Nous avons présenté à part l'Index de chaque tome; on a de la sorte, en quelques pages, un résumé exact et continu de chacun des deux volumes de la correspondance.
AMSTERDAM, 221, 244, 292.
ANASTASE, 348, 361. ANGLAIS, 272.
ACADÉMIE royale des sciences, 149, ANGLETERRE, 206, 211.
211, 239, 244, 364. ENANGRIE. Ce que c'est, 334. AGAMEMNON au siége de Troie, 123. ALBERTI, théologien. Reçoit une lettre de Leibniz, 41, 42, 45; il écrit à Leibniz, Appendice, 468. ALBRIZIO, cardinal. Sa négociation avec Spinola, 4; sa lettre à l'évêque de Tina, 21.
ALCORAN, livre saint des mahométans, 255.
ALEXANDRE d'Alexandrie, 427. ALEXANDRE III, pape, 406. ALLEMAGNE, 2, 5, 28, 29, 85, 124, 139, 164, 165, 176, 177, 179, 205 et suiv., 211, 220, 223, 225,231 et suiv., 310, 318, 370, 371 et suiv., 392 et suiv., 421 et suiv., 457, 485. AMBROISE (Saint-), 120. AMIOT, 370, 385.
ANHALT (prince d'). Écrit à l'évêque de Tina que l'abouchement avec ses ministres ne peut se faire se- crètement; il s'y oppose, 468. ANISSON, libraire, 322. Anne GonzagUE de Mantoue, fille de Charles, duc de Nevers, et femme d'Édouard, comte palatin. Écrit à la duchesse d'Osnabruck, Sophie de Brunswick, femme d'Ernest- Auguste, et lui manifeste tout le plaisir qu'elle aurait à la voir, 484; la même à la même: s'offre d'être utile à son fils, lorsqu'il viendra en France, 485; la même à la même: lui témoigne toute l'affection qu'elle ressent pour elle, 486; la même à la même: lui marque toute la douleur qu'elle éprouve de la mort du prince qu'elle a perdu, 487.
ANONYMUS RAVENNAS, ouvrage du | BILLETTES (Des), 279, 280, 288,
père dom Percheron, 336. ANTECHRIST, 104. Controverse de l'Antechrist, 121, 122, 252. APOCALYPSE, 377. APPENDICE, 459.
ARCHIMEDE. Son invention, 256, 259.
ARIENS. Leur croyance, 64, 78. ARISTOTE, 94, 192 et suiv., 205, 207, 240.
ARLES (Concile d') en 314, 76. ARNAUD, 105, 106, 207, 244, 245, 261, 292, 306, 364. ASIE, 368, 369. Asora (Saint-), 369. ASTRÉE (1) des païens, 112. AUGSBOURG (Confession d'). Explica- tions fournies par les protestants, 6; ses opinions sur l'Église univer- selle, 15, 31, 129, 156, 181 et suiv., 189 et suiv., 220, 225 et suiv., 266; son apologie, 339, 349, 403.
AUGUSTIN (Saint), 154, 155, 158, 195, 200, 401, 426. AUTRICHE, 135, 169. Auzou (le Père). Son opinion sur les ouvrages du P. Hardouin, 307. AVRANCHES (M. d'). Opinion de Leib- niz sur ses critiques, 256. AXUMITES OU Abyssins.
BALATI (Comte). Remet à Leibniz les Réflexions de Bossuet, 315, 335, 338.
BALE (Concile de), 128, 207, 243. BAPTÊME in voto. Qu'est-ce, 3, 120 et suiv.
BARCKHAUSEN, 32, 45. BARUCH, 401.
BASILE (Saint), 79.
BASINI, jésuite. Son catéchisme, 172. BASTILLE, 192.
BERGEN GRIESBACH, 46.
BETHUNE (marquise de), 266, 276. BÉTOULAUD, ses vers sur la mort de Pellisson, 367. BIDASSOA, rivière, 232.
BIGNON, 288 et suiv., 308, 309, 365.
298, 366. BLOIS, 140. BOHÈME, 271.
