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welcher in weltlich-politische Intriken sich einlässt und stets doppelsinnig sich beträgt. Er verliert nun das Spiel und durch eigene Schuld in einen Abgrund geschleudert, klagt er von seinem Grabe, das er durch sein verkehrtes Benehmen sich selbst gegraben, über Beleidigung der Religion." "Ey nun konnte der Andere entgegenrufen so lasst denn euere Politik fahren, wenn ihr nicht die Wechsel und die Folgen derselben tragen wollt." Renfermez-vous wir lassen den Fran

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ennemis; les y va-t-on chercher, ils crient à la profanation, au sacrilège: n'est-ce point une moquerie véritable, et s'il y a profanation, n'est elle point leur ouvrage? Lorsque des assiégés se retirent dans une église et tirent des coups de fusil par les fenêtres, y a-t-il impiété à les débusquer? Ne changez point les temples en postes de guerre, si vous voulez les tenir à l'abri de la guerre, Comment se réunir dans les temples contre les gouvernemens? Vous vous mettez en état de guerre avec le gouvernement, vous subirez les effets de la guerre. Voyez ce qui est arrivé à M. l'abbé Vinson.

Je n'ai pas voulu être seul dans Paris à ne pas entendre M. de Freyssinous. Ce qui s'en publiait, m'avait préparé d'avance à ce que j'allais voir. Son auditoire était une véritable assemblée contre-révolutionnaire tenant ses séances à S. Sulpice; il fallait être aveugle pour y voir autre chose. Le parti se réunissait là, croyant y trouver une sûreté qui lui manquait ailleurs. Des déclamations continuelles contre la philosophie, contre la révolution, des allusions toujours saisies contre le gouvernement, formaient le fonds des discours. L'esprit de parti applaudissait, la raison gémissait de ce déplorable spectacle qui montrait une église transformée en théâtre pour un parti, et en arêne pour un autre. L'orateur, confiant parce qu'il se sentait appuyé, débitait avec un air de triomphe, mais en style bien vulgaire, des pensées bien communes, telles qu'elles se trouvent dans tous les cahiers de théologie, s'embarrassant par fois dans des questions plus fortes que lui (il m'a fait trembler dans celle des miracles), et au total, il était loin de satisfaire par l'absence absolue du talent. L'esprit de parti en crée, mais le goût n'admet pas toujours ses créations. On peut être à la fois un ecclésiastique

zélé et respectable et un génie tres médiocre. Les ecclésiastiques de cette espèce étaient en religion ce que le faubourg S. Germain était au civil. A Pétersbourg la centième partie de ce qui s'est fait ou dit au faubourg S. Germain, aurait peuplé la Sibérie. On ne l'eût souffert dans aucun pays de l'Europe. Dans l'église comme dans le monde la fronde était devenue le bon ton, car on en est venu au point que dans l'église il faille aussi du De Pradt II, 299-302.

bon ton..

zosen hier selber im Originale reden

,,Renfermez-vous dans la religion, chassez les agens anglais et autrichiens, et il ne vous arrivera point d'encombre. Alors on ne viendra pas vous chercher à Rome, et vous la garderez sans contestation. De bonne foi, si Napoléon eût succombé, qu'eussiez vous fait ? Vous vouliez le chasser de l'Italie, il le savait; il a été le plus fort, il vous a chassé : la loi du talion peut paraître dure, mais est-elle injuste? Il faut s'entendre bien soi-même, c'est malheureusement, ce qui manque à presque tout le monde: il faut savoir ne pas se mêler de politique, ou lorsqu'on a eu la maladresse de le faire sans moyens de le soutenir, ne pas venir après le malheur crier que la religion est attaquée. Ce langage peut encore tromper quelques dupes, convenir à quelques hypocrites; mais il irrite, il éloigne les gens sensés, ceux qui aiment la raison, la clarté dans les discours et dans les actions, la sincérité, et le bon ordre qui fait que chaque chose est à sa place. Vous vous liez aux vaincus d'Austerlitz, et quand vos mauvais amis occupés d'eux seuls vous laissent vis-à-vis d'un vainqueur dont l'oeil a pénétré jusqu'au dernier replis de votre coeur, alors vous invoquez le respect dû à la religion, vous proclamez que les bien-heureux apôtres sont indignés à quel signe l'ont-ils fait connaître? quel langage! dans quel temps, et à quels hommes l'adressez-vous! Invoquez ces glorieux princes du collège apostolique, lorsque les dogmes sacrés qu'ils nous ont transmis et qu'ils ont scellé de leur sang se ront attaqués; alors nous accourerons tous à votre voix, parce qu'elle parlera son langage naturel, celui de la religion: langage inséparable de la raison, sans laquelle il n'y eut jamais de religion, langage père de l'ordre dont la religion est le premier garant. Mais quand il s'agira de la Romagne, des légations, les apôtres n'en ont jamais entendu parler. Ce n'est pas de la religion cela, ce sont des provinces: eh bien! qu'elles suivent les lois applicables par la politique aux provinces et aux territoires qui sont les enfans naturels de la politique comme le spirituel est celui de la religion. La politique sacrée n'est tolérable que dans Bossuet; dans Rome au temps de Napoléon, elle n'est propre qu'à vous en faire chasser.

