Revue des cours et conférences, 23. cilt

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Boivin., 1922

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Popüler pasajlar

Sayfa 286 - Trop souvent la raison nous trompe, nous n'avons que trop acquis le droit de la récuser ; mais la conscience ne trompe jamais, elle est le vrai guide de l'homme ; elle est à l'âme ce que l'instinct est au corps ; qui la suit, obéit à la Nature, et ne craint point de s'égarer.
Sayfa 523 - Du temps que j'étais écolier, Je restais un soir à veiller Dans notre salle solitaire. Devant ma table vint s'asseoir Un pauvre enfant vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Sayfa 245 - En vain, pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux : Ce qu'ils peuvent n'est rien ; ils sont comme nous sommes, Véritablement hommes, Et meurent comme nous.
Sayfa 216 - L'Homme a toujours besoin de caresse et d'amour. Sa mère l'en abreuve alors qu'il vient au jour, Et ce bras le premier l'engourdit, le balance Et lui donne un désir d'amour et d'indolence. Troublé dans l'action, troublé dans le dessein, II rêvera partout à la chaleur du sein, Aux chansons de la nuit, aux baisers de l'aurore, A la lèvre de feu que sa lèvre dévore, Aux cheveux dénoués qui roulent sur son front, Et les regrets du lit en marchant le suivront.
Sayfa 445 - Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence : On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux.
Sayfa 600 - L'homme superbe est renversé, Ses propres flèches l'ont percé. Une Autre. J'ai vu l'impie adoré sur la terre : Pareil au cèdre, il cachait dans les cieux Son front audacieux ; Il semblait à son gré gouverner le tonnerre, Foulait aux pieds ses ennemis vaincus : Je n'ai fait que passer, il n'était déjà plus.
Sayfa 733 - Or, quant à mon ancêtre, il a tiré sa race D'où le glacé Danube est voisin de la Thrace. Plus bas que la Hongrie, en une froide part, Est un seigneur nommé le marquis de Ronsart, Riche d'or et de gens, de villes et de terre.
Sayfa 598 - Relevez, relevez les superbes portiques Du temple où notre Dieu se plaît d'être adoré ; Que de l'or le plus pur son autel soit paré, Et que du sein des monts le marbre soit tiré. Liban, dépouille-toi de tes cèdres antiques ; Prêtres sacrés, préparez vos cantiques. UNE AUTRE Dieu descend et revient habiter parmi nous : Terre, frémis d'allégresse et de crainte. Et vous, sous sa majesté sainte, Cieux, abaissez-vous ! UNE AUTRE Que le Seigneur est bon, que son joug est aimable.
Sayfa 595 - Quel carnage de toutes parts ! On égorge à la fois les enfants, les vieillards, Et la sœur, et le frère, Et la fille, et la mère, Le fils dans les bras de son père ! Que de corps entassés, que de membres épars, Privés de sépulture ! Grand Dieu ! tes saints sont la pâture Des tigres et des léopards.
Sayfa 191 - Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent. Ce sont Ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front...

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