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ARTICLE QUATRIEME.

Quatrième preuve tirée du témoignage des auteurs

ecclésiastiques.

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1. Aven de nos adversaires, que le plus grand nombre
des auteurs ne leur est pas favorable,— II. Témoignage
de Benoit XIV, 327. III. Première objection contre les
décisions de la congrégation du concile rapportées par
Benoit XIV. Contradiction avec le pontifical romain,'
IV. Réponse, V. Seconde objection tirée de ce que,
d'après les décisions de la congrégation, l'évêque dit
consulter son chapitre, VI. Réponse, 330. VII.
Troisième objection. Ces décisions n'ont point d'autorité
en France, VIII. Réponse, 351. - IX. Mépris avec
lequel M. Maultrot traite tous les docteurs qu'on lui oppo-
X. Justification de ccs auteurs, 352.-
se,
XI. Objec-
tion tirée de Van-Espen, 535. — XII. Réponse et preu-
ve que Van-Espen n'admettait pas le gouvernement en
commun, 334. XIII. Texte de M. Fleury sur le conseil
que prenaient les évêques dans leur administration, 353.

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peut être formée que des monuments des premiers siè se. S. Irénée ne parle pas par conjecture, 355. — XI. Le
eles,II. Seconde observation. Exception relative aux récit de S. Irénée ne contredit point le texte sacré, 356.
aliénations, III. Canons des apôtres, 312. - IV. Con- - XII. S. Paul a pu mander à Milet, outre les prêtres
stitutions apostoliques, V. Concile d'Antioche en 541, d'Ephèse, d'autres ecclésiastiques qui étaient dans cette
314. — VI. Le pape Gélase, - VII. Concile d'Agde en ville, XIII. Objection de M. Maultrot. S. Paul n'a man-
506, 315. VIII. Premier concile d'Orléans en 511, 516. dé que les prêtres de l'église d'Ephèse, XIV. Réponse,
IX. Quatrième concile d'Orléans en 541, - X. Capitu- 557.-XV. S. Paul a pu mander à Milet des évêques et
les de Martin de Brague, XI. S. Grégoire le Grand, des prêtres des autres églises que d'Ephèse, 358.-XVI.
317. - XII. Second concile de Séville en 619, - XUI. Il est au moins probable que les évêques d'Ephèse et de
Sixième concile de Tolède, en 638, XIV. Concile de Milet assistaient à l'assemblée avec leur clergé, — XVII.
Mérida en 666, 318. XV. Second concile de Nicée en Objection ce ne sont là que des conjectures, et réponses,
787, XVI. Capitulaires, 319. XVII. Troisième con-
XVIII. Le texte sacré cadre mieux avec le récit de S.
cile de Tours en 813, 320. XVIII. Commencement des Irénée, qu'avec le système de nos adversaires, et annonce
menses particulières. Hériman de Nevers,-XIX. Plain- qu'il y avait à Milet d'autres que des prêtres d'Ephèse,
tes de divers conciles sur le changement des usages an-
359. XIX. Le discours de l'Apôtre s'adresse à un grand
ciens, 521. - XX. Concile de Worms de 868, - XXI. nombre de personnes; il ne pouvait pas y avoir beaucoup
Aucuns canons n'associent les prêtres aux évêques pour de prêtres à Ephèse, 360. XX. L'Apôtre parle
la régie du temporel, 322. - XXII. Dispositions différen- des personnes chez lesquelles il avait successivement
tes dans les différents siècles, sur la forme des aliéna- passé, XXI. Objection contre ce raisonnement, et
tions, 325.
réponse,
XXIII. Objection tirée des lois de l'Eglise
XXII. L'Apôtre n'avait cessé pendant
sur les aliénations, 325. - XXIV. Réponses.
326 trois ans d'exhorter ceux à qui il parle, XXIIL
Objections contre ce raisonnement 361. XXIV.
Réponses, 362. - XXV. Conclusion sur l'autorité de S. Iré-
née, XXVI. Suite de la tradition, XXVII. Origène,
364.XXVIII. Lucifer de Cagliari, 365. - XXIX. S. Ba-
sile, XXX. S. Cyrille de Jérusalem, XXXI. S. Jean
Chrysostome, XXXII. S. Jérôme, 366.XXXIII. Le
pape Célestin I, 367. —XXXIV. Les évêques d'Afrique,
Vigile de Tapse, Pascase diacre, 368. — XXXV. Théodo-
ret, 369.-XXXVI. Primasius d'Adrumet, - XXXVII. S.
Grégoire, - XXXVIII. S. Isidore de Séville, - XXXIX.
S. Maxime, XL. Le pape Martin I, 370. - XLI. Le
moine Antiochus, et S. Jean Damascène, -XLII. Sedu-
lius, XLIII. Le vénérable Bede, 571.- XLIV. L'auteur
des sept ordres de l'Eglise, -XLV. Le second concile de
Nicée, en 787,- XLVI. Epitre attribuée au pape Libère,
372. XLVII. Concile d'Aix-la-Chapelle, Raban, et Ama-
larius, XLVIII. Flore diacre, XLIX. OEcumenius et
Theophilacte, 373.-L. Auxilius, 374. LI. Raoul de
Flavigny, LII. Bernard, abbé de Foucaud, — LIII. S.
Thomas, LIV. Hugues de S. Cher, -LV. Humbert de
Romanis, 375. LVI. Le synode d'Excester en 1287, et
un formulaire de l'église de Limoges, 376. LVII. Nico
las de Lyra, LVIII. Richard d'Armach, 377.-LIX.
L'université de Paris en 1587, I.X. S. Antonin et le
cardinal Cajetan, LXI. Denys-le-Chartreux, 578.-
LXII. Gerson, LXIII. Objection contre l'autorité de
Gerson, et plusieurs autres, LXIV. Réponse,
379.-
LXV. Concile de Cologne en 1536, 380. LXVI. Statuts
synodaux de Poitiers en 1544, LXVII. Catéchisme du
concile de Mayence de 1549, - LXVIII. Synode d'Angs-
bourg en 1548, - LXIX. Concile de Trente, 581.-LXX.
Raisonnements de M. Corgne sur le concile de Trente, -
LXXI. Réfutation de ces raisonnements, 382. — LXXII.
Conséquence résultant des décrets du concile de Trente,
-LXXIII. Objection sur le concile de Trente, tirée d'un
mémoire des théologiens du concile, LXXIV. Réponse,
- LXXV. Auteurs qui depuis le concile de Trente ont ap-
pliqué aux évêques et aux prêtres réunis le discours de
S. Paul, 383.LXXVI. Auteurs qui depuis le concile de
Trente ont appliqué seulement aux évêques le discours de
S. Paul, LXXVII. Juenin, 384. - LXXVIII. Bellarmin,
-LXXIX. Auteurs que M. Maultrot prétend être favo-
rables à son système, depuis le concile de Trente, 385.-
LXXX. Lorin, LXXXI. Estius, 586. LXXXII. La Sy-
nople, LXXXIII. Claude de la Place, LXXXIV. Til-
lemont, 587. LXXXV. Jean de Vendeuil, évêque do
Tournay, LXXXVI. Un archevêque de Tolède en 1681,
- LXXXVII. L'abbé Ladvocat, 388.- LXXXVIII. Gibert,
LXXXIX. D. Chardon, bénédictin, 589.

