Revue dominicaine, 13. cilt

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Couvent des Dominicans., 1907
 

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Popüler pasajlar

Sayfa 20 - ... de profit je veux au moins du plaisir; et vive la joie! Qui sait si le monde durera encore trois semaines...
Sayfa 310 - Il est des nœuds secrets, il est des sympathies, Dont par le doux rapport les âmes assorties S'attachent l'une à l'autre, et se laissent piquer Par ces je ne sais quoi qu'on ne peut expliquer.
Sayfa 242 - Écoute cette voix trop dédaignée, car qui t'avertira, si ce n'est moi? qui t'aimera assez pour te traiter sans pitié? qui mettra le feu dans tes plaies, si ce n'est celui qui les baise avec tant d'amour, et qui voudrait en sucer le poison au péril de sa vie? » Je n'étais pas rebelle, comme on pourrait le croire d'après ces ardentes remontrances. Je n'étais qu'hésitant et troublé.
Sayfa 209 - ... d'une vie d'homme. Le poète n'est pas tout l'homme, comme l'imagination et la sensibilité ne sont pas l'âme tout entière. Qu'est-ce qu'un homme qui, à la fin de sa vie, n'aurait fait que cadencer ses rêves poétiques...
Sayfa 20 - L'on croit s'assembler au spectacle, et c'est là que chacun s'isole : c'est là qu'on va oublier ses amis, ses voisins, ses proches, pour s'intéresser à des fables, pour pleurer les malheurs des morts, ou rire aux dépens des vivants.
Sayfa 310 - Monsieur, c'est trop d'honneur que vous me voulez faire ; Mais l'amitié demande un peu plus de mystère Et c'est assurément en profaner le nom 280.
Sayfa 324 - C'est donc une sainte et salutaire pensée de prier pour les morts , afin qu'ils soient délivrés de leurs péchés (1).
Sayfa 21 - ... nous affaiblissent, nous rendent plus incapables de résister à nos passions ; et le stérile intérêt qu'on prend à la vertu ne sert qu'à contenter notre amour-propre, sans nous contraindre à la pratiquer.
Sayfa 242 - Mais les mêmes courriers qui m'apportaient ces lettres empoisonnées m'en apportaient d'autres bien plus nombreuses, où le vrai prêtre, où le véritable ami rétablissait les droits de la vérité en me montrant les sommets toujours accessibles de la lumière et de la paix. Il vint même de sa personne me chercher et me prêcher auprès du tombeau de sainte Elisabeth.
Sayfa 241 - ... que j'aime, je ne sais pas De quel côté s'en vont leurs pas Sur ce peu de fange où nous sommes. Je ne suis ni dieu ni démon, Et tu m'as nommé par mon nom Quand tu m'as appelé ton frère ; Où tu vas, j'y serai toujours, Jusques au dernier de tes jours, Où j'irai m'asseoir sur ta pierre. Le ciel m'a confié ton cœur. Quand tu seras dans la douleur, Viens à moi sans inquiétude, Je te suivrai sur le chemin ; Mais je ne puis toucher ta main ; Ami, je suis la Solitude.

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