De l'esprit des lois, 5. ciltLebigre Frères, 1834 |
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affaires amende antrustions avaient Baluze Beaum Beaumanoir Brunehault c'était capitulaire cens CHAP CHAPITRE Charlemagne Charles-le-Chauve chartres Childebert Chilpéric chose Chronique de Frédégaire civile Clotaire Clovis codes des lois combat judiciaire composition comte cour coutumes crime Défont Défontaines donner ecclésiastiques églises ESPRIT DES LOIS Établissemens Établissement faisait faux jugement fiefs Frédégaire Frédégonde fredum fût gages de bataille Gaules Germains gneur Gondebaud Grégoire de Tours guerre hommes libres Ibid jugemens jurisdiction jurisprudence justice l'abbé Dubos l'appel l'usage du combat leudes loi des Bavarois loi des Bourguignons loi des Lombards loi des Ripuaires loi salique lois des Barbares lois qui paraissent lois romaines Louis-le-Débonnaire maire Marculfe n'avait n'était nation noblesse ordonnances pairs parens payer peuples pouvait preuves négatives prince prouve punir Ripuaires rois royaume saint Louis seconde race serfs Tacite témoins temps-là terres tion tribunaux tributs usage vassaux VIII villain Visigoths voleur Voyez Grégoire Voyez la loi
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Sayfa 136 - M. le comte de Boulainvilliers et M. l'abbé Dubos ont fait chacun un système , dont l'un semble être une conjuration contre le tiers-état , et l'autre une conjuration contre la noblesse. Lorsque le Soleil donna à Phaéton son char à conduire , il lui dit : « Si vous montez trop haut, vous « brûlerez la demeure céleste ; si vous descendez « trop bas , vous réduirez en cendres la terre. « N'allez point trop à droite, vous tomberiez dans « la constellation du Serpent; n'allez point trop...
Sayfa 95 - Je le dis, et il me semble que je n'ai fait cet ouvrage que pour le prouver : l'esprit de modération 'doit être celui du législateur; le bien politique, comme le bien moral, se trouve toujours entre deux limites.
Sayfa 124 - C'est un beau spectacle que celui des lois féodales : un chêne antique s'élève; l'œil en voit de loin les feuillages; il approche: il en voit la tige , mais il n'en aperçoit point les racines ; il faut percer la terre pour les trouver.
Sayfa 127 - Les repas peu délicats, mais grands, sont une espèce de solde pour eux. Le prince ne soutient ses libéralités que par les guerres et les rapines. Vous leur persuaderiez bien moins de labourer la terre et d'attendre l'année, que d'appeler l'ennemi et de recevoir des blessures; ils n'acquerront pas par la sueur ce qu'ils peuvent obtenir par le sang.
Sayfa 191 - Gaules en conquérons : selon lui nos rois, appelés par les peuples, n'ont fait que se mettre à la place et succéder aux droits des empereurs romains.
Sayfa 121 - IL ya de certaines idées d'uniformité qui saisissent quelquefois les grands esprits (car elles ont touché Charlemagne), mais qui frappent infailliblement les petits. Ils y trouvent un genre de perfection qu'ils...
Sayfa 121 - Et la grandeur du génie ne consisterait- elle pas mieux à savoir dans quel cas il faut l'uniformité, et dans quel cas il faut des différences?
Sayfa 123 - ... de ces lois qui ont fait des biens et des maux infinis; qui ont laissé des droits quand on a cédé le domaine; qui, en donnant à plusieurs personnes divers...
Sayfa 197 - Cette prétention injurieuse au sang de nos premières familles , ne le serait pas moins aux trois grandes maisons qui ont successivement régné sur nous. L'origine de leur grandeur n'irait donc point se perdre dans l'oubli, la nuit et le temps : l'histoire éclairerait des siècles où elles auraient été des familles communes; et, pour que Childéric, Pépin et lluguesCapet fussent gentilshommes, il faudrait aller chercher leur origine parmi les Romains ou les Saxons , c'est-à-dire parmi les...
Sayfa 190 - Cet ouvrage a séduit beaucoup de gens, parce qu'il est écrit avec beaucoup d'art ; parce qu'on y suppose éternellement ce qui est en question ; parce que, plus on y manque de preuves, plus on y multiplie les probabilités ; parce qu'une infinité de conjectures sont mises en principe, et qu'on en tire comme conséquences d'autres conjectures. Le lecteur oublie qu'il a douté, pour commencer à croire. Et comme une érudition sans fin est placée, non...