 | Jean-François de La Harpe - 1777 - 298 sayfa
...atténuer £ faute! La faim, l'occafion, l'herbe tendre, &, je penfe, Quelque diable auffi me pouffant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Comment tenir à ces traits-là ? On en citerait cent de cette force. Mais il faut s'en rapporter à h mémoire & au goût de ceux... | |
 | Jean-François de La Harpe - 1778 - 406 sayfa
...fa faute ! La faim , l'occafion, l'herbe tendre , Se, je penfb, Quelque Diable auflî me pouffant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Comment tenir à ces traits-là? On en citerait cent de cette force. Mais il faut s'en rapporter à la mémoire & au goût de ceux qui... | |
 | Jean de La Fontaine - 1796 - 392 sayfa
...souvenance Qu'en un pré de moines passant , La faim , l'occasion , l'herbe tendre , et , je pense , Quelque diable aussi me poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue : Je n'en avais nul droit , puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Unloup,quelquc... | |
 | Jean de La Fontaine, Marie Nicolas Sylvestre Guillon - 1803 - 468 sayfa
...pour atténuer sa faute ! La faim , l'occasion , l'herbe tendre , et , je pense , Quelque Diable aucsi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Comment tenir à ces traits-là ? On en citeroit cent de de cette force. Mais il faut s'en rapporter à la mémoire et au goût de... | |
 | Jean de La Fontaine, Marie-Nicolas-Silvestre Guillon - 1803 - 466 sayfa
...J'ai souvenance Qu'en un pré de Moines passant , La faim, l'occasion , l'herbe tendre, et je pense Quelque diable aussi me poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Qne de beante's ! Qu'il faut avoir d'esprit , comme parle JeanJacques Rousseau , pour savoir ainsi... | |
 | Jean-François de La Harpe - 1804 - 450 sayfa
...aggraver si bonnement ! En un pré de moines passant , La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Et ce cri qui s'éleve ! Manger l'herbe d'autrui I L'herbe d'autrui ! comment tenir à ces traits-là... | |
 | Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1812 - 462 sayfa
...souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion , l'herbe tendre , et , je pense , Quelque diable aussi me poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. . . . Sa... | |
 | Grimm - 1812 - 454 sayfa
...J'ai souvenance Qu'en an pré de moines passant , La faim, t'occasion , t'herbe tendre , et, je pense, Quelque diable aussi me poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma tangue. Je n'en avais nul droit , puisqu'it faut parter net. A ces mots, on cria haro sur te baudet... | |
 | Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1812 - 460 sayfa
...souvenance Qu'en un pré de moines passant, La fairn, t'occasion , t'herbe tendre , et, jepenst, Quetque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma tangue. Je n'en avais nut droit, puisqu'it faut parter net. A ces mots, on cria haro sur te baudet... | |
 | Lord Alexander Fraser Tytler Woodhouselee - 1813 - 466 sayfa
...dit, J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et je pense Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue : Je n'en avois nul droit ; puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet : t Un... | |
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J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue : Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. 
