d'instruction et de vertus. Car il ne faut pas juridiction auxquels elle les assujettit eux- TABLE MÉTHODIQUE DES MATIERES CONTENUES DANS CE VOLUME. PREMIÈRE DISSERTATION. SUPÉRIORITÉ DES EVÊQUES A L'ÉGARD DES PRÊTRES. I. Utilité de commencer la discussion par l'examen du IV. Observation sur le second passage, et réponse, 17. -V. Le concile de Trente définit comme article de foi la supériorité des évêques sur les prêtres, -VI. Le concile enseigne assez clairement que cette supériorité est de droit divin, 18. — VII. Il ne définit cependant pas positi- vement cet enseignement, et n'en fait pas un dogme catho- lique, VIII. Raisons de M. Corgné pour soutenir que econcile a défini comme article de foi que la supériorité des évêques sur les prêtres est de droit divin, - IX. Réponses à ces raisons, 19.-X. Doctrine du clergé de d'évêque et de prêtre n'étaient point encore attachés cha- cun à un ordre du clergé, et se donnaient indifféremment aux deux ordres, 29. II. Cette confusion de dénomina- tions n'empêchait pas que les deux ordres ne fussent dis- tincts dès lors, 30. III. Preuve par un passage de S. Paul qu'à cette époque les prêtres étaient soumis aux évêques, - IV. Objection contre cette preuve. L'apôtre Réponse aux objections contre la supériorité des évêques sur les prêtres dans les temps apostoliques. I. Objection. Il n'y avait dans les temps apostoliques qué des évêques et des diacres, ce qui est prouvé, — II. 1 Par l'assemblée de Milet où il est dit que ceux qui gou- vernent l'Eglise de Dieu sont prêtres et évêques, 32. III. 2 Par l'adresse de l'Epitre de S. Paul aux Philip- piens, IV. 3° Parce que l'apôtre ne dicte des préceptes qu'aux évêques et aux diacres, et omet les prêtres, - V. 4 Parce que le même apôtre ordonne à Tite d'établir des Parce que S. Paul atteste que c'étaient des prêtres qui évêques qui ne soient pas distincts des prêtres, 33. — VI. avaient ordonné Timothée évêque, VII. Réponse. Ob- servation; la confusion des dénominations ne prouve pas l'identité d'état, 34. - VIII. Réponse particulière à l'as- semblée de Milet, IX. Réponse à l'adresse de l'Epitre aux Philippiens, 35.-X. Réponse aux passages où S. Paul trace les devoirs des évêques et des diacres, sans parler des prêtres, 37. XI. Réponse à l'ordre donné par S. Paul à Tite d'établir des ministres qu'il nomme en même - - - - deux passages, 48. IV. S. Jérôme pense effectivement - - - CHAPITRE QUATRIEME. EXAMEN DE LA SUPÉRIORITÉ DES ÉVÊQUES SUR LES PRÉ- -- I. Caractères de la tradition qui établit la supériorité des évêques sur les prêtres, II. Divers raisonnements qui résultent de tous les monuments de la tradition, III. 1 Beaucoup de passages établissent textuellement cette vérité, 59.- IV. 2o Beaucoup de fonctions, spécia- lement l'ordination, sont réservées aux évêques et inter- dites aux prêtres, V. 3° Il était défendu dans l'antiquité d'élever un autre autel que celui de l'évêque, et d'offrir un autre sacrifice, VI. 4° Les évêques ont toujours eu le pouvoir de juger les prêtres, de les corriger, de les I. S. Ignace, 61.-II. Philon, 63. — III. Tertullien, IV. Objection tirée de Tertullien, et réponse, - V. Ori- contre Manès, VIII. Canons des Apôtres, 65. — IX. Constitutions Apostoliques, 66.-X. Objection tirée de I. Concile de Laodicée en 320,-II. Concile d'Antioche en 341, 71. III. Concile de Sardique en 347, — IV. S. Athanase, V. S. Théodore de Tabenne,-VI. S. Hilaire, VII. Concile de Carthage sous Gratus en 348, 72. VIII. S. Basile,-IX. S. Epiphane, - X. S. Ambroise, XI. S. Optat, XII. Concile de Saragosse en 381, XIM. Le pape Širice, 73.-XIV. Concile de Carthage sous Genethlius en 390, XV. Troisième concile de Carthage vers 398, XVI. Quatrième concile de Carthage en 398, -XVII. Objection tirée du quatrième concile de Car- thage, 74. XVIII. Réponse, 75. XIX. Code des ca- nons de l'église d'Afrique, 76. XX. Premier concile de Tolède en 400,- XXI. S. Jérôme, - XXII. S. Jean Chry- -XXIII. Objection tirée de S. Jean Chrysostome, 77. XXIV. Réponse, 78. XXV. S. Augustin,. XXVI. Objection tirée de S. Augustin, -XXVII. Réponse, 79. XXVIII. Questions sur l'Ancien et le Nouveau Tes- tament attribuées faussement à S. Augustin. Objection, - -XXIX. Réponse,-XXX. Objection tirée du commen- Zozime, 81.-V. Le pape Célestin I, — VI. S. Cyrille d'Alexandrie, - VII. S. Isidore de Peluse, -VIII. Pre- mier coucile d'Orange en 441, et second concile d'Arles en 452, IX. Concile de Vaison eu 442, S. Léon, 82. XI. Concile de S. Patrice en Irlande, XII. Concile de Chalcédoine en 451, 83. - XIII. Concile d'Angers en 453, XIV. Premier concile de Tours en 461,- XV. Concile de Vannes vers 465, 84. - XVI. Le I. Concile d'Agde, en 506, 85. II. Premier concile d'Orléans, en 511, III. Concile d'Epaone, en 317, — IV. Concile de Valence, en 524, 86. V. Quatrième con- cile d'Arles, en 524, VI. Second concile d'Orléans, eu 533,- VII. Concile d'Auvergne, en 535,- VIII. Troi- sième concile d'Orléans, en 538, — IX. Cinquième concile d'Orléans, en 549, 87. X. Cinquième concile d'Arles, en 554, - XI. Second concile de Brague, en 563, - XII. Recueil de canons de Martin de Brague, 88. - XIII. Se- cond concile de Tours, en 567,-XIV. Premier concile de Mâcon, en 581, XV. Concile de Narbonne en 589, 89. XVI. Cinquième concile de Paris en 595,- XVII. RÉPONSES A DIVERSES OBJECTIONS. I. Objection tendant à prouver que le pouvoir de con- férer les ordres sacrés n'est pas de droit divin exclusive- ment réservé aux évêques, 113. II. Ordination de S. Paul et de S. Barnabé par de simples prêtres, 114. - III. Ordination de S. Timothée par le presbytère, - IV. Exem- ples des églises de Corinthe et d'Alexandrie, - V. Quel- ques autres exemples rapportés par le ministre Blondel, 116. VI. Privilége accordé aux premiers abbés de l'or- dre de Citeaux d'ordonner des diacres, - VII. Les pré- tres associés à l'évêque pour l'ordination, par le concile de Carthage, de 398. VIII. Conciles de Nicée et d'An- cyre, -IX. Cessation de l'usage des prêtres d'ordonner, au quatrième siècle, 117.-X. Premier concile d'Orange en 441, - XI. S. Léon, - XII. S. Basile, - XIII. Second concile de Séville en 619, et concile de Worms en 868, 118. XIV. Huitième concile de Tolède en 653, Le pape Nicolas 1", - XVI. Concile de Tours en 1583, - - - 139. l'autorité du concile de Tours de 1583, 137. - XXXVII. - 119. XVII. Théologiens et canonistes, 120. XVIII. - - CHAPITRE SIXIEME. RÉSUMÉ DE CETTE DISSERTATION. I. Exposition de la question. Distinction de ce qui est --- SECONDE DISSERTATION. SUR LA QUESTION DE SAVOIR SI LES CURÉS SONT ORDINAIRES DE DROIT DIVIN LES CURÉS NE SONT PAS D'INSTITUTION DIVINE. CHAPITRE TROISIEME. 153. EXAMEN DES RAISONNEMENTS PAR LESQUELS ON PRÉTEND I. Raisonnement tiré des Epitres de S. Paul pour pron- -- VIII. Définition fausse donnée par M. Maultrot de l'état - - - l'aveu de M. Maultrot, avaient l'état de vicaires, — XIII. -- Maultrot.Autorité de la Faculté de Théologie de Paris, 179. - XLIV. Réponse, 181. XLV. Dans quel sens la Faculté entend que les curés sont de droit divin, 182. — XLVI. muns entre la Faculté et nous, 183. — XLVIII. La question TROISIÈME DISSERTATION 184 SUR LA QUESTION DE SAVOIR SI LES PRÈTRES OU LES CURES ONT SUCCÉDÉ CHAPITRE PREMIER. PREUVES QUE ni les prêtres ni les curés NE SONT LES - - - I. Division de ce chapitre, 187. II. Texte de l'Evan- dans l'ordre sacerdotal, 192. VII. Les curés ne succè- dent pas dans leur ministère aux LXXII disciples, 193. - VIII. Comparaison de la première mission des apôtres, X. Ministère de l'absolution confié aux apôtres, Dernière mission des Apôtres, qui les constitua évêques, 197. XII. Différence entre cette dernière mission des Apôtres et la première, les prêtres aux LXXII disciples, comme les évêques aux apôtres, vient de la confusion des diverses missions des Apôtres, 200. - XV. A qui succèdent les prêtres ? -XVI. Objections contre les preuves ci-dessus, Objection de Habert, 201. XVIII. Objection de Juenin, -XIX. Objection de Drouin,-XX. Objection de l'abbé de Ja Chambre, 202.