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1. Si le gouvernement en commun avait été fondé par
3.-C., les canons et les autres monuments ecclésiastiques
en feraient mention, 338. II. Silence de toute l'anti-
quité ecclésiastique sur le gouvernement en commun en-
tre les évêques et les prêtres, 340. III. Le silence des
monuments ecclésiastiques prouve qu'il n'y a jamais eu de
changement dans ceux qui ont gouverné l'Eglise, 341.-
IV. Si les évêques ont supprimé depuis plusieurs siècles
les délibérations communes, tous les actes faits depuis
ce temps-là sont nuls, 342. V. Le silence des chapitres
sur le droit de délibérer avec les évêques, prouve qu'ils
ne l'ont pas, 343. VI. Le silence des lois et les varia-
tions sur la composition du conseil épiscopal prouvent qu'il
ne délibère pas avec les évêques, 344. VII. Résumé de
ce chapitre.

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1. Exposition du texte des Actes, 345. II. Selon M.
Maultrot, ce passage défiuit nettement le gouvernement
en cominun, 548. III. D'après le texte original, il n'est
pas question de gouvernement dans le discours de S.
Paul, - IV. Examen de la tradition sur les personnes à
qui est adressé le discours de l'Apôtre, V. Divers sen-
timents sur la question, 549. VI. Première observation
préliminaire. De ce que S. Paul a parlé à des évêques et
à des prêtres, il ne s'ensuit pas qu'ils gouvernent l'Eglise
en commun, 350.-VII. Seconde observation. Les auteurs
qui appliquent à des évêques ou à des prêtres le dis-
cours de S. Paul, ne disent pas qu'il ne s'applique qu'aux
ins ou aux autres, 352. VIII. Opinion et autorité su-
périeure de S. Irénée, 353. IX. Objections de M.
Maultrot contre l'autorité de S. Irénéc, 354. X. Répon-

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I. Texte de l'Evangile qui interdit aux Apôtres la domi-
nation, 392. II. Ojection. Il doit y avoir une différence
entre le gouvernement de l'Eglise et celui des royaumes
terrestres, 593.-III. Réponse. Objet du discours du Sau-
veur: ce n'est pas de régler la forme du gouvernement
ecclésiastique, 394. IV. Autre objection. L'évêque doit
effacer par son bumilité la distance entre lui et les prê
tres, et réponse, 396. — V. Dans quel sens les Pères ont
entendu l'interdiction de la domination, 397. VI. Autre
objection. L'évêque n'est pas un monarque,
VII. Dans
nos principes, ni le gouvernement de l'Eglise, ni celui des
diocèses, n'est une monarchie, 598.-VIII. Autre objection.

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La hiérarchie suppose une portion d'autorité, 399.- IX. 400 Réponse.

ARTICLE TROISIEME.

Objection tirée de la pratique aes apôtres.

