NUMÉROS D'ORDRE. DÉSIGNATION DES LETTRES. DATES. Suite Série Numéros des pages 429 CCXLVII. CXVII B Leibniz à Antoine-Ulrich. ... 4 mai 1700. 309 CCXLIX CXVIII B Concept oder Brouillon, etc.. CCL CXIX B Leibniz à Bossuet.. CCLII CXXI B Bossuet à Leibniz.. CCLIII CXXII B Leibniz à Bossuet.. CCLIV CXXIII A Leibnizius Reinero Vlostorf. CCLV CXXIV B Leibniz à Bossuet.. CCLVI CXXV B Bossuet à Leibniz. 12 aoust 1701. 1332 393 17 aoust 1701. 1396 logum Helmestadiensem... 27 déc. 1701. 1426 5 févr. 1702. 1428 M. de Meaux, etc..... 1702 450 CCLXIII CXXXII B Leibnizius ad Fabricium, theo- logum Helmestadiensem... 6 januar. 1706. 453 CCLXIV CXXXIII A Leibnizius Molano.... 13 martii 1706. 455 CCLXV CXXXIV B Molanus Leibnizio.. 13 nov. 1706. 455 CCLXVI CXXXV| BClemens XI. S. P.. 2 julii 1707. 458 CCLXVII CXXXVI B Leibnizius ad Fabricium, theo- logum Helmestadiensem. 4 sept. 1708. 460 CCLXVIII CXXXVII B Idem ad eumdem.. 17 sept. 1708. 461 CCLXIX CXXXVIII B Idem ad eumdem.. 22 sept. 1708. 462 CCLXX CXXXIX B Leibniz an den Herzog Anton Ulrich.... 2 avril 1709. 464 CCLXXI CXL AS. S. Clementi XI A. Ulrichus. 11 januar. 1710. 469 CCLXXII CXLI B Instrumentum conversionis S. ducis Antonii Ulrici...... 1 april. 1710. 470 CCLXXIII CXLII B A.Ulrichus SS. Clementi PP. XI 14 april. 1710. 477 CCLXXIV CXLIII B A.Ulrichus SS. Clementi PP. XI 9 februar. 1711.479 CCLXXV CXLIV B Leibnizius ad Fabricium, theo- logum Helmestadiensem... 15 martii 1712. 480 CCLXXVI CXLV B Idem ad eumdem... 17 martii 1712. 48 CCLXXVII CXLVI B Clementi PP. XI A. Ulrichus. 19 martii 1712. 483 CCLXXVIII CXLVII A Clemens PP. XI dilectæ in censi et Luneburgensi.... 17 sept. 1712. 484 CCLXXIX CXLVIII B Angelus episcopus cardinali CCLXXX CXLIX B Declaratio serenissimi ducis regnantis patris..... ....13 februar. 1714. 488 CCLXXXI CL B Consensus serenissimi ducis filii secundo geniti...... 3 februar. 1714.489 CCLXXXII CLI B Clemens PP. XI serenissimo duci Antonio Ulrico....... 24 martii 1714.489 CCLXXXIII CLII A Leibniz à la princesse de Galles. Vers 1716. 491 APPENDICE. Janvier 1677. 1497 A Explication sommaire de l'A- B Épitre en vers de M. de Bétou- A Dialogue entre un habile po- A Irenica cogitata de instauranda (C 5 15 6 546 559 565 (C FIN DE LA TABLE. FAC SIMILE de remarques autographes déposées par LEIBNIZ sur les marges d'un exemplaire des Reflexions de PELLISSON از IV. La distinction de la clef qui erre ou qui n'erre point, la clef poule clave non errante, est souvent employée par les ca- coria conforme tholiques, mais elle ne peut icy avoir aucune applica- La tion. Cette erreur de la Clef ne s'entend jamais que du paper centrum particulier commis pour exercer le pouvoir des Clefs Concie lors is qu'ils au nom de l'Église. La Clef dans les mains de ce parti- yenilleur icon culier peut errer ; mais la Clef n’erre jamais entre les manico quely mains de l'Eglise universelle dans les articles de foy parlinlich.com non contestez. La clef n’erre jamais entre les mains des penuln't Conciles generaux qui representent toute l'Eglise, lors- se fromger qu'ils prononcent sur les matières de foy. La Clef facto n'erre jamais enfin entre les mains de cette mesme ils se www.com Eglise, qui acquiesce à leurs décisions, les ratifie et les robur rampere confirme tous les jours par un continuel et nouveau suf- lu in unele que frage. Les Catholiques ne sçauroient pas entendre au-point'la qoysalna trement, clave non errante, sans se contredise eux Train mesmes, puisqu'une Eglise inspirée et infaillible est leur premier principe. poteft infallible quen a quelle ne demek Jalutairpo me anuale V. e cate from the ut Au fond cette promesse si magnifique, faite à toute com sitnica l'Eglise en la personne des Apostres, se reduit à rien et horny devient une illusion si on l'entend comme Monsieur de Leibniz. Quand vous jugerez bien, vous jugerez bien, et je jugeray comme vous dans le ciel; mais quand vous jugerez malways jugerez mal, et je ne jugeray pas (***) CSE comme vous entila un tre-beau privilege , et olen grigier ) petit Juge de village, et le petit Particulier qui ne frutiming gone puisse dire de mesme, si je juge bien, Dieu jugera bany policies comme moy. En un mot, ou la promesse n'est rien, ou univer. Selle a triks que vous jugerez avec moy, que mon esprit ne vous abandonnera point, et que je suis avec vous jusqu'à la livrajaman! qu'clle n'appro. fin du monde. Monsieur de Leibniz semble vouloir ap- une collur one porter là-dessus une distinction toute nouvelle, au trainc a la Foy. moins que je n'ay point vuë ailleurs. L'Eglise, dit-il, at hun fare. inas pourroist ètre infaillible sur la foy, c'est-à-dire, que dans Tantry Dieu ne permettroit pas qu'elle tombast sur la foy en une erreur damnable; mais il ne s'ensuivroit pas Borreliselt qu'elle ne pust décider comme de foy ce qui ne seroit elle ait point de foy : car cette erreur, si on se trompoit làdessus dans l'Eglise, ne seroit pas damnable. Je le prie d'y faire un peu de reflexion, de se souvenir de la loy une anoir lich icy! Un bon suge peut condanner un all namences le plument fous mais graved mémos positions de mort an inarudent, par imprudence, low legismisse pas four telu C'Eglise Sasinfallible grozen forgjoning auwrite grande Inhoud du Talion. (#) |