-XXI. Objection de Tournély, - - tance de M. Maultrot et réponse, 206. - XXVI. Réponse au raisonnement de Juenin, XXVII. Réponse au rai- sonnement de Drouin, 207.-XXVIII. Réponse au rai- sonnement de Habert, 208. XXIX. Réponse au raison- nement de l'abbé de la Chambre, 209. - XXX. Réponse à l'argument, que c'est à la juridiction et non à l'ordina- tion des LXXII disciples que les curés succèdent, 210.- XXXI. Autre objection. Le pouvoir de juridiction ne sup- pose pas le pouvoir d'ordre, et réponse, 212. Réponse à diverses autres ressemblances qu'établit M. Maultrot entre les LXXII disciples et les curés XXXIII. Les curés ne sont point successeurs des LXXII I. Auteurs cités pour prouver la succession des LXXII disciples, 215. II. Second concile de Tolède, en 551, -III. Le vénérable Bède, - IV. Théodulphe d'Orléans, - V. Le pape Léon III, VI. Concile de Néocésarée en 315, 216.- VII. L'auteur de la gìose,- VIII. Riculfe de Soissons, IX. Hinemar de Reims, . X. Hugues de Saint-Victor, XI. Pierre Lombard, XII. Gra- tien, 217. - XIII. Fulbert de Chartres, XIV. Le pape Jean XXII, -XV. S. Thomas, XVI. S. Bonaventure, XVII. Gerson, 218. XVIII. L'Université de Paris, XIX. Le Pontifical romain. XX. Pierre d'Ailly, XXI. Lancelot, 219. XXII. Plusieurs auteurs, rituels, catéchismes, etc., - XXIII. Conséquences qu'on tire de toutes ces autorités, XXIV. Réponses à ces autorités. Qualités que doit avoir la tradition pour acquérir un em- XXV. Première qualité qui manque à la tradition qu'on nous oppose, l'antiquité. Elle ne re- monte pas au-dessus du huitième siècle, 221. — XXVI. Argument de M. Maultrot. Une tradition qui remonte au huitième siècle est respectable, — XXVII. Réponse. Sur un point doctrinal la tradition, quoique ne commençant pas aux premiers siècles, a une grande autorité, 222.—XXVIII. Il n'en est pas de même de la tradition sur un fait. Elle doit commencer à l'époque même du fait, 223. — XXIX. XXX. Réponse au raisonnement que l'opinion de la succession des LXXII disciples n'a pas été combattue, 224. XXXI. Le silence des écrivains des premiers siè- cles, non-seulement infirme la prétendue tradition, mais forme un argument contre elle, 223. -- XXXII. Plusieurs Pères des premiers siècles ont contredit autant qu'ils le pouvaient cette opinion, 226. XXXIII. Seconde qualité qui manque à la prétendue tradition. Elle n'est pas d'ac- cord avec elle-mèine. Les écrivains qui le composent se XXXIV. Première contradiction. Les uns disent que les prêtres sont établis sur le modèle des LXXII; les autres qu'ils leur succèdent, 227. - XXXV. Seconde contradiction. Les uns font succéder les prêtres, les autres les curés aux LXXII disciples, 229. - XXXVI. Objection de M. Maultrot contre ce dernier raisonnement, de M. Maultrot, et réponse, XXXIX. Résumé et con- - QUATRIÈME DISSERTATION. SUR LA QUESTION DE SAVOIR SI LE GOUVERNEMENT DE L'EGLISE A ÉTÉ La question consiste à savoir si les évêques doivent seule ment consulter les prêtres, ou s'ils sont tenus de délibé- I. Explication du mot gouverner, 234. II. Les prêtres gouvernent l'Eglise, en ce qu'ils gouvernent les paroisses 231 d'après M. Maultrot, 236.— VI1. Les évêques peuvent ce. 243 ARTICLE SECOND. L'obligation imposée aux évêques de prendre des conseils n'entraîne pas celle de les suivre. - -- 1. Point précis de la question examinée dans cet article, 244.II. Principes qui imposent aux évêques l'obligation de consulter le presbytère,-III. Textes des saints Pères qui établisseut cette obligation,-IV. S. Ignace, V. Origène, 245. VI. S. Cyprien, - VII. Les constitutions apostoliques, VIII. S. Jérôme, IX. Arguments de M. Maultrot pour prouver que l'obligation de prendre des conseils, entraîne celle de les suivre, 246.