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I. Objection, 401. - II. Réponse. Des textes qui présentent les apôtres conférant volontairement avec les fidèles, ne prouvent pas que les évêques soient tenus de délibérer avec les prêtres, 402. - III. Assemblée tenue pour le choix d'un successeur au traître Judas, 403. IV. Assemblée tenue pour l'établissement des diacres, - V. Premier concile de Jérusalem, 404. VI. Assemblée à Jérusalem, au retour de S. Paul de ses travaux apostoliques, 405. - VII. Assemblée tenue pour donner un successeur à S. Jacques, sur le siége de Jérusalem, - VIII. Inscription de plusieurs épîtres de S. Paul, conjointement avec Timothée, IX. Epitre de S. Barnabé, 406 X. Conclusion.

ARTICLE QUATRIEME. Objections tirées des épîtres de S. Cyprien, et examen de l'opinion de ce saint docteur.

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I. Division de cet article. Réponse aux objections II. Objection. Preuve de l'opinion de S. Cyprien, S. Cyprien dit qu'il a résolu de ne rien faire sans le con- III. Réseil du clergé et le consentement du peuple, ponse. 1° C'était par une résolution personnelle et volontaire que S. Cyprien conférait avec le clergé et le peuple, 407. IV. Réplique de M. Maultrot à cette première réponse, - V. Solution de cette difficulté, 408. VI. 20 S. Cyprien confère avec le peuple comme avec le clergé n'étant pas obligé à l'un, on ne peut pas inférer qu'il le soit à l'autre, VII. Réplique de M. Maultrot à cette seconde réponse, 409.-VIII. Solution de cette difficulté, 410. IX. Le texte dont il s'agit présente l'idée, non de délibération commune, mais de conseils demandés, 411.-X. Autre objection. S. Cyprien dit qu'il est digne des vertus ecclésiastiques de traiter en commun les affaires : et réponse, XI. Objection. Divers passages dans lequels S. Cyprien dit qu'il veut conférer avec le clergé et le peuple, 412.-XII. Réponse, - XIII. Objection tirée de diverses lettres adressées à S.Cyprien, 415. - XIV. Réponse à ia difficulté, tirée des lettres des prêtres Moyse et Maxime, et du clergé de Rome, -XV. Réponse à la difficulté tirée de l'épitre de S. Corneille, 417. XVI. Réponse à la difficulté tirée de l'épitre de S. Firmilien, - XVII. Objection. Divers passages qui établissent que c'était pour se conformer à la discipline générale que S. Cyprien délibérait avec ses prêtres, 418. - XVIII. Réponse à la difficulté tirée de l'épttre au clergé et au peuple de Furnes, 419. - XIX. Réponse à la difficulté tirée de l'épître à Quintus, 420.XX. Réponse à la difficulté tirée de l'épfire du clergé de Rome, 421. XXI. Réponse à la difficulté tirée de l'intitulé de lettres au nom des évêques et des prêtres, · XXII. Réponse à la difficulté tirée de l'épître aux prêtres et aux diacres de Carthage, 422. XXIII. Autre objection. Les fonctions mêmes réservées à l'épiscopat, telles que l'imposition de la pénitence publique et l'ordination, n'étaient, selon S. Cyprien, exercées par les évêques que conjointement avec les prêtres, 423. XXIV. Réponse à la difficulté relative à l'imposition de la pénitence publique,-XXV. Réponse à la difficulté relative aux ordinations, 426. XXVI. Objection. Ce ne pouvait pas être par humilité que S. Cyprien se concertât avec son XXVIII. Obserpresbytère, XXVII. Réponse, 429. vation générale sur toutes les objections précédentes. S. Cyprien associe toujours les diacres aux prêtres, 430. XXIX. Seconde partie de l'article. Preuves que Cyprien n'admettait pas le gouvernement en commun, XXX. S. Cyprien établit que l'Eglise est fondée sur les évêques, et que tous les actes de l'Eglise sont gouverués par eux, 431. XXXI. Réponse de M. Maultrot à ce passage, XXXII. Faiblesse de cette réponse, 432. XXXIII. S. Cyprien dit que les évêques tiennent la

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balance du gouvernement, concilient la douceur et la sévérité de la discipline, répriment les coupables, 433. XXXIV. S. Cyprien dit que Dieu inspire les évêques qu'il a chargés du gouvernement, 434. XXXV. Divers passages où S. Cyprien établit que les évêques gouvernent leurs diocèses par leur propre volonté, et en rendent compte à Dieu, 436. XXXVI. Réponse de M. Maultrot à ces passages, 437. XXXVII. Faiblesse de cette réponse, 438.. XXXVIII. S. Cyprien établit souvent que des décisions importantes ont été rendues par des évêques, 459. XXXIX. Ces textes prouvent clairement que ces décisions ont été rendues par les évêqnes seuls, et de leur propre autorité, 442.-XL. Autres passages de S. Cyprien plus généraux, mais qui montrent qu'il ne connaissait pas le gouvernement en commun, 444. XLI. Récapitulation de cet article, et résumé dé la doctrine de S. Cyprien. 445

ARTICLE CINQUIEME.

Objections tirées des titres donnés aux prêtres, et de leurs fonctions.

