Je vois passer, je vois sourire La femme aux perfides appas Qui m'enivra d'un long délire, Dont mes lèvres baisaient les pas ! Ses blonds cheveux flottent encore, Les fraîches couleurs de l'aurore Teignent toujours son front charmant, Et dans l'azur... Revue encyclopédique - Sayfa 1341830Tam görünüm - Bu kitap hakkýnda
| 1830 - 872 sayfa
...tempère la gravité mystique par quelques accens plus humains. Ce sont les séductions de la gloire, les plaisirs de l'étude, la contemplation de la nature,...passager enivrement d'une affection moins 'pure. Je vi lis pasier, je vois sourire La femme aux perfides appas, Qui m'enivra d'un long délire, Dont mes... | |
| Alphonse de Lamartine - 1830 - 364 sayfa
...paupière i24 HARMONIES POÉTIQUES Sont encor là, sur la poussière Tièdes de mes brûlans soupirs! Je vois passer, je vois sourire La femme aux perfides...appas , Qui m'enivra d'un long délire , Dont mes lèvres baisaient les pas ! Ses blonds cheveux flottent encore, Les fraîches couleurs de l'aurore... | |
| Alphonse de Lamartine - 1834 - 384 sayfa
...d'objets chers à ma paupière Sont encor là , sur la poussière Tiède de mes brûlans soupirs ! Je vois passer, je vois sourire La femme aux perfides...appas , Qui m'enivra d'un long délire , Dont mes lèvres baisaient les pas ! Ses blonds cheveux flottent encore , Les fraîches couleurs de l'aurore... | |
| Alphonse de Lamartine - 1836 - 754 sayfa
...d'objets chers à ma paupière Sont encor là , sur la poussière Tiède de mes brûlans soupirs ! Je vois passer, je vois sourire La femme aux perfides...appas , Qui m'enivra d'un long délire , Dont mes lèvres baisaient les pas ? Ses blonds cheveux flottent encore , Les fraîches couleurs de l'aurore... | |
| Alphonse de Lamartine - 1850 - 788 sayfa
...d'objets chers à ma paupière Sont encor là, sur la poussière Tiède de mes brûlants soupirs ! Je vois passer, je vois sourire La femme aux perfides appas Qui m'enivra d'un long délire, Dont mes lèvres baisaient les pas ! Ses blonds cheveux flottent encore; Les fraîches couleurs de l'aurore... | |
| Alphonse de Lamartine - 1850 - 416 sayfa
...d'objets chers à ma paupière Sont encor là, sur la poussière Tiède de mes brûlants soupirs ! Je vois passer, je vois sourire La femme aux perfides appas Qui m'enivra d'un long délire, Dont mes lèvres baisaient les pas ! Ses blonds cheveux flottent encore; Les fraîches couleurs de l'aurore... | |
| Alphonse de Lamartine - 1860 - 584 sayfa
...Tant d'objets chers à ma paupière Sont encor là, sur la poussière Tiède de mes brûlants soupirs! Je vois passer, je vois sourire La femme aux perfides appas Qui m'enivra d'un long délire, Dont mes lèvres baisaient les pas! Ses blonds cheveux flottent encore; Les fraîches couleurs de l'aurore Teignent... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1874 - 448 sayfa
...le brise ou le temp> l'use; il périt dans le déchirement, ou il s'éteint dans l'indifférence : Je vois passer, je vois sourire La femme aux perfides appas Qui m'enivra d'un long délire, Dont mes lèvres baisaient les pas t Ses blonds cheveux flottent encore, Les fraîches couleurs de l'aurore... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1926 - 348 sayfa
...le brise ou le temps l'use; il périt dans le déchirement, ou il s'éteint dans l'indifférence : Je vois passer, je vois sourire La femme aux perfides appas Qui m'enivra d'un long délire, Dont mes lèvres baisaient les pas ! Ses blonds cheveux flottent encore, Les fraîches couleurs de l'aurore... | |
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