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Quelques-uns s'imaginent qu'à Rome, on ne fait que de

la religion; ils sont toujours prêts à tomber à genoux: qu'ils lisent l'histoire, et qu'ils apprennent à distinguer entre le chef de la religion qui est toujours occupé d'elle, et la cour de Rome qui est très-souvent occupée d'autre chose. Cette cour

là a toujours su bien partager son temps,

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Quelques autres se figurent qu'il ne s'agit que de prendre certaine attitude, et de s'établir sur des principes à soi, en argumentant de tout ce que l'on peut tirer de vieux arsenaux décrédités. Quelle chimère! quelle illusion! avec un hom. me tel qu'était Napoléon, c'était précisément ce qu'il fallait pour se perdre. Il était plus subtil que ceux qui voulaient l'embarrasser, il était plus fin que les ergoteurs de Rome, il était plus fort qu'eux; il avait en horreur les pointilleries, les tortuosités: l'attaquer par des embûches était le reporter sur son terrain propre; prétendre l'arrêter avec des subtilités théologiques ou diplomatiques était oublier qu'il était porteur d'une épée en possession de couper tous les noeuds gordiens: se montrer à la fois en ennemi et en ennemi faible, était le moyen infaillible de l'attirer chez soi. Napoléon avait pour habitude de regarder faire son ennemi, et puis de faire son plan sur ses fautes; avec Rome il n'eut que l'embarras du choix: car il est impossible d'assembler plus de contresens qu'on ne faisait à Rome. Si les cardinaux Consalvi et Caprara avaient continué de diriger, rien de tout cela ne serait arrivé. La cause première des malheurs se trouve dans les conseils aveugles qui prévalurent au retour de France: il n'y a rien de plus dangereux que la faiblesse qui s'abandonne à la violence. C'est elle qui a amené la lutte entre le pape et Napoléon; il eut le malheur de se li vrer aux ultrà de son pays: ils firent là ce qu'ils font parUn 5 septembre en permanence devrait les attendre partout où ils tentent de s'établir.

tout.

Cette lutte engagée sans jugement fut soutenue par Rome avec gaucherie, par Napoléon avec violence; on vit d'un côté les excès de la maladresse, et de l'autre ceux de la force: il faut à la fois beaucoup mépriser les premiers, et beaucoup haïr les seconds."

Ja wohl! so sind die Dinge zu nehmen, welche in dem merkwürdigen Kampfe sich ereignet, oder vielmehr denselben

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herbeigeführt haben; und so sind sie auch in späterer Zeit überall zu nehmen, wo Rom mit seinem Einflusse aufgetreten ist. Stets wie eine politisch-intrikante Macht handelnd, will es doch fortwährend als religiöse behandelt seyn, und der heilige Petrus soll mit seinem Ansehn dazwischen treten, da, wo Simon Magus nicht durchgedrungen.

