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des Innern, ward für das katholische Kirchenwesen: (Roomsch Katholijken Eeredienst) geschaffen und zwei Männer von gros

des élèves au sanctuaire? Le pouvoir qu'ont les Evêques de surveiller l'enseignement de la foi, et de la morale Chretienne dans toute l'étendue de leurs diocèses, comme celui de remplir toutes les autres fonctions, de leur ministère, émane de la volonté et de l'autorité de J. C. lui même. On ne peut le leur ôter ni le limiter sans soumettre la doctrine de la foi et toute la discipline ecclesiastique à la puissance séculière, sans renverser, par conséquent, tout l'édifice de la Religion Catholique.

(Art. 145.) 6 Jurer d'observer et de maintenir une Loi qui autorise les Etats provinciaux à exécuter les Lois relatives à la Frotection des différens cultes, à leur exercice extérieur, à l'instru→ ction publique, n'est ce pas confier les plus grands intérêts de la Religion à des laiques qui n'ont, et ne peuvent avoir, aux yeux de l'Eglise Catholique, aucune qualité, soit pour reconnaitre la justice des Lois de ce genre qui leur seront envoyées, soit pour en diriger l'application, soit pour en ordonner l'exécution dans les diocéses respectifs? S'il arrivoit (et nous devons tout prévoir) que la plupart des membres de ces Etats ne fussent pas favorablement disposés envers le Clergé, on verrait certainement renaître, sous différens prétextes, tout l'arbitraire, tout le même genre de vexations et d'oppressions qu'ont fait éprouver, tant de fois, au Clergé Catholique les autorités locales sous l'ancien Gouvernement François, et l'Eglise se trouveroit, de nouveau, asservie, en vertu des Lois de l'Etat, et selon les caprices des membres des Etats provinciaux. A Dieu ne plaise qu'aucun enfant de l'Eglise concoure par un serment solennel à maintenir un tel ordre de choses.

(Art. 2. Addit.) 7° Jurer de regarder toutes les lois comme obligatoires, jusqu'à ce qu'il y soit autrement pourvu, et de maintenir toutes les Lois qui sont maintenant en vigueur, ce serait coopérer évidemment à l'exécution éventuelle de plusieurs Lois antiCatholiques et manifestement injustes, que renferment les Codes civil et pénal de l'ancien Gouvernement François et notamment de celles, qui permettent le divorce, qui autorisent légalement des unions incestueuses, condamnées par l'Eglise, qui decernent, contre les Ministres de l'Evangile, fidèles à leurs devoirs, les peines les plus sévères etc. .... toutes lois, qu'un vrai Catholique doit avoir en horreur.

Il est encore d'autres articles qu'un véritable enfant de l'Eglise ne peut s'engager par serment, à observer et à maintenir, et dont l'urgence des circonstances ne nous permet pas de nous occuper en ce moment; tel est, en particulier, le 227me, qui autorise la li

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sem Talente und den rechtlichsten Gesinnungen traten an die Spitze derselben: der Baron Goubau d'Hervorst als Generaldirektor, und Herr P. G. van Ghert, gebildet auf teutschen sowohl als holländischen Hochschulen, als Generalsekretär und Aviseur. Beide (Belgier und Katholiken von Geburt) erwarben sich in der fünfzehnjährigen Dauer ihres Amtes unsterbliche Verdienste um ihr Vaterland und sind, in ihrer gemeinschaftlichen Wirksamkeit mit des kenntnissreichen, hellen und thatkräftigen Monarchen eigener Person, als wahre geistige Wohl

berté de la presse, et ouvre la porte à une infinité de désordres, à une déluge d'écrits anti-Chrétiens et anti-Catholiques. Il nous suffit d'avoir prouvé que la nouvelle Loi fondamentale contient plusieurs articles opposés à l'esprit et aux maximes de notre Sainte Religion, et qui tendent évidemment à opprimer et à asservir l'Eglise de J. C.; que par conséquent, il ne peut être perinis aux fidèles catholiques de s'engager, par serment, à les observer et à les maintenir.