I. Objection. Les prêtres président dans l'Eglise,-II. Rẻponse, 447.-III. Objection. Les curés sont pasteurs du second ordre,-IV. Réponse. 1° Contradiction de M. Maultrot, 448.-V. 2° La qualité de pasteur d'une paroisse ne donne pas droit de concourir à l'administration du diocèse, 449. VI. Objection. Les curés sont responsables du salut des âmes, VII. Réponse, 451. VIII. Objection. Les curés sont les coopérateurs des évêques, 452.- IX. Réponse, 453. X. Objection. Il y a des fonctions communes aux évêques et aux prêtres; pourquoi ne délibéreraient-ils pas sur ce qui les concerne, 454,

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I. objection, 463. II. Réponse. Contradiction de M. Maultrot, -III. Il n'est pas besoin de recourir au gouvernement en commun, pour trouver la raison qui a fait donner aux chapitres le gouvernement à la mort de l'évêque, 467. IV. Si le gouvernement à la vacance dérivait du gouvernement en commun, les chapitres gouverneraient en corps, et non par des grands vicaires, 468. V. Réponse aux autorités de Van-Espen et de Gibert, 469. VI. Réponse à la difficulté que la juridiction à lá mort de l'évêque retourne au chapitre, VII. Ré ponse à quelques collations faites par divers chapitres, et à d'autres usages particuliers.

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CINQUIÈME DISSERTATION.

SUR LES JUGES DE DROIT DIVIN DANS LES CONCILES

CHAPITRE PREMIER.

ÉCLAIRCISSEMENTS PRÉLIMINAIRES.

I. Première époque de la contestation, — II. Objet de ceule dissertation.

475

ARTICLE PREMIER. Exposition de la question.

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I. Il ne s'agit pas de savoir s'il doit y avoir des ministres du second ordre dans les conciles, II. Preuve qu'il en a toujours eu, 476. — III. Objection ccatre cette vé rité. Dans beaucoup de conciles on ne parle pas d'eux,

- IV. Réponse, 480.-V. La question n'est pas non plus de savoir si des prêtres ou des diacres ont eu voix délibérative dans des conciles, - VI. Il s'agit de savoir si c'est de droit divin, ou par privilége qu'ils en jouissent, - VII. Importance de cette question, 481. - VIII. Quatre opinions diverses sur cette matière, - IX. Première opinion de M. Maultrot Explication qu'il en donne, 482. X. Seconde opinion, - XI. Troisième opinion. Explication de l'abbé Ladvocat sur le pouvoir éloigné ou prochain, rejetée, 484. - XII. Quatrième opinion. 486

ARTICLE SECOND.

Eclaircissements sur la voix consultative des ministres du second ordre aux conciles.

I. Les ministres du second ordre ont dans les conciles la voix consultative, 487. II. Cette voix consultative n'est pas essentielle à la validité du concile, 489. - III. La forme de la voix consultative est à l'arbitrage des conciles, 490. IV. Critique de celle adoptée au concile de Trente, 491.-V. Réponse, 492. VI. En quoi consiste l'essence de la voix consultative, VII. Objection tirée de ce qu'il n'est pas question dans l'antiquité de la voix consultative, et réponse, 494.

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ARTICLE TROISIEME. Eclaircissements sur la voix délibérative accordée à des ministres du second ordre dans les conciles.

I. La voix délibérative aux conciles peut être accordée de droit ecclésiastique aux ministres du second ordre, 496. -II. Objection fondée sur ce que l'Eglise ne peut conférer le don d'infaillibilité, — III. Réponse, 497. — IV. Autre objection. Ce n'est point par privilége que des prêtres opinent aux conciles, puisqu'on ne rapporte pas le titre, V. Réponse. L'usage de l'Eglise dispense de l'exhibition du titre, 499. — VI. Autre objection. On ne voit aucune trace du prétendu privilége; au contraire les titres des prêtres sont le droit et la coutume, 501. — VII. Réponse. Conciliation du titre du privilége avec celui de la coutume. Raison du silence sur le privilége, 502. VIII. Membres du second ordre qui, en vertu de titres particuliers, ont voix délibérative aux conciles, - IX. Evêques élus et non encore consacrés, 504: -X. Fondés de pouvoir des évêques absents, 503-XI. Cardinaux de l'église romaine, prêtres et diacres,- XII. Abbés, 508 XIII. Généraux d'ordres, - XIV. Députés des chapitres de cathédrale, le siége vacant.

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CHAPITRE SECOND.

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Septième argument. Inconvénients de réduire les prêtres à la voix consultative, et avantages de leur accorder la voix décisive.

I. Objection, 528. II. Réponse au premier des inconvénients objectés. Il prouverait qu'il faut admettre aussi les laïques aux délibérations,-III. Réplique de M. M. Réponse; elle est une pétition de principes, 529.- IV. Réponse à l'hypothèse d'un petit nombre d'évêques contre un grand nombre de prêtres plus instruits, — V. Réponse au second inconvénient. Il se rétorque contre la prétention des prêtres. Aveux de M. M., 530. VI. Réponse au troisième inconvénient. M. M. convient qu'il ne prouve rien, - VII. Réponse aux avantages présentés. M.M. luimême n'en est pas frappé.

ARTICLE HUITIEME.

551

Huitième argument. La voix délibérative aux conciles est une conséquence de la charge pastorale et de l'enseignement.