-X. Réponse. J.-C. a pu établir un conseil des évêques, uniqueinent pour les éclairer, 247.-XI. Un conseil n'est pas inutile, quoiqu'on ne soit point tenu de le suivre, 248. — XII. Preuve de cette vérité, par l'autorité de Benoît XIV, XIII. Et par celle du droit canonique, 249. XIV. Autre argument. L'évêque n'est que le chef du sénat de l'Eglise, et réponse, XV. Autre argument. J.-C. a donné un con seil aux évêques, pour qu'ils ne fussent pas seuls maîtres, et répouse, 250. -XVI. Autre argument. Un sénat n'est utile que pour tempérer la puissance de l'évêque, et réponse,-XVII.Les anciens Pères ne disent pas que le presbytère soit le sénat de l'évêque, en ce sens qu'il délibère avec lui, XVIII. S. Ignace, 251. XIX. Origène, 252. XX. S. Cyprien, XXI. Les constitutions apostoliques, XXII. S. Jérôme, 253. - XXIII. Résultat de cet article. 251 ARTICLE TROISIEME. - Quels sont ceux que les évêques doivent consulter? I. Deux obligations pour l'évêque de consulter, l'une de conscience, et l'autre légale, 234. II. Le premier devoir de conscience ne détermine pas ceux avec lesquels l'évêque doit conférer,-HI. Exainen de ce qu'ordonnent à l'évêque sur le choix de son conseil les lois de l'Eglise, -IV. Avant l'érection des paroisses, il n'y a ni loi, ni coutume constante sur la fixation du conseil, des évêques, 255. — V. Après l'érection des paroisses le clergé resté auprès des évêques dans la cathédrale, fut leur conseil, IX. VI. Réfutation de l'assertion de M. Maultrot, qu'outre le clergé de sa cathédrale, l'évêque dans les affaires majeures était tenu de conférer avec tout le clergé du diocèse, 258. — VII. Argument de M. Maultrot, pour prouver son assertion, VIII. Réponse, 259. Jusqu'au douzième siècle il n'y a pas eu de loi qui déterminât le conseil des évêques. Conséquences qui en résultent, 260. - X. Les décrétales d'Alexandre III, au douzième siècle, forment le droit nouveau, qui fait des chapitres de cathédrales le seul conseil légal des évêques, 261.-XI. Objection de M. Maultrot contre le témoignage des auteurs, que le chapitre cathédral réunit les droits de l'ancien presbytère, et réponse, - XII. Les lois ecclé. siastiques ne distinguant pas les affaires pour lesquelles le chapitre est le sénat de l'évêque, il s'ensuit qu'il l'est pour toutes,-XIII. Plaintes de nos adversaires sur ce que les consultations aux chapitres ne se font que pour la forine, 263.-XIV. Réponse à ces plaintes: elles sont exagérées, XV. Causes qui ont fait que les consultaLions aux chapitres ne produisent pas tout le bien qu'elles devraient opérer, 264. -XVI. Remède à cet inconvénient; conseil privé que se font les évêques, 263. XVII. Objection de M. Maultrot contre ce conseil composé de membres au choix de l'évêque il ne lui donnera que des avis flatteurs, 266. — XVIII. Réponse si le conseil de l'évêque n'a pas voix délibérative vis à vis de lui; il est utile qu'il le choisisse, 267.-XIX. Quand l'Eglise ordonna que les chapitres seraient les conseils des évêques, les évêques en choisissaient tous les membres, 268. - XX. 269 Résumé de cet article. CHAPITRE SECOND. Syrie en 403,-XI. Le pape Vigile, XII. Constitutions d'Egbert, archevêque de Cantorbéry, 273.-XIII. Concile d'Aischem en 763, XIV. Capitulaires, 276. - XV. Cou ciles de Mayence de 813 et de 847, - XVI. Sixième coucile de Paris, en 829, XVII. Concile de Meaux de l'au 845.277. XVIII. Concile de Rome de 853, — XIX. Concile de Pavie de 889, - XX. Lois données aux prêtres de Northumberland, - XXI. Lois ecclésiastiques sous S. Etienne, roi de Hongrie, XXII. Décrétales d'Alexandre III, 278. XXIII. Concile de Trente, 279.- XXIV. Concile de Tours, de 1583, 280.