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daux de Ferentino, en 1683, XLIII. Statuts synodaux de Bénévent en 1686 et 1716, -XLIV. Statuts synodaux de Sibénico en 1687, 1622. LV. Statuts synodanx de Capo-d'Istria en 1690, 1722, 1779., LVI. Statuts synodaux de Montefascone et de Corneto, en 1692, 1623. LVII. Statuts de Cesena en 1893 et 1708, — LVIII. Statuts synodaux de Murano en 1728,-1.XIX. Statuts synodaux de Sinigaglia en 1737, LX. Statuts synodaux de Turin en 1755 LXI. Statuts synodaux de Feltri en 1760,-LXII. Statuts synodaux de Pignerol en 1772, 1624. -XIIII. Statuts svuodaux de Viterbe et de Toscanella en 1762, 1623. LXIV. Statuts synodaux d'Imola en 1764, - LXV. Statuts synodaux de Concordia en 1767, 1626. LXVI. Statuts synodaux d'Osimo en 1778,- LXVII. Conclusion de ce chapitre. 1628

CHAPITRE DIXIEME.

PREUVE DU DROIT DES ÉVÊQUES DE FAIRE LES STATUTS
DANS LES SYNODES, SEULS ET SANS EN DÉLIBÉRER
Avec le clergé, tirée des déCISIONS DONNÉES A CE
SUJET PAR LA CONGREGATION DES CARDINAUX CHARGÉS
D'INTERPRETER LE CONCILE de trente.

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-

DÉCISIONS DE LA CONGREGATION, INTERPRÈTE DU CON-
CILE ET DES SYNODES, OU IL EST POSITIVEMENT DÉ-
CLARÉ QUE LE SECOND ORDRE N'A PAS LE SUFFRAGE
DÉLIBÉRATIF DANS LE SYNODE.

I. Exposition de cette preuve, 1650. II. Texte du synode de Venise de l'an 1592, -III. Conséquence qui en résulte, 1651.-IV. Objection. Le patriarche convoque au synode ceux que l'affaire touche, pour traiter avec eux, et réponse, V. Autre objection. Avertissements à donner, proposition à faire au synode et réponse, