Acta saecularia Academiae groninganae complectentia orationes et carmen in natali eius ducentesimo publice dicta die x octobris 1814, 14. cilt

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apud J. Oomkens, 1833 - 158 sayfa
 

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Popüler pasajlar

Sayfa 8 - L'Assemblée nationale, considérant combien il importe de faire jouir les Français de la faculté du divorce, qui résulte de la liberté individuelle dont un engagement indissoluble serait la perte...
Sayfa 13 - ... talis igitur mens mundi cum sit ob eamque causam vel prudentia vel providentia appellari recte possit — Graece enim ncovoia dicitur — , haec potissimum providet et in his maxime est occupata, primum ut mundus quam aptissimus sit ad permanendum, deinde ut nulla re egeat, maxume autem ut in eo eximia pulchritudo sit atque omnis ornatus.
Sayfa 10 - Vous frémiriez si je vous présentais le tableau fidèle des victimes que le libertinage et la cupidité ont amoncelées...
Sayfa 58 - Rien ne contribuait plus à l'attachement mutuel que la faculté du divorce : un mari et une femme étaient portés à soutenir patiemment les peines domestiques, sachant qu'ils étaient maîtres de les faire finir ; et ils gardaient souvent ce pouvoir en main toute leur vie sans en user, par cette seule considération qu'ils étaient libres de le faire.
Sayfa 23 - Le consentement mutuel et persévérant des époux, exprimé de la manière prescrite par la loi, sous les conditions et après les épreuves qu'elle détermine, prouvera suffisamment que la vie commune leur est insupportable , et qu'il existe, par rapport à eux, une cause péremptoire de divorce.
Sayfa 14 - Irrevocabilis humana pariter ac divina cursus vehit. Ille ipse omnium conditor et rector scripsit quidem fata, sed sequitur; semper paret, semel iussit.
Sayfa 34 - ... de la nouvelle famille à laquelle on va donner l'être; on stipule pour l'Etat, on stipule pour la société générale du genre humain. Le public est donc toujours partie dans les questions de mariage; et, indépendamment du public, il ya toujours des tiers qui méritent la plus grande faveur, et dont on ne peut avoir ni la volonté ni le pouvoir de faire le préjudice. La société conjugale ne ressemble donc à aucune autre.
Sayfa 34 - Dans les sociétés ordinaires , on stipule pour soi, sur des intérêts obscurs et privés, et comme arbitre souverain de sa propre fortune. Dans le mariage , on ne stipule pas seulement pour soi , mais pour autrui ; on s'engage à devenir comme la providence de la nouvelle famille à laquelle on va donner l'être; on stipule pour l'État; on stipule pour la société générale du genre humain.
Sayfa 13 - Projet du code civil présenté par la commission nommée par le gouvernement le 24 thermidor an vin.
Sayfa 56 - Mais s'il nous est défendu de concevoir de semblables espérances , si elles ne peuvent naître même dans l'esprit de ceux qui jugent l'humanité avec la prévention la plus indulgente, il ne nous reste plus que le choix du remède à appliquer au mal que nous ne saurions extirper.

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