- XXV. Concile de Bourges,de 1584,-XXVI.Concile d'Avignon, de 1594,-XXVII. Concile d'Aquilée de 1596, 281. XXVIII. Concile de Malines de 1607, XXIX. Concile de Bordeaux de 1624. XXX. Conséquences qui résultent des textes ci-dessus, -XXXI.Attribuer aux évêques le gouvernement, sans faire mention des prêtres, c'est l'attribuer à eux seuls, 282.XXXII. Celui-là gouverne réellement, qui gouverne seul, XXXIII. Part que laisse aux évêques dans le gouvernement le système de nos adversaires, 283. — XXXIV. Contradictions de M. Maultrot pour concilier le gouvernement en commun avec les autorités qui l'attribuent seulement à l'évêque, 284. XXXV. Réponses de M. Maultrot au raisonnement que, dans son système, l'évêque ne serait que le président d'une assemblée délibérante, 285.- XXXVI. Réplique. Faiblesse de la réponse, que tout se fera au nom de l'évêque, 287.- XXXVII. Faiblesse de la réponse, que l'évêque n'est pas moins seul législateur, étant obligé de se concerter, 288. XXXVIII. Faiblesse de la réponse, que l'évêque est supérieur en ordre et en juridiction aux prêtres, 289. XXXIX. Réponse de M. Maultrot au raisonnement que l'évêque, uni au petit nombre, ue participerait pas à la décision, XL. Répliques à cette réponse, 290.-XLI. Réponse de M. Maultrot au raisonnement que, dans son système, c'est le clergé qui statue; et réplique. 291. XLII. Objection contre cette preuve tirée des autorités qui attribuent le gouvernement de l'Eglise aux évêques et aux prêtres, 292.-XLIII. Réponse à plusieurs des autorités objectées: différence entre présider et gouverner, XLIV. Réponse à l'autorité d'Origène, 294. XLV. Réponse à l'autorité de S. Basile, - XLVI. Réponse à l'autorité de Barthélemy, évêque d'Autun, XLVII. Réponse aux autorités d'un évêque d'Orléans et d'un évêque de Tortone au seizième siècle, 295.- XLVIII. Autre objection tirée de l'obligation des évêques de n'ordonner les clercs que du consentement du clergé, - XLIX. Réponse au passage de Habert, L. Réponse au canon d'un concile de Rome, ― LI. Réponse à une décrétale du pape Luce, 296. LIJ. Réponse à l'épître synodale du concile de Nicée, - LIII. Réponse à un passage de Théophile, LIV. Réponse à un canon du quatrième concile de Carthage, LV. Autre objection : les prêtres et le clergé pouvaient empêcher une ordination; et réponse. 297 I. Constitutions apostoliques, 298.-II. Conciles de Nicée et de Sardique, 299. - III. Quatrième concile de Carthage en 598,-IV. Code des canons de l'église d'Afrique, - V. Concile de Chalcédoine, 300.-VI. Concile de Vannes, vers 465, - VII. Concile d'Agde, en 506, — VILI. Concile d'Orléans, en 511, 301.-Second concile de Séville, en 619,- X. Constitutions d'Egbert, archevêque de Cantorbéry, - XI. Concile de Verues ou Vernon, en 753, 502. XII. Capitulaires, XIII. Concile de Meaux, en 845,- XIV. Concile de Rome, en 835, 305. — XV. Concile de Worms, en 868, · XVI. Quatrième concile de Constantinople, en 870, 304. XVII. Concile de Tarragone, en 1329,- XVIII. Concile de Trente, 303. - XIX. Concile de Toulouse, en 1590,- XX. Concile d'Aquilée, en 1596,-XXI. La discipline actuelle prouve que les évêques ne sont pas tenus à juger avec leur presbytère, 306. -XXII. Objection. Diverses autorités qui prouvent que les évêques ne peuvent juger les causes que conjointement avec les prêtres, 307. XXIII. Réponse aux autorités d'Origène, des constitutions apostoliques, et de l'auteur de l'ouvrage Des Sept Ordres, 308.-XXIV. Réponse aux autorités du quatrième concile de Carthage, d'Egbert, et d'Adrien 1, 310.-XXV. Réponse au canon du second concile de Tours, XXVI. Réponse au texte des capitufaires. 311 ARTICLE TROISIÈME. Troisième preuve lirée de l'administration des biens temporels de l'Eglise, confiés dans les premiers siècles anx évêques seuls, sans le concours des prêtres. 1. Première observation préliminaire. Cette preuve ne |