'il me devait être, non comme ce qu'il m'était : je fuis à cette heure la feule butte où vifent tous les perBdes de la mefié. Ils l'ont empoifonné... | |
| Voltaire - 1769 - 588 sayfa
...m'e/î arrivé un des plus extrêmes malheurs que je pouvais craindre, qui efl la mort fubite de Mr. le prince ; je le plains comme ce qu'il me devait être , non comme ce qu'il m'était : je fuis à cette heure la feule butte où vifent tous les perfides de la mejje. Ils font empoi- Voyn lut... | |
| Voltaire - 1771 - 642 sayfa
...arrivé un . des pilts extrêmes malheurs que je pouvais craindre , . yuj eji ;a mort fuijite j,, ^fr> fe prince ; je le plains comme ce qu'il me devait être , non comme ce qu'il m'était : je fuis à cette heure la feule butte où viVt,y;i fent tous ^es perfides de la meffe. Ils Font empoila... | |
| Voltaire - 1784 - 494 sayfa
..., il m'eft arrivé un des plus extrêmes malheurs que je pouvais craindre , qui eft la mort fubite de M. le Prince ; je le plains comme ce qu'il me devait être , non comme ce qu'il m'était : je (a) Rien n'eft fi curieux que cette anecdote. Ce Sacremore était Sirague de fon nom. Cette aventure... | |
| Voltaire - 1785 - 462 sayfa
..., il m'eft arrivé un des plus extrêmes malheurs que je pouvais craindre , qui eft la mort fubite de M. le Prince ; je le plains comme ce qu'il me devait être , non comme ce qu'il m'était : je fuis à cette heure la feule butte où vifent tous les perfides de la mefle. Ils l'ont empoifonné... | |
| Voltaire - 1792 - 316 sayfa
...peindre, il m'eft arrivé un des plus extrêmes malheurs que je pouvais craindre , qui eft la mort fubite de M. le Prince ; je le plains comme ce qu'il me- devait être , non comme ce qu'il m'était : je fuis à cette heure la feule butte où vifent tous les perfides de la méfie. Ils l'ont empoifonné... | |
| V. Adolphe Revel - 1815 - 618 sayfa
...LETTRE PREMIERE. A Madame Corisande dAndouin, comtesse de Grammont ,au sujet de la mort de Condé. i OUR achever de me peindre, il m'est arrivé un des plus...pouvais craindre, qui est la mort subite de M. le Prince (i); je le plains, non comme il le méritait. Je suis à cette heure laseulc butte où visent tous... | |
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1815 - 452 sayfa
...m'est arrivé ,. disoit - il dans cette lettre, « un des plus extrêmes malheurs que je pou» vois craindre , qui est la mort subite de » M. le prince. Je le plains comme ce qu'il » me devoit être , non comme ce qu'il m'é» toit Ce pauvre prince, non de cœur, » jeudi , ayant couru... | |
| L. Laurent Prault - 1816 - 458 sayfa
...LETTRE X. POUR achever de me peindre , il m'est arrivé l'un des plus extrêmes malheurs que je pouvois craindre , qui est la mort subite de M. le prince. Je le plains comme ce qu'il me devoit être, non comme ce qu'il m'étoit. Je suis à cette heure la seule butte où visent tous les... | |
| Voltaire - 1821 - 496 sayfa
...je vous baise un million de fois les mains, Ce i4 \ander. '• •:'..!. ' ', DEUXIEME LETTRE (b). POUR achever de me peindre, il m'est arrivé un des...le plains comme ce qu'il me devait être, non comme (a) Rien n'est si curieux que cette anecdote. Ce Sacremore était Birague-de son nom. Cette aventure... | |
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