I. Objection, 532.-II. Réponse. Contradiction de l'anteur. Tantôt c'est le sacerdoce, tantôt le ministère pastoral qui forme le titre du suffrage décisif, 533. — III. Autre contradiction. Les diacres qui ne sont pas pasteurs, ont, suivant l'auteur, droit à la voix délibérative, 534. — IV. La voix délibérative aux conciles n'est pas une dépendance du ministère pastoral, 535. — V. Différence entre la manière dont l'enseignement appartient aux évêques el aux 556 prêtres.

ARTICLE NEUVIEME. Neuvième argument. Unité du sacerdoce dans les évêques et dans les prêtres.

I. Objection, — II. Réponse. Contradiction avec l'objection précédente,-III. Les diacres qui n'ont pas le même sacerdoce, ont le même droit que les prêtres au suffrage décisif, 557. - IV. Cette objection effacerait toute superiorité des évêques sur les prêtres, - V. Différence du sacerdoce dans l'évêque et dans le prêtre. ARTICLE DIXIEME.

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Dixième argument. Les passages de l'Ecriture sainte qui établissent le droit des évêques, s'appliquent de même aux prêtres.

I. Objection, 538.-II. Réponse. L'argument prouverait trop, et anéantirait la supériorité des évêques sur les prêtres, III.Tous les textes objectés ne s'appliquent pas aux prêtres comme aux évêques,-IV.Les interprètes entendent ces textes différemment des évêques et des pré540

tres.

CHAPITRE TROISIEME.

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EXAMEN DES Conciles, siècle par siècle. CONCILES DES SEPT PREMIERS SIÈCLES. I. Vrai point de la discussion, - II. Exposé précis des faits historiques, relativement au suffrage du second ordre dans les conciles, 541. - III. Conséquence à tirer de ces faits, lorsqu'ils seront prouvés, - IV. M. M. demande une loi précise, qui prive le second ordre du suffrage délibé ratif, 543.-V. Injustice de cette prétention, 544. - VI. Argument de M. M. Il n'est pas dit que les prêtres aient aux conciles d'autres fonctions que les évêques, - VII. Réponse. D'abord raison de ce silence sur la différence des fonctions, VIII. De plus, il n'est pas vrai qu'il ne soit fait aucune différence entre les uns et les autres, IX. Equivoque sur le mot membre du concile. Dans quel sens les prêtres le sont? 545.-X. Le droit de siéger à un tribunal, ne donne pas le droit d'y juger, XI. Ré. ponse de M. M. au raisonnement tiré de l'assistance des laiques au concile, 546.-XII. Réfutation de cette réponse. --XIII. Diversité dans les conciles. Les uns attribuent aux

seuls évêques, les autres aux évêques et aux prêtres les

décrets, 547.-XIV. Cette diversité ne prouve rien contre le droit exclusit des évêques, XV. Raisonnements de M. M. sur cette diversité en faveur de son système, 548. XVI. Réponse à ces raisonnements, 549. XVII. Argument de M. M. tiré des lettres d'indiction des conciles, 550.-XVIII Réponse au principe sur l'autorité des lettres d'indiction, 551. XIX. Réponse au fait que les lettres d'indiction convoquent sans différence et pour la même fin les prêtres et les évêques, 552. - XX. Autorité des prélaces mises en tête des canons des conciles, 553.—XXİ. Réponse générale à ce qu'objecte M. M. contre l'autorité des préfaces des conciles, XXII. Exposition et division de ce chapitre.

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534

PREMIÈRE PARTIE DU CHAPITRE TROISIÈME. Preuves que dans les sept premiers siècles, les évêques seuls ont été regardés comme juges de droit divin dans les conciles.

I. Classation et division des preuves.

553

ARTICLE PREMIER. Première preuve. Les lois qui prescrirent la tenue des conciles, ne l'enjoignent qu'aux évêques.

I. Si les lois constitutives des conciles n'y appellent que les évêques, eux seuls y sont juges, 556. II. Preuves que ces lois n'ordonnent qu'aux évêques de tenir les conciles, III. Canous des apôtres, - IV. Concile de Nicée, V. Premier concile d'Antioche, en 341, 557. VI. Concile de Calcédoine, - VII. Saint Léon, -VIII. Quatre conciles d'Orléans, de 553 à 549, 559. IX. Second con cile de Tours, en 567, X. Troisième concile de Tolède, en 589, XÍ. Concile de Châlons-sur-Saône, en 650,XII. Douzième concile de Tolède, en 681,-XIII. Conséquence de ces autorités, · XIV. Objection. Il résulterait de là qu'il n'y avait pas de prêtres aux conciles. Les canons ordonnent d'en amener, 560. - XV. Réponse. Les prêtres admis aux conciles ne tiennent point les conciles, XVI. Conciliation des lois qui ordonnent aux seuls évêques de tenir les conciles, et de celles qui leur ordonnent d'y amener des prêtres.

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ARTICLE SECOND.

561

Seconde preuve. Les évêques seuls sont obligés, sous des peines canoniques, d'assister aux conciles, ou de s'y faire représenter.

