| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1802 - 404 sayfa
...immortelle. Sa grotte ne résonnoit plus de son chant : les nymphes qui la servoicnt n'osoient lui parler. Elle se promenait souvent seule sur les gazons fleuris dont un printemps éternel bordoit son isle ; mais ces beaux lieux , loin de modérer sa douleur , ne faisoient que lui rappeller... | |
| Nicolas Gouin Dufief - 1823 - 634 sayfa
...immortelle. Sa grotte ne résonnait plus de son chant : les nymphes qui la servaient, n'osaient lui parler. Elle se promenait souvent seule sur les gazons fleuris dont un printemps éternel bordait kon Sic ; mais ces beaux lieux, loin de modérer sa douleur, ne fêtaient que lui rappeler le triste... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1828 - 420 sayfa
...immortelle. Sa grotte ne résonnait plus de son chant : les nymphes qui la servaient n'osaient lui parler. Elle se promenait souvent seule sur les gazons fleuris, dont un printemps éternel bordait son île : mais ces beaux lieux, loin de modérer sa douleur, ne faisaient que lui rappeler le triste souvenir... | |
| 1829 - 426 sayfa
...sa grotte ne résonnait plus de son » chant; les nymphes qui la servaient n'osaient lui parler; » elle se promenait souvent seule sur les gazons fleuris, » dont un printemps e'iernel bordait son île. Mais ces » beaux lieux, loin de modérer sa douleur, ne faisaient « que... | |
| 1834 - 632 sayfa
...grotte ne rétonnait pins de «on chant : les nymphes qui la «erraient, n'usait ni lui parler. FJle se promenait souvent seule sur les gazons fleuris dont un printemps éternel bordait ьоп île ; mais ces beaux lieux, loin de modérer sa douleur, ne jetaient que lui rappeler le triste... | |
| J. V. Douville - 1835 - 528 sayfa
...immortelle. Sa grotte ne résonnait plus de son chant: les nymphes qui la servaient n'osaient lui parler. Elle se promenait souvent seule sur les gazons fleuris, dont un printemps éternel bordait son île. Mais ces beaux lieux, loin de modërer sa douleur, ne faisaient que lui rappeler le souvenir d'Ulysse,... | |
| Jean Joseph Jacotot, P. Y. de Séprés - 1840 - 906 sayfa
...wanbeltc fie oft auf ben blùl;enben 2tûen, «omit ein ctvigeic grù^ling i^re Snfel umgrûnîte. — Elle se promenait souvent seule sur les gazons fleuris, dont un printemps éternel bordait ion Ile. Etc., etc. Après cette explication de l'auteur par phrases, on fait apprendre par cœur le... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1845 - 558 sayfa
...immortelle. Sa grotte ne résonnait plus de son chant : les nymphes qui la servaient n'osaient lui parler. Elle se promenait souvent seule sur les gazons fleuris dont un printemps éternel bordait son île; mais ces beaux lieux, loin de modérer sa douleur, ne faisaient que lui rappeler le triste souvenir... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1845 - 412 sayfa
...immortelle. Sa grotte ne résonnait plus de son chant: les nymphes qui la servaient n'osaient lui parler. Elle se promenait souvent seule sur les gazons fleuris dont un printemps éternel bordait son tle; mais ces beaux lieux, loin, de modérer sa douleur, ne faisaient que lui rappeler le triste souvenir... | |
| Julien Duquesnois - 1847 - 260 sayfa
...grotte ne résonnait plus du doux son de sa voix; les nymphes qui la servaient n'osaient lui parler. Elle se promenait souvent seule sur les gazons fleuris, dont un printemps éternel bordait son Ile. Mais ces beaux lieux, loin de modérer sa douleur, ne faisaient que lui rappeler le triste souvenir... | |
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