Le pessimisme de deux poètes contemporains: Jacques Leopardi et Alfred de MussetLouis Pierro, 1896 - 80 sayfa |
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... littérature italienne du XIX® siè- cle , une des plus remarquables est , sans aucun doute , celle de Jacques Leopardi . Les problèmes les plus douloureux de la vie humaine , les contradictions d'un esprit élevé et tourmenté sans cesse ...
... littérature italienne du XIX® siè- cle , une des plus remarquables est , sans aucun doute , celle de Jacques Leopardi . Les problèmes les plus douloureux de la vie humaine , les contradictions d'un esprit élevé et tourmenté sans cesse ...
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... littérature latine et plus encore dans la grecque , il devait nécessairement regarder d'un œil com- plaisant ces époques passées ; même parce que la nature humaine est faite de sorte qu ' elle considère le passé comme meil- leur que le ...
... littérature latine et plus encore dans la grecque , il devait nécessairement regarder d'un œil com- plaisant ces époques passées ; même parce que la nature humaine est faite de sorte qu ' elle considère le passé comme meil- leur que le ...
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... littérature du XIX siècle . Ce pessimisme a envahi tous les esprits , et a acquis dans notre épo- que des proportions vraiment découra- geantes on vit dans la fièvre et dans l'agitation . Plus on observe la production litté- raire de ...
... littérature du XIX siècle . Ce pessimisme a envahi tous les esprits , et a acquis dans notre épo- que des proportions vraiment découra- geantes on vit dans la fièvre et dans l'agitation . Plus on observe la production litté- raire de ...
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... littérature au temps où le romantisme commençait à donner de splendides preuves de sa floraison , et la jeunesse aimait à s'extasier à la lecture des plus grands poètes étrangers , tels que Shakespeare , Byron , Goethe et Schiller ...
... littérature au temps où le romantisme commençait à donner de splendides preuves de sa floraison , et la jeunesse aimait à s'extasier à la lecture des plus grands poètes étrangers , tels que Shakespeare , Byron , Goethe et Schiller ...
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... . Certes , on ne peut nier que dans la littérature contemporaine cette maladie ne soit arrivée à l'état aigu , par le grand nombre de maux qu'on rencontre dans la vie , bien supérieur à celui des plaisirs , 71 - Conclusion.
... . Certes , on ne peut nier que dans la littérature contemporaine cette maladie ne soit arrivée à l'état aigu , par le grand nombre de maux qu'on rencontre dans la vie , bien supérieur à celui des plaisirs , 71 - Conclusion.
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Sık kullanılan terimler ve kelime öbekleri
aime ALFRED DE MUSSET Alfred de Vigny âme amour des poèmes angoisses Arthur Scho blent Byron cause CHANT NOCTURNE choses cœur conviction Dante Alighieri découragement désespoir désolation destinée des hommes Divine Comédie doué d'une sensibilité époque existence exquise femme genitore Goethe Hamlet HARVARD COLLEGE humaine ici-bas infinie J'ai Jacques Leopardi jeune l'âme l'amour l'art l'homme l'humanité Lamartine Leconte de Lisle LEOPARDI ET ALFRED littérature maladie malheu maux qui affligent mélancolie ment misère mondes possibles mort mourir nature nombre de maux nombre de poètes nombre des chants Othello pardi Paul Bourget PAULINE penhauer pensée philosophe allemand plaisirs plein de sé pleure poè poésie de Leopardi poésie pessimiste naît poésie un esprit poète recanatais POÈTES CONTEMPORAINS poètes et philosophes profondes puis-je que donner rêve RISORGIMENTO sanglots Schopenhauer sentiment séquilibre avec l'ensemble seul sombre souffrances soulagement tables qui fonctionnent terre tourment triste tristesse trouver ture vede Victor Hugo Vincent del Mastro
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Sayfa 61 - Mais, pour en être atteint, ne crois pas, ô poète, Que ta voix ici-bas doive rester muette. Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Sayfa 65 - J'ai perdu ma force et ma vie, Et mes amis et ma gaieté; J'ai perdu jusqu'à la fierté Qui faisait croire à mon génie. Quand j'ai connu la Vérité, J'ai cru que c'était une amie; Quand je l'ai comprise et sentie, J'en étais déjà dégoûté. Et pourtant elle est éternelle, Et ceux qui se sont passés d'elle Ici-bas ont tout ignoré. Dieu...
Sayfa 47 - C'est là ce que me dit sa voix triste et superbe, Et dans mon cœur alors je la hais, et je vois Notre sang dans son onde et nos morts sous son herbe Nourrissant de leurs sucs la racine des bois. Et je dis à mes yeux qui lui trouvaient des charmes: " Ailleurs tous vos regards, ailleurs toutes vos larmes, Aimez ce que jamais on ne verra deux fois.
Sayfa 65 - J'ai perdu jusqu'à la fierté Qui faisait croire à mon génie. Quand j'ai connu la Vérité, J'ai cru que c'était une amie ; Quand je l'ai comprise et sentie, J'en étais déjà dégoûté . Et pourtant elle est éternelle, Et ceux qui se sont passés d'elle Ici-bas ont tout ignoré. Dieu parle, il faut qu'on lui réponde Le seul bien qui me reste au monde Est d'avoir quelquefois pleuré.
Sayfa 63 - Muse ! spectre insatiable, Ne m'en demande pas si long. L'homme n'écrit rien sur le sable A l'heure où passe l'aquilon. J'ai vu le temps où ma jeunesse Sur mes lèvres était sans cesse Prête à chanter comme un oiseau ; Mais j'ai souffert un dur martyre, Et le moins que j'en pourrais dire, Si je l'essayais sur ma lyre, La briserait comme un roseau.
Sayfa 55 - Oui, les premiers baisers, oui, les premiers serments Que deux êtres mortels échangèrent sur terre, Ce fut au pied d'un arbre effeuillé par les vents, Sur un roc en poussière. Ils prirent à témoin de leur joie éphémère Un ciel toujours voilé qui change à tout moment, Et des astres sans nom que leur propre lumière Dévore incessamment.
Sayfa 54 - Nous n'avons pas plus tôt ce roseau dans la main, Que le vent nous l'enlève. Oui, les premiers baisers, oui, les premiers serments Que deux êtres mortels échangèrent sur terre, Ce fut au pied d'un arbre effeuillé par les vents, Sur un roc en poussière.
Sayfa 17 - Che la fama e l'allor, più che la pura Luce del giorno, e lo spirar: ti perdo Senza un diletto, inutilmente, in questo Soggiorno disumano, intra gli affanni, O dell'arida vita unico fiore.
Sayfa 28 - Come, ahi, come, o natura, il cor ti soffre Di strappar dalle braccia All'amico l'amico, Al fratello il fratello, La prole al genitore, All'amante l'amore: e l'uno estinto, L'altro in vita serbar? Come potesti Far necessario in noi Tanto dolor, che sopravviva amando Al mortale il mortai?
Sayfa 62 - II pousse dans la nuit un si funèbre adieu, Que les oiseaux des mers désertent le rivage, Et que le voyageur attardé sur la plage, Sentant passer la mort, se recommande à Dieu.