Petits poëtes français depuis Malherbe jusqu'à nos jours, 2. ciltFirmin Didot frères, fils et cie, 1841 - 760 sayfa |
Diğer baskılar - Tümünü görüntüle
Sık kullanılan terimler ve kelime öbekleri
aimable aime airs amans amant âme amour Anacréon Apollon appas baiser beau beauté bel âge belle bergère bientôt bocage bois bonheur bords bras brillant bruit cacher chants charmes cher ciel cieux cœur crime cruel Cythère déesse Déidamie Dieu dieux douce douleur doux Églé encens enfans enfin époux Eucharis FABLE feux fidèle fils fleurs flots front fureur gémit gloire goût guerriers hameau hélas héros heureux Homère hymen ivresse j'ai j'aime jaloux jamais jeune jeux jour Junon l'amour l'univers laisse larmes lauriers lieux loin long-temps lyre main maîtresse malheureux Melpomène mère mort mortels muse Myrtis nectar neuf Sœurs nuit nymphe œil Paphos Pâris père peuple pieds plaire plaisir plaisirs pleurs qu'un regards rians rien rivage ruisseau sage sais secret seul solitaire sommeil soudain soupirs sourit talens tendre tendresse tombe tombeau tremblant trépas triste Vénus vertu veux vœux voilà vois voit voix Voltaire volupté yeux zéphyrs
Popüler pasajlar
Sayfa 357 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs.
Sayfa 596 - L'injustice agrandit une âme libre et fière. Ces reptiles hideux , sifflant dans la poussière , En vain sèment le trouble entre son ombre et moi : Scélérats ! contre vous elle invoque la loi. Hélas ! pour arracher la victime aux supplices , De mes pleurs chaque jour fatiguant vos complices. J'ai courbé devant eux mon front humilié; Mais ils vous ressemblaient : ils étaient sans pitié.
Sayfa 545 - L'un perclus, l'autre aveugle, et pauvres tous les deux* Ils demandaient au ciel de terminer leur vie;. Mais leurs cris étaient superflus, Ils ne pouvaient mourir. Notre paralytique, Couché sur un grabat dans la place publique, Souffrait sans être plaint; il en souffrait bien plus. L'aveugle, à qui tout pouvait nuire.
Sayfa 545 - L'aveugle, à qui tout pouvait nuire. Était sans guide, sans soutien. Sans avoir même un pauvre chien Pour l'aimer et pour le conduire. Un certain jour il arriva Que l'aveugle, à tâtons, au détour d'une rue, Près du malade se trouva; II entendit ses cris; son âme en fut émue. Il n'est tel que les malheureux Pour se plaindre les uns les autres. « J'ai mes maux, lui dit-il, et vous avez les vôtres, Unissons-les, mon frère ; ils seront moins affreux.
Sayfa 596 - On les vante ! et l'on m'ose accuser ! Moi, jouet si longtemps de leur lâche insolence, Proscrit pour mes discours, proscrit pour mon silence, Seul, attendant la mort quand leur coupable voix Demandait à grands cris du sang et non des lois ! Ceux que la France a vus ivres de tyrannie...
Sayfa 341 - C'est ce petit rimeur, de tant de prix enflé, Qui, sifflé pour ses vers, pour sa prose sifflé, Tout meurtri des faux pas de sa muse tragique, Tomba de chute en chute au trône académique ? Ces détours sont d'un lâche et malin détracteur ; Je ne.
Sayfa 247 - Félicité passée Qui ne peux revenir : Tourment de ma pensée, Que n'ai-je, en te perdant, perdu le souvenir!
Sayfa 541 - II fallut obéir : on va chez l'ouvrier, On lui porte de l'or. « Non, gardez votre somme, Répond doucement le pauvre homme; Je n'ai besoin de rien avec mon atelier ; Et quant à ma maison je ne puis m'en défaire; C'est là que je suis né, c'est là qu'est mort mon père ; Je prétends y mourir
Sayfa 545 - J'ai mes maux , lui dit-il , et vous avez les vôtres : Unissons-les , mon frère, fls seront moins affreux. — Hélas! dit le perclus , vous ignorez, mon frère, Que je ne puis faire un seul pas ; Vous-même vous n'y voyez pas : A quoi nous servirait d'unir notre misère...
Sayfa 623 - Et la mélancolie errante au bord des eaux. Jadis, il m'en souvient, du fond de leurs roseaux, Tes nymphes répétaient le chant plaintif et tendre Qu'aux échos de Passy ma voix faisait entendre. Jours heureux, temps lointain, mais jamais oublié, Où les arts...