Nous avons dû considérer ces articles en eux-mêmes, et sous le rapport des funestes effets qui doivent, tôt ou tard, résulter de leur exécution. Le caractère connu de notre auguste Monarque nous don ne, sans doute, un juste motif d'espérer qu'il daignera, par sa royale sollicitude, en préserver, autant que possible, ses provinces Catholiques qui forment la majeure partie du nouveau Royaume; mais dès qu'une Loi humaine est intrinsèquement mauvaise et opposée à la Loi divine et aux Lois de l'Eglise, l'on ne peut sous aucun prétexte, s'engager à y obéïr.

Après avoir instruit nos diocésains des motifs réligieux qui doivent les empêcher de jurer d'observer et de maintenir la nouvelle Loi fondamentale, nous devons les avertir qu'ils ne doivent jamais oublier qu'un des principaux caractères d'un vrai Chrétien, d'un fidèle enfant de la sainte Eglise Catholique, apostolique et romaine, c'est l'amour de la paix, la soumission aux Puissances, la parfaite résignation à la volonté divine touchant l'issue des évènemens les plus affligeants pour son coeur; pour nous, qui vous devons ces avis salutaires, nous dirons avec un des plus éloquens Docteurs de l'Eglise,,,Sans doute que tout homme sage qui considérera notre conduite, ne nous accusera pas d'avoir été portés à écrire ceci par la vicieuse impulsion de quelque passion humaine. Il sera convaincu, que nous y avons été déterminés par la fidélité, que nous devons à J. C., à raison de la liberté qu'il nous a donnée..... Car il est impossible de nous soupçonner d'élever la voix pour notre intérêt personnel, c'est pour la cause de J. C. que nous vous adressons ces instructions et nous avons compris qu'il

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thäter desselben anzusehn. Der blinde und wüthige Hass, welcher fortan jede ihrer Maassregeln verfolgte, ist das glänzendste Zeugniss ihrer Anstrengungen. Mit ihnen' arbeitete auch, je nach den Umständen mehr oder minder siegreich, die Gesellschaft Tot Nut van het Algemeen, welche in einer Reihe von Filialen durch das ganze Königreich sich ausbreitete, und viele angesehene und gelehrte Männer aus allen Konfessionen unter ihren Mitgliedern zählte.

Der König suchte die der Mässigung anfänglich nicht ganz verschlossene Ueberzeugung des Grafen v. Mean, Bischoff's zu Mecheln, zu gewinnen, welcher Prälat nachmals (an die Stelle des schon früher verschmähten Abbé de Pradt) als Erzbischoff' und Primas an die Spitze des belgischen Klerus trat. Bald auch traf man Anstalten, mit dem Oberhaupte der katholischen Kirche, Pius VII., zum Behufe der Reglung der verworrenen geistlichen Angelegenheiten und des Abschlusses eines neuen, billigen Konkordates, in Unterhandlung zu treten.

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Mit welch grossen Schwierigkeiten die Regierung jedoch unter freiwilligen und unfreiwilligen Centauren zu kämpfen gehabt, hatte schon der Vorfall bewiesen, als für das Wohlseyn der Prinzessin von Oranien, geb. Grossfürstin von Russland, in den Kirchen gebetet werden sollte, und die Bischöffe von Gent, Doornik und Namur, ärgerliche Anstände erhoben, solches zu 'Gunsten einer Ketzerin und Schismatikerin zu thun. Der rö-mische Hof, als Schiedsrichter aufgerufen, hatte sich auf feine

étoit de notre devoir de ne pas garder le silence dans les circonstances actuelles. (S. Hilar. cont. Const. Imper. T. 2.)“

Sign. Le Prince Maurice de Broglio, Evêque de Gand.
Charles François Joseph Pisani de la Gaude,

Evêque de Namur.

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J'adhère au Jugement doctrinal ci-dessus porté par Messeigneurs les

Evêques du Royaume des Pays-Bas.

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J. A. Barrett', Vicaire Génér. Gendr. Cap. dev

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ja etwas sophistische Weise aus dem unangenehmen Dilemma gezogen, und in den Formen die grösste Artigkeit bewiesen, ohne dem bekannten Prinzip in etwas zu vergeben.

