 | A. Brierre de Boismont - 1852 - 754 sayfa
...par-dessus mon épaule dans le livre que je tenais à la main. Je sentais ses poils dégoûtants m'cfllcurer le cou et le visage. » Qu'on juge de la terreur que...derrière moi (dans la glace encore) entrer une procession sinistretc'étaicnt des squelettes horribles, portant d'une maia leurs tètes horribles , et de l'autre... | |
 | 1883 - 564 sayfa
...de même couleur qui lui tombaient sur les épaules. Je sentais ses poils dégoûtants m'effleurer le cou et le visage. Qu'on juge de la terreur que...apparition. Une sueur froide coulait sur tout mon corps; cet état durait bien longtemps et l'immobile cadavre ne se dérangeait pas. Cependant j'entendais... | |
 | Paul Richer - 1885 - 1016 sayfa
...par-dessus mon épaule dans le livre que je tenais à la main, et ses poils dégoûtants m'effleuraient le cou et le visage. » Qu'on juge de la terreur que...derrière moi (dans la glace encore) entrer une procession sinistre; c'étaient des squelettes borribles, portant d'une main leurs têtes, et de l'autre de longs... | |
 | Maurice Tourneux - 1898 - 704 sayfa
...de même couleur qui lui tombaient sur les épaules. Je sentais ces poils dégoûtants m'effleurer le cou et le visage. « Qu'on juge de la terreur que...apparition. Une sueur froide coulait sur tout mon corps; cet état durait bien longtemps et l'immobile fantôme ne se dérangeait pas. Cependant, j'entendais... | |
 | Maurice Tourneux - 1898 - 694 sayfa
...lui tombaient sur les épaules. Je sentais ces poils dégoûtants m'effleurer le cou et le visage. restais immobile dans la position où je me trouvais,...apparition. Une sueur froide coulait sur tout mon corps; cet état durait bien longtemps et l'immobile fantôme ne se dérangeait pas. Cependant, j'entendais... | |
 | Maurice Clouard - 1900 - 318 sayfa
...de môme couleur qui lui tombaient sur les épaules. Je sentais ces poils dégoûtants m'effleurer le cou et le visage. « Qu'on juge de la terreur que...apparition. Une sueur froide coulait sur tout mon corps ; cet état durait bien longtemps, et lïmmobile fantôme ne se dérangeait pas. Cependant, j'entendais... | |
 | Alfred de Musset - 1910 - 448 sayfa
...de même couleur qui lui tombaient sur les épaules. Je sentais ces poils dégoûtants m'effleurer le cou et le visage. Qu'on juge de la terreur que...apparition. Une sueur froide coulait sur tout mon corps ; cet état durait bien longtemps ; et l'immobile fantôme ne se dérangeait pas ; cependant, j'entendais,... | |
 | Alfred de Musset - 1911 - 460 sayfa
...de même couleur qui lui tombaient sur les épaules. Je sentais ces poils dégoûtants m'effleurer le cou et le visage. Qu'on juge de la terreur que...apparition. Une sueur froide coulait sur tout mon corps ; cet état durait bien longtemps; et l'immobile fantôme ne se dérangeait pas ; cependant, j'entendais,... | |
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Je sentais ces poils dégoûtants m'effleurer le cou et le visage. Qu'on juge de la terreur que doit inspirer une vision pareille : je restais immobile dans la position où je me trouvais, n'osant pas tourner la page, et les yeux fixés dans la glace... 