BOSSUET. Écrit à Leibniz au sujet du Talmud, 24; nouvelle lettre de Bossuet sur le même entretien, 28; et de Bossuet à Leibniz pour lui annoncer la négociation de Spinola au sujet de la réconcilia- tion des protestants, 3get 40, 105, 135; il écrit à madame de Brinon une lettre par laquelle il répond à celle de madame la duchesse de Ha- novre, fait voir que le concile de Trente a été reçu en France quant aux dogmes, explique comment les Grecs ont été admis dans l'Église, et de quelle condescendance on peut user à l'égard des protestants, 173 à 177, 184 et suiv., 197 et suiv., 200; Bossuet propose à Leib- niz plusieurs questions capables de lui faire sentir l'obligation de défé- rer aux décisions du concile de Trente sur le dogme; méthode que le prélat a suivie en écrivant son Histoire des variations, 224 à 227; il accuse réception à Leibniz de la deuxième partie de son Projet de réunion, 236, 245; il écrit à Leib- niz en lui manifestant le désir de recevoir la Via pacis du P. Denis, capucin, 253; il écrit à Leibniz en lui annonçant que la marquise de Béthune lui a remis son livre dynamique de la part de la duchesse de Hanovre, 266 à 268; il discute et explique à Pellisson le fait con- cernant les calixtins, dont Leibniz prétendait s'autoriser, 281 à 283; Bossuet répond à Leibniz, l'as- sure de sa fidélité au secret dont on était convenu, et lui fait voir combien ses raisonnements por- taient atteinte au grand principe, de l'infaillibilité qu'il admettait, 302 à 305; le même au même : il l'engage à ne pas se rebuter dans leur entreprise, 311; le même au même: il lui rend raison de la mé- thode qu'il a suivie dans ses Ré- flexions sur l'écrit de Molanus; grand obstacle qu'il voit à la réu- nion; en quoi consiste la vérita-
ble simplicité chrétienne, et de quelle manière toutes les ques- tions ont été décidées dans l'É- glise, 312; il écrit à Pellisson, fait l'éloge de Leibniz et s'excuse d'avoir blessé ce dernier en se servant à son égard des mots d'hérétique opiniâtre, 344 à 346; il écrit à Leibniz, s'excuse de l'a- voir blessé par quelques paroles, et tâche de renverser le système des iconoclastes, 346; il fait à madame de Brinon le récit de la mort de Pellisson et dément les bruits qui avaient couru sur son compte, 353; réponse de Bossuet à plusieurs lettres de Leibniz et en particulier à celle du 29 mars 1693; il satisfait aux difficultés tirées du culte des images, de l'er- reur des monothélites et de la concession des deux espèces par le concile de Bâle, et réfute la ré- ponse de Leibniz à la dissertation de l'abbé Pirot sur l'autorité et la réception du concile de Trente; il écrit à Leibniz et l'entretient de nouveau de la réunion des protes- tants, 433. BOULOGNE, 393. BOURGES, 382.
BOURIGNON (mademoiselle), 77. BOUVRE (la), 261. BRECY (Comte de), 220. BRETAGNE, 318.
BRINON (madame de). Elle écrit à Leibniz sur l'aventure du manus- crit volé, 139; elle renvoie à Leib- niz les lettres de Pellisson, 142; elle écrit à Leibniz pour lui ap- prendre la conversion de sa mère qui était huguenote, 162; elle écrit de nouveau à Leibniz sur cette conversion, 169; elle lui an- nonce que Bossuet l'a chargée de lui envoyer plusieurs de ses ou- vrages, 169 à 171; elle renvoie à Leibniz les Réflexions de Pellis- son sur les différends de la reli- gion, 185; elle écrit à Bossuet en s'associaut de tout cœur au projet de la réunion des protestants d'Al- lemagne, 268 à 270; elle lui dépeint fort bien le caractère de Leibniz et encourage le prélat à travailler
à l'œuvre de la réunion malgré les obstacles, 294; elle annonce à Leibniz que Pellisson profitera de ses avis; sur le culte des images on ne forcera pas les protestants à un culte irreligieux, 335; elle répond à Leibniz au sujet de la généalogie de la maison de Brunswick, qu'il désirait connaî- tre; elle lui marque le peu de cas qu'elle fait, au point de vue reli- gieux, de tous ces titres mondains, 341; elle envoie à Leibniz tout ce qu'elle a pu tirer de l'église de Saint-Martin de Tours relative- ment à ses recherches généalogi- ques sur les maisons d'Est et de Brunswick, 352; elle lui annonce la mort de Pellisson et dément les bruits qui ont couru sur son compte, 352; elle lui apprend une nouvelle découverte de M. d'Hozier relative à ses recherches généalo- giques sur les maisons d'Est et de Brunswick, 356; elle se réjouit de l'église qu'on bâtit pour les catho- liques à Hanovre; M. de Meaux mande qu'on lui fait espérer des écrits de Pellisson, 366; elle lui envoie l'éloge de Pellisson dans le Journal des Savants et les vers de M. Bétoulaud, 366; elle écrit à Leibniz et s'efforce de le gagner à la foi catholique, 411; elle écrit à Bossuet sur le peu de bonne foi de Leibniz; elle entretient Bossuet sur les instructions demandées par la duchesse de Brunswick touchant le concile de Trente, 412; elle écrit à Leibniz et lui dit qu'elle ne compte que sur Dieu et l'Es- prit-Saint pour opérer la réunion, 434; elle écrit à Bossuet, témoi- gne un grand empressement pour la réunion des protestants à l'É- glise et sollicite le prélat d'user à leur égard de toute la condescen- dance possible, 456 à 458; elle écrit à la duchesse de Hanovre sur les images et lui rappelle la doc- trine catholique telle que l'ensei- gne le catéchisme, 483. BRONSWIC. Voyez BRUNSWICK. BROSSEAU, 201, 203 et suiv., 205; il écrit à Leibniz en lui manifes-
CLEMENT Alexandrin, écrivain, 90, 91 et suiv., 97 et suiv. CLEMENT VIII, pape, 273. CLOTILDE (Dieu de), 120. COLBERT, ministre 149. COLOGNE, 46.