Während der Jahre 1816, 1817 und 1818 hatte mehr als ein betrübendes Beispiel der unaufhörlichen Einwirkungen des Jesuitismus und fremder Propaganden (besonders der de fide) in die belgischen National- und Kirchenangelegenheiten und auf Volksstimmung und Unterricht sich gezeigt. Auf Kanzeln und in Flugblättern, in Journalen und Lesevereinen suchte man Flandern, Lüttich und Brabant aufzuwiegeln. Verschiedene Priester mussten ihres Amtes entsetzt oder mit aller Strenge der Gesetze in Schranken zurückgewiesen werden. Die päbstliche Kurie spielte ihre Rolle so politisch, als möglich, und der geistvolle Kardinal Consalvi suchte die Interessen des heiligen Stuhles auf eine schickliche Weise mit gebieterischen Umständen in Einklang zu bringen. Auf der andern Seite fuhr der König in Unterstützung und Verbesserung des Zustandes der katholischen Priester fort, ohne jedoch die Mehrzahl und die Häupter günstiger für das System seiner Regierung zu stimmen. Unter den Fanatikern, welche, selbst öffentlich, auf jede Weise den schon vorhandenen Saamen des Missvergnügens weiter auszustreuen bemüht waren, befand sich besonders der Pastor Verheylewegen, Generalvikar zu Mecheln, welcher auch gezwungen war, (im J. 1821) eine Rechtfertigung seines ärgerlichen Benehmens im Drucke erscheinen zu lassen *).

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Die Priester, in ihren öffentlichen Angriffen durch die Wachsamkeit des Regimentes, durch eine kräftige liberale Parthei und die öffentliche Meinung der Vernünftigern zurückgeschlagen, versuchten nun mancherlei andere Wege, um zu ihrem Ziele zu gelangen.

Zuerst trachtele man, die Regierung selbst für ein System von Nachgiebigkeit zu gewinnen, und mit den Liberalen, welche aus mehreren Ursachen, wenigstens theilweise, ihr grollten, abzuwerfeu. Verschiedene Wahlen von Beamten, Stadtbehörden und Abgeordneten zu Provinzial- und Generalstaaten gin

*) Jaerboeken van het Koningrijk der Nederlanden, door M. Stuart 1814-1821.

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gen, im Interesse der apostolischen Parthei, und begünstigt von der Regierung, vor sich. Die Mehrzahl der Gouverneure in den südlichen Provinzen stand im Solde der erstern. Heuchlerisch fing man zugleich nun an, einige ihrer Schritte in Zeitblättern zu lobpreisen, und anbei die sonst überall vernünftige und bil→ lige, hier aber ganz unanwendbare, Idee gangbar zu machen, dass von einem protestantischen Gouvernement noch grössere Nachsicht gegen bestehende Vorurtheile statt finden müsse, als von Seite irgend eines katholischen,

Jeder Akt von solcher Grossmuth flösste jedoch den leitenden Häuptern nur grössere Zuversicht ein, und während mán öffentlich ihn dankbar anzuerkennen schien, lehrte man den Hass gegen die ketzerische Staatsgewalt desto eifriger im Geheimen.

Eine Hauptwaffe in den Händen der Faktion war die Verdächtigung wirklich überspannter oder ihnen sonst vorzüglich gefährlicher Freunde neuer Ideen in den Augen der Regierung. Man legte ihnen republikanische oder gar anarchische Richtungen bei, und verbreitete unter den Augen eines Königs und einer Nation, welche gegen religiöse Indifferenz oder Verachtung des Glaubens ihrer Väter nicht unempfindsam seyn konnten, die Meinung, dass die meisten dieser sogenannten Liberalen Religions-Spötter von Profession und Verächter jeder Art von Kultus seyen, somit nicht nur unter dem Volke die staatsgefährlichsten Grundsätze in politischer Hinsicht aussäeten, sondern auch den geheiligten Anker, an welchem zuletzt die Fortdauer und Sicherheit aller Staaten, von welchem Bekenntniss sie auch immer seyen, ruhe, zerstoren hülfen. Damit suchten sie die Angriffe der Geistvollern und Kräftigern gegen ihr eigenes Werk der Nacht zum voraus unschädlich zu machen und der Regierung den Wahn beizubringen, sie schwäche sich im Vertrauen des Volkes, wenn ihre Wahl auf Personen, wie die beschriebenen, falle.

Die Regierung, welche in ihrer unklugen Grossmuth fortfuhr, lieferte durch häufige und grosse Pensionen, welche sie katholischen Priestern von höherm und niederm Range zufliessen liess, denjenigen bedeutende Finanzmittel selbst in die

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