I. L'obligation d'assister aux conciles imposée aux seuls évêques avec menace de censure, annonce qu'eux seuls y avaient la qualité de juges, 562. —II. L'obligation à eux seuls de s'y faire représenter, en cas d'empêchement légitime, annonce la même chose, III. Les prêtres n'étant que consulteurs aux conciles, ne devaient pas avoir les mêmes obligations que les évêques, IV. Indication des canons qui enjoignent aux seuls évêques de se rendre aux conciles, ou de s'y faire représenter, 563.-V. Objection, Il y a des canons qui obligent les prêtres à assister, ou à se faire représenter, sous les mêmes peines, 565.-VI, Réponse. Différence des temps. Ces canons ne prouvent ni le droit divin, ni la voix délibérative, 566. — VII. Autre objection. Il peut y avoir d'autres juges que ceux qui sont obligés d'assister: Exemples des conseillers honoraires et d'honneur, 567. VIII. Réponse. On nous impute un principe qui n'est pas le nôtre, 568. IX. Pour attribuer aux prêtres un droit semblable à celui des conseillers honoraires et d'honneur, il faudrait le prouver, - X. Un tel droit répugne et à l'esprit de l'Eglise, et à l'état qu'y ent les prêtres, 569. XI. Autre objection. Motifs qui soumettent aux censures les évêques et non les prêtres, en cas d'absence du concile, 570. XII. Réponse. On omet le principal motif de la censure, la peine de l'infraction, -XIII. Faiblesse des motifs proposés pour exempter les prêtres des censures portées contre les évêques pour la même faute, 571. XIV. Autre objection. Exemples d'assemblées où les absents n'encourent point de peine,XV. Réponse Les exemples sont étrangers à notre preuve, 572. XVI. Il y a, dit-on, des membres de conciles par priviléges : ils n'ont pas l'obligation d'assister, XVII. Ces membres peuvent être tenus à l'assistance. Cet exemple n'a point rapport au droit divin.

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1850 évêques, 573.-III Concile de Rimini, en 359, - IV: Premier concile de Constantinople, en 381, - V. Concile d'Ephèse, en 431, 575.-VI. S. Léon, 576.-VII. Concile de Calcédoine, en 451,- VIII. Second concile de Constan'tinople, en 553, — IX. S. Grégoire le Grand, 577. — X. Concile de Barcelone, en 599, XI. Concile de Terrassa, en 614, XII. Second concile de Séville, en 619, 578. XIII. Concile de Reims, en 625, — XIV. Sixième concile de Tolède, en 638, XV. Concile de Latran, en 649, XVI. Concile de Mérida, en 666, XVII. Troisième concile de Constantinople, en 680, 579. — XVIII. Quinzième concile de Tolède, en 688, de Tolède, en 694,-XX. Objection. Il est fait mention dans XIX. Dix-septième concile quelques conciles de la présence des prêtres, et réponse.

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I. Première proposition. Dans toute l'antiquité, les conciles sont désignés par le nombre des évêques,-II. Premier concile de Constantinople, III. Concile d'Ephèse, 581. IV. Concile de Calcédoine, 582. — V. S. Léon, VI. L'empereur Marcien, et le patriarche Anatole, — VII. Le pape Hilaire, — VIII. Troisième concile de Brague, en 572, 583. IX. Le pape Pélage II, X. S. Isidore de Séville, XI. Troisième concile de Constantinople, XII. Conciles de Milan et de Hedtfeld, en 680, 584.-XIII. Seconde proposition. Cette désignation prouve que les évêques sont les seuls Pères des conciles, 585. - XIV. Objection. C'est par honneur et par respect pour la dignité épiscopale que l'on compte les seuls évêques, 586 - XV. Réponse. Observations sur quelques parties de l'objection, 587. XVI. Principes généraux sur les désignations des assemblées par leurs principaux membres, 589. XVII. Application de ces principes aux conciles, et preuve que ce n'est pas seulement par honneur que les évêques seuls sont nommés, 590. XVIII. Autre objection. La loi ordonnait le concours des prêtres avec les évêques, et réponse, XIX. Autre objection. La mention des prêtres entraînerait trop de détails : ils sont compris dans les évêques, 591. XX. Réponse, 592. XXI. Autre objection. Ce n'est qu'au sujet des conciles généraux qu'on parle des évêques sans les prêtres, XXII. Réponse, Autre objection. La foi des évêques est aussi celle des · ΧΧΙΠ. prêtres. Ceux-ci sont membres et Pères du concile, 593.

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I. Première partie de la preuve, établissement du fait, 595.-II. Indication des conciles signés par les seuls évêques, III. Indication des conciles sigués seulement par les évêques, et par les députés des évêques absents,-IV. Dispositions particulières de quelques conciles sur ce sajet, V. Second concile de Carthage, 596. - VI. Troisième concile de Carthage, vers 398, VII. Autre concile de Carthage, en 525, 597.- VIII. Second concile de Brague, en 563,- IX. Troisième concile de Brague, en 572, X. Objection contre le fait : il y a des conciles souscrits par les prêtres, XI. Concile d'Elvire et réponse, 598.— XII. Suite de l'objection. Concile de Nicée. Preuve par le concile d'Aquilée et par S. Basile que les prêtres l'out signé, 599. XIII. Réponse au concile d'Aquilée. XIV. Réponse à l'autorité de S. Basile -XV. Suite de l'objection. Signatures des prêtres au premier concile de Constantinople, 600. XVI. Il n'est pas prouvé que ces prêtres ne fussent point fondés de pouvoir par des évêques, 601, XVII. Suite de l'objection. Signature d'un diacre au concile d'Ephèse, et réponse, XVIII. Seconde partie de la preuve. Conséquence qui résulte de la signature des seuls évêques, — XIX. Objection tirée de l'incorrection des signatures, 602.-XX. Réponse. Le défaut de signature des prêtres dans tous les conciles des sept premiers siècles ne peut être une erreur de copiste, 603.XXI. Autre objection. Le but des signatures est d'attester les faits, et non de faire connaître les juges, 6C4. XXII. Réponse. Objet des signatures en général, et dans un acte quelconque,606.- XXII. Objet des signatures des conciles, et preuve qui en résulte,609.-XXIV. Réponse détaillée aux diverses parties de l'objection, 610