COMATUS, Qu'est-ce, 157. COMPIÈGNE (M. de), 26. CONCORDE (Livre de la). Voir la LXXIII lettre de Bossuet à Leibniz, 253.
CONCORDIA CONCORS, par Hutterus. Ce que c'est, 276.
CONCORDIA DISCORS, par Hospinien. Ce que c'est, 276.
CONSTANCE (Concile de), 128.
DICTIONNAIRE critique, 345. DIEU. Motifs de confiance en lui, 3; sa révélation à l'Église, 7; neur qui lui est dû, 11, 13, 15, 62, 63, 64, 66, 70, 71, 74, 75, 77, 79 et suiv., 272 et suiv., 332 et suiv., 466 et suiv.
DIFFÉRENDS de la religion. Réflé- xions de Pellisson à ce sujet, 185. DIOMÈDE, 338.
DISPUTE de Ratisbonne, 2.
CONSTANCE, empereur, protecteur de DODART, médecin de la princesse de
CONSTANTIN, empereur, 26, 27.
Couti, 217, 239, 244.
DRAGON, 401.
DYNAMIQUE (Traité de la) de Leibniz;
désir de Pellisson de la connaître, | FERDINAND, 272. 195, 219, 237 et suiv.- Essai de Dynamique (voir l'Appendice), FERRARE, 375.
Ephèse (concile cecuménique d'), 426. ÉRASME, 395.
ERNEST-AUGUSTE, duc de Hanovre. Écrit à l'évêque de Tina et le féli- cite du succès de son voyage en Italie, 45. ERNEST, landgrave. Ses études sur les controverses, 128, 207, 359. ESPAGNE, 85.
ESPAGNOLS, 131, 272.
ESSAI du Commentaire par le R. P. dom Pezeron, 368. ESTHER, 401.
EUCHARISTIE, 64, 84, 154, 175, 188 et suiv., 220, 246, 371 et suiv. EUGÈNE, pape.
EUPHRATE, fleuve. 196. EUROPE, 2, 136, 154, 161, EUSTATHIUS 368.
EXCOMMUNICATION (de l'). Ses consé-
quences, 103, 132 et suiv. EXPOSITION de la foi. Ce que c'est; voir la lettre XII de Leibniz à Bossuet, 28, 30, 40, 130. EXTRAIT de la dissertation de M. l'abbé Pirot sur le concile de Trente par Leibniz, 369 à 379.
FERRIER, abbé, 355 et suiv., 373 et suiv.
FLÉCHIER, 163.
FLORENCE, 175, 375 et suiv. FONTAINEBLEAU, 96.
FORCE égale, moindre et plus grande (De la). Définition (voir l'Appen- dice), 470.
FRANCE, 28, 57, 68, 75, 76, 85, 88, 96, 128 et suiv., 147, 149, 150, 160, 161, 164, 165, 174, 178, et suiv., 204 et suiv., 231 et suiv., 245 et suiv., 272, 310, 318, 332, 359, 368 et suiv.
FRANCFORT, 97, 132, 318. FRÉDÉRIC de Saxe. Écrit à l'évêque de Tina et le félicite sur son heu- reux voyage en Italie, 47. FURSTENBERG (de), cardinal, 284.
GABAON, 191. GABRIELLE (Mère), 489. GALATES OU Gallo-Grecs, 369. GALILÉE, 207.
GALLOIS (l'abbé), 149, 239. GAZETTE DE ROTTERDAM. Calomniant Pellisson, 359. GENÈVE, 190, 225.
GEORGE-GUILLAUME, duc de Bruns- wick et de Lunebourg, 32. GERMAIN (Saint-), 155, 284. GERMAINS, peuple, 272. GLAUCUS, 338.
GOTHS, 397. GOURVILLE (De), 40.
GRECS. Différence entre eux et les protestants, 12, 34, 172, 174,
FABRI (Père Honoré), pénitencier de HAMEL (DU), 239.
HANANYOU CATHOLICOS. Qui a fait cet ouvrage, 334.
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