Sect. III. Dernières Réflexions qui me

sont personnelles. Sect. IV. Commencement de l'Asemblée

Législative. Mouvemens populaires , & première irruption dans le Palais

du Roi le 20 Juin 2792. SECT. V. Journée du 10 Août 1792.

Captivité du Roi. Fin de l'Assemblée

Législative. Sect. VI. Convention Nationale. Juge

ment & mort du Roi. Sect. VII. Convention Nationale. Sa

tyrannie & son asservissement.

TOME TROISIE M E.

Sect. I. Convention Nationale. Son Ad

ministration & ses Loix. Sect. II. Chúte de Robespierre, & depuis

cette époque jusques au moment de la Constitution nouvelle. Sect. III. Présentation de l'Acte Cons

titutionnel aux Asemblées Primaires. Mouvement des Sections de Paris du 13 Vendémiaire ( 5 Octobre 2795.) Fin de la partie historique de cet

Ouvrage. Sect. IV. Constitution Républicaine de

2795 Sect. V. Réflexions générales sur le

même sujet.

Τ Ο Μ Ε

QUATRIEME.

Sect. I. République Fédérative. Exemple

des Américains. Sect. II. Monarchie tempérée. Exemple

de l'Angleterre. RÉFLEXIONS PHILOSOPHIQUES

SUR L'ÉGALITÉ. De l’Egalité dans ses rapports avec l'ordre public

On verra que cet. Ouvrage avoit été terminé à la fin de 1795. Une indécision de ma part & des difficultés de librairie ont retardé fa publicité.

ERRATA.

Troisième Volume.

Pag. 318, ligne 21, la source ; metrez la source. Pag. 13, ligne 13, de l'Europe ; mettez du reste de l'Europe.

Quatrième Volume. Pag. 15, ligne 9, après mot , au lieu d'une virgule

mettez deux points. Idem, ligne 17, après social, au lieu d'un point & d'une

virgule mettez une virgule. Page 73, ligne 4, approuvera; mettez m'approuvera.

Avant-coureurs & préparatifs des

Etats-Généraux.

ne

'ÉPOQUE d'une grande révolution politique n'est jamais le tems qu'il faut choisir pour en écrire l'histoire. Ces mémorables récits, auxquels l'opinion des Gècles doit rester attachée peuvent obtenir la confiance , ne peuvent présenter un caractère d'impartialité, s'ils sont entrepris au milieu des haines & durant le tumulte des passions, Tome I.

А

Et cependant, s'il existoit un homme assez étranger # l'esprit de parti ou assez maître de lui-même, pour décrire avec calme les orages dont il auroit été le témoin, on seroit mécontent de sa tranquilité, & l'on craindroit que son ame n'eût pas su garder l'empreinte de tous les sentimens auxquels on voudroit s'associer.

Il faut donc se borner , dans le tems où nous sommes , à recueillir , à préparer les matériaux dont les Tites-Lives & les Tacites des âges fuivans pourront un jour faire usage. Nous avons mieux conna l'esprit de la Ligue que les contemporains des Guises & des Valois, & nous avons mieux jugé le grand Henri que ses ennemis ou ses courtisans : il en sera de même de la Révolution présente, nos successeurs en découvriront plus sûrement que nous & l'origine & les premières causes , & c'est à eux seuls aussi qu'il appartiendra , d'assigner une