ARTICLE SIXIEME. Sixième preuve. Aucun prêtre n'est juge de droit divin dans les conciles.

I. Dans toute société les législateurs, les administrateurs et les juges doivent être déterminés,-II. J.-C. n'a établi juges dans les conciles, ni tous les prêtres, ni aucuns prètres en particulier, 614. - III. Variation dans la discipline sur la manière dont les prêtres admis aux conciles étaient choisis, 616.-IV. Ces variations prouvent qu'aucun prétre n'est juge de droit divin dans le concile, 617.-V. En supposant les prêtres simples consulteurs, il n'y a plus de difficulté. 618 ARTICLE SEPTIEME.

Septième preuve. Les décisions des conciles sont formellement attribuées aux seuls évêques.

1. Conciles sur la Pàque au second siècle, 618. — II. Objection de M M. sur ces conciles, - III. Réponse, 620. -IV. S. Cyprien, 622. — V. Concile de Romie en 251, 623. VI. Concile d'Elvire vers 305, 624. — VII. Concile de Nicée, 625.-VIII. Concile d'Antioche en 341, 627. - IX. Concile de Saragosse en 380,-X. Premier concile de Constantinople en 381,-XI. Conciles de l'église d'Afrique à la fin du quatrième et au commencement du cinquième siècle, 628.XII. Saint Augustin, 629. — XIII. Premier concile de Tolède en 400, 631. — XIV. Second concile de Milevis en 416,- XV. Concile d'Afrique de 418, 632. — XVI. Concile de Calcédoine en 451. Les commissaires impériaux demandent les décisions aux évêques, 633.— XVII. Même concile. On demande de faire sortir ceux qui ne sont pas évêques, - XVIII. Objection de M. M. sur ce fait,-XIX. Réponse, 634. - XX. Même concile. Fait du moine Carosus,-XXI. Objection de M. M. sur ce fait, 635. XXII. Réponse, XXII. Canon du même concile, XXIV. Saint Léon, - XXV. L'empereur Marcien, 656. XXVI. Le patriarche Anatolius, XXVII. Concile d'Angers en 453,-XXVIII. Troisième concile d'Arles vers 455,-XXIX. Concile de Vannes en 465, 637.- XXX. Concile d'Arles en 475,- XXXI. Le roi Théodoric, XXXI. Premier concile d'Orléans en 511, 638. — XXXIII. Concile d'Epaone en 517, 639. XXXIV. Concile de Barcelone vers 540,---XXXV. Cinquième concile d'Arles en 554, 640.--XXXVI. Troisième concile de Paris en 557, XXXVII. Second et troisième conciles de Brague en 565 et 572, 641.-XXXVIII. Quatrième concile de Paris en 573,XXXIX. Second concile de Mâcon en 585, 642. XL. Concile de Narbonne en 589,- XLI. S. Grégoire le Grand, - XLII. Concile d'Hertford en Angleterre en 677, 643. XLIII. Concile d'Hedfeld en 680, - XLIV. Conclusion de cet article. 644

ARTICLE HUITIEME.

Huitième preuve. Les lettres synodales écrites par les conciles des premiers siècles, intitulées du nom des évêques, ou signées par eux seuls.

I. L'intitulé et les signatures des lettres montrent quels en sont les auteurs, 645. II. Les lettres synodales dans les premiers siècles ne sont jamais au nom des prêtres, mais souvent au nom des seuls évêques, - III. Indication de beaucoup de lettres synodales intitulées ou signées du nom des évêques, 646. IV. Conclusion.-V. Objection. On voit quelques lettres synodales qui ne sont pas au nom des évêques, mais du concile, -VI. Réponse. 647

ARTICLE NEUVIEME.

Neuvième preuve. Les causes personnelles, et surtout celles des évêques, ne sont jugées dans les sept premiers siècles que par les évêques.

I. Les jugements, surtout ceux des évêques,doivent être rendus dans les conciles, 648. II. Preuves qu'ils y étaient rendus par les seuls évêques, III. Le supérieur ne pouvait pas être jugé par l'intérieur, - IV. Canons des apôtres, -V. S. Cyprien, 649. VI. Concile d'Antioche contre Paul de Samosate, au troisième siècle, - VII. Concile de Sardique en 347. Jugement de S. Athanase, 630.VIII. Plusieurs conciles de l'église d'Afrique, 651. -IX. Concile de Rome en 377,-X. Le pape Innocent premier,-XI. S. Augustin, XII. Concile d'Ephèse en 431, 655.-XIII. Concile de Constantinople en 448, 655.

