Chefs-d'oeuvre du théâtre russe: Ozerof, Fon-Vizine, Krilof, Schakofskoichez Ladvocat, 1823 - 468 sayfa |
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ACTE Allons âme amour ANNETTE avez BARDES bataille BLAISE bonheur boyards braves BRENSKY cher CHIFFREKINE ciel coeur colère combat Cosaques DAMIEN diable Dieu DIMITRI donne Donskoï douleur DOUME écoute Élise enfant ennemis Est-ce femme fille fils Fingal Fon-Vizine frère glaive gloire GRÉGOIRE guerriers Hélas homme Horde hymen ISBRANA j'ai joie jour Karrill KLIMOFSKI l'amour L'OFFICIER LESTOF Loclin long-temps madame Carré madame Prostakof madame Sombourof magasin main maître malheur Mamaï MARIANNE MILON Moïna monde monsieur mort Moscou n'ai NICODÊME Odin oncle Ozerof patrie pensée père personne PÉTRONILLE PRAVDINE précédens prince de Bélozero prince de Tver qu'y a-t-il raison reste rien roubles sais SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII seigneur Prodius séminariste sentimens sera seul SKOTININE SMOLENSK soldats SOPHIE sort STARNE STARO STARODOUME Tartares temple tête Théâtre Russe tombe Toscar tragédie trépas TRICHÉ Tzar ULLIN veux victoire voilà vois voix VRALMANN Xénia yeux ΜΟΙΝΑ ΧΕΝΙΑ
Popüler pasajlar
Sayfa 63 - Nos prêtres ne sont pas ce qu'un vain peuple pense ; Notre crédulité fait toute leur science.
Sayfa 172 - Qui sont tout par eux-même, et rien par leurs aïeux. Tel est l'homme, en un mot, que j'ai choisi pour maître; Lui seul dans l'univers a mérité de l'être; Tout mortel à sa loi doit un jour ohéir, Et j'ai donné l'exemple aux siècles à venir.
Sayfa 61 - J'entrai dans son vaisseau, détestant sa fureur, Et toujours détournant ma vue avec horreur. Je le vis : son aspect n'avait rien de farouche ; Je sentis le reproche expirer dans ma bouche; Je sentis contre moi mon cœur se déclarer ; J'oubliai ma colère, et ne sus que pleurer : Je me laissai conduire à cet aimable guide.
Sayfa 172 - Heureux qui, satisfait de son humble fortune, Libre du joug superbe où je suis attaché, Vit dans l'état obscur où les dieux l'ont caché ! ARCAS Et depuis quand, seigneur, tenez-vous ce langage?
Sayfa 223 - Gardez-vous bien de donner les choses saintes aux chiens, et ne jetez point vos perles devant les pourceaux , de peur qu'ils ne les foulent aux pieds, et que, se tournant contre vous, ils ne vous déchirent.
Sayfa 397 - ... placer dans quelque endroit bien reculé. Quoique nous soyons innocentes , plus nous serons à l'abri des griffes de la police , plus nous aurons l'âme tranquille. {A part. ) Rien de plus vraisemblable, si nous parvenons seulement à .l'entraîner.... LESTOF. Tu bats la campagne , Marianne ; tu as la fièvre. MARIANNE. Oui, oui, mais cette fièvre me profitera à moi et non aux médecins. Maintenant, monsieur, sortez, et ne rentrez pas avant que madame Carré ne soit venue; alors faites le tour...
Sayfa 116 - ... au combat, et j'espère qu'alors cette main, teinte du sang des Tartares, te conduira au temple sacré. Là, voyant couronner ma flamme , avec quelle ardeur je m'écrierai pour la seconde fois : Haine aux infidèles ! DIMITRI, ip«rt.
Sayfa 239 - Riche! et y at-il quelqu'un de riche? Sais-tu bien que pour satisfaire aux fantaisies d'un seul homme , il ya trop peu de toute la Sibérie ! mon ami, tout est dans l'imagination. Écoute la nature, tu ne seras jamais pauvre; écoute l'opinion des hommes, tu ne seras jamais riche. SOPHIE. Ce que vous dites là est bien vrai. STARODOUME. J'ai assez gagné pour n'être point arrêté par la pauvreté d'un honnête homme qui te demanderait eu mariage.
Sayfa 106 - ... engagemens ! Quand un Russe a donné sa parole , il ne saurait la révoquer sans déshonneur. Pour les Hordes étrangères qui ne connaissent de loi que leur rapacité, les sermens même ne sont qu'un faible lien. Mais une simple assurance nous suffit! Tu ne l'ignores pas ; cet hymen est tellement...