Nach der verhängnissvollen Schlacht bei Austerlitz (1805) und dem Pressburger Frieden, war Napoleons Macht noch mehr gestiegen. Neapel war - erobert, Rom von seiner Herrschaft umgeben. Jetzt that das glimpflichste Benehmen und die tiefste politische Weisheit noth. Aber statt dessen wählte man zu Leitern der Geschäfte eine Anzahl von Prälaten aus, welche die widerwärtigsten, abstossendsten und unwissendsten Menschen, und weder die Zeit, noch die Verhältnisse, noch den Gegner und dessen Kräfte zu beurtheilen im Stande waren; und man fing einen Krieg mit diplomatischen Noten an *). Dazwischen kam der Krieg mit Preussen (1806), und Napoleon war in Preussen und Polen beschäftigt. Der römische Hof benutzte diese Zeit redlich für Intriken aller Art. Die spanischen Angelegenheiten verwickelten sich, und der heilige Vater wirkte nicht wenig mit, die Mönche in ihrem Vorhaben zu steifen. An die Cortes selbst hatte er nicht so, viel gedacht. Schon die frühern Rüstungen des Friedensfürsten, im Einverständnisse mit Rom, hatten auf dem Schlachtfelde von Jena den Entschluss in Napoleon erzeugt, die Verräthereien des heiligen Stuhles empfindlich zu bestrafen. Es ward derselben aber auch später gar kein Ende. Fremde Intriken, Beschützung neapolitanischer Räuber, Aufnahme aller missvergnügten Italiener, Begünstigung englischer Sendlinge, Meuchelmord von Franzosen auf allen Strassen des Kirchenstaates, dies alles waren ,,Nadelstiche" von der Art, dass sie Schwertschläge nothwendig nach sich ziehen mussten.

Nach der Rückkehr aus Preussen (August 1807), verfügte sich Napoleon noch im November desselben Jahres nach

*) On sait ce que c'est. Un procès commencé par la politesse et fini par le canon, dès que la modération ne tient pas la plume. Pradt, 307.

Italien, und entsetzte die spanisch-bourbonische Familie in Etrurien des königlichen Thrones, welchen er ihr selbst zuvor verwilligt hatte. Dies war das Vorspiel für Spanien selbst und auch für Rom. Er durfte nirgends im Rücken Feinde hinterlassen, welche eben so treulos als gefähr lich waren. Dies ist das Geheimniss seiner Politik gegen mehr als eine Macht, die er vernichtete. ,,Les perfidies des autres ont fait souvent à ses yeux l'excuse de sa perfidie propre" diese Worte des alten Intrikanten enthalten eine Wahrheit, die man bei Vergleichung seiner Politik mit derjenigen der übrigen immer mehr und nehr fühlt. Seine diplomatischen und kriegerischen Verbrechen sind zum mindesten für den Ruhm und für grosse Ideen vollbracht worden; aber für welche Ideen sind denn die der neuesten Zeit vollbracht, und wofür die Hälfte von Hellas, Italien, Spanien und Portugal geschlachtet worden?

Der Marquis von Alquier war im Jahre 1807 zuletzt Gesandter des Kaisers am päbstlichen Hofe gewesen; so viele Unterredungen dieser Diplomat auch mit Pius und dessen Ministern hatte, so vielmal überzeugte er sich, dass weder der Pabst selbst, noch seine Leute genau mit dem Volksgeiste und dem Stande der öffentlichen Meinung in Frankreich vertraut seyen; das Kompliment der Kniebeugung beim Einzuge in die verschiedenen Städte, während der bekannten Reise, hatte man römischer Seits thōricht genug für den sichern Ausdruck innerer Rührung und Hochachtung genommen. Darauf baute nun die weltlich - kirchliche Politik des römischen Hofes fernere Anmaassungen und Plane und zog daraus die Kräfte ihres hartnäckigen Widerstandes.

Das Schreiben des Generals Lemarrois, Befehlshabers in den Legationen, worin über die Einkünfte der Provinz Macerata Aufschluss begehrt wurde, zeigte bereits das schlimme Verhältniss und des Kaisers feindliche Gesinnung an. Im Jänner des folgenden Jahres überreichte der Marquis von Alquier dem Kardinalstaatssekretäre eine Note, worin die Marschordnung für eine Heersäule von 6000 Mann beschrieben war, welche unter Befehl des Generals Miollis nach Neapel sich begeben sollte; allein bald erfuhr man ihre eigentliche Bestimmung, nemlich der

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