XIV. Concile de Calcédoine en 451. Condamnation de Dioscore, et absolution de Théodoret, XV. Second concile d'Arles en 452, 656. - XVI. Second concile de Rome sous Symmaque en 501,-XVII. Concile de Constantinople en 556,-XVIII. Second concile de Paris en 555, XIX. Concile de Paris en 577,-XX. Concile de Châlons-sur-Saône en 579, 658.-XXI. Concile de Metz en 390,-XXII. Concile de Paris en 595,- XXIII. Capitules

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I. Eclaircissement préliminaire de quelques expres sions, 661. II. L'autorité de quelques prêtres employés par des docteurs, ne prouve pas qu'ils fussent juges de la foi, III. Différence entre le jugement de la doctrine et les jugements personnels, 662.-IV. Les passages où l'on oppose les seuls évêques à la puissance temporelle prouvent qu'ils sont seuls juges de la foi,- V. Les aveux faits par des prêtres ou des moines sur cet objet sont également concluants, 663.- VI. On a déjà rapporté un grand nombre d'autorités qui prouvent le droit exclusif des évêques à juger la foi, 664. — VII. E ftre de Sérapion, évêque d'Antioche, au second siècle, 665. VIII. Eptire de S. Alexandre d'Alexandrie contre Arius, 666.- IX. Objections de M. Maultrot sur cette épître, 667.-X. Réponses, 668. XI. S. Athanase, 669. XII. Concile d'Alexandrie en 540, XIII. Objection de M. M. sur ce concile, et réponse, XIV Léonce, évêque de Tripoli, 671. XV. S. Ambroise, - XVI. Epitre de l'empe reur Honorius à l'empereur Arcade, 672. —XVII. Premier concile de Tolède en 400,-XVIII. Epitre du con cile d'Alexandrie, sous S. Cyrille, à Nestorius, -XX Objection de M. M. sur cette épitre, et réponse, 673.XX. Epitre des empereurs envoyant un commissaire au concile d'Ephèse, 674.-XXI. Epitre du concile d'Ephèse aux empereurs, 675.-XXII. Décret dogmatique du même concile, XXIII. Concile de Constantinople en 448; fat de l'abbé Martin, XXIV. Objection de M. M. sur ce fait, 676.-XXV. Réponse, 677.— XXVI. S. Auxent,- XXVII Objection de M. M., XXVIII. Réponse, 678. - XXIX. Le pape Simplice, XXX. Le pape Félix III, 679.XXXI. Le pape Gélase, XXXII. Objection de M. M., 680. XXXIII. Réponse, XXXIV. Le pape Vigile, 681. XXXV. Facundus d'Hermiane, 682. XXXVI. Ob jection de M. M.,-XXXVII. Réponse, 685. - XXXVIII Le diacre Ferrand, — XXXIX. Objection de M. M., 684. - XL. Réponse, 683. XLI. Concile de Mâcon en 627. Fait de S. Eustate, XLII. Objection sur ce fait, et réponse, 686.XLIII. Les papes Martin Ier, Léon II et Benoit II, 687. XLIV. Objections contre le droit exclusif des évêques de juger la doctrine, - XLV. Objection tirée de la seconde épître à Timothée, - XLVI. Réponse. Différence entre le pouvoir d'enseigner la doctrine, et celui de la juger, 688. — XLVII. Autre objection tirée de l'épitre aux Ephésiens, — XLVIII. Réponse. Tous les ministères dont parle l'Apôtre n'ont pas pour objet de juger la doctrine, 691.-XLIX. Autre objection. Les confesseurs, dans le tribunal sacré, jugent de la foi, 693.-L. Réponse. Différence entre le refus de l'absolution pour une doctrine perverse, et la condamnation de cette doctrine, 694.LI. Autre objection. L'évêque peut se tromper: dans ce cas les prêtres doivent s'opposer à sa do ctrine, ce qui suppose le pouvoir de la juger, 695.-LII. Réponse. Diverses manières de résister à une mauvaise doctrine, 697.LIII. Ce n'est point par voie de jugement que les prêtres s'opposent à la mauvaise doctrine de leur évêque, 698. - LIV. Règles de l'Eglise qui conservent aux évêques leur juridiction, et aux prêtres les moyens de s'opposer aux innovations de leurs évêques.

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I. Eclaircissement sur l'ordre de cette partie, ARTICLE PREMIER. Première objection. Premier concile tenu à Jérusalem par les apôtres.

I. Objection. Le chapitre XV des Actes prouve que les prêtres ont délibéré à ce concile avec les apôtres, 704. II. Réponse. Dans les temps apostoliques, les noms episcopus et presbyter se donnaient indistinctement aux deux premiers ordres du clergé, 706. III. C'est à nos adver saires à prouver que le mot presbyteri ou seniores s'appli quent ici aux prêtres. IV. Diverses significations que peut avoir le texte qu'on nous objecte, V. S'il s'entend des évêques seuls, il prouve qu'il n'y a qu'eux qui aient jugé avec les apôtres, 707. VI. Objection contre cette interprétation, et réponse, -VII. Si le mot seniores com prend les évêques et les prêtres, il ne prouve rien contre nous, 708. VIII. Raisons par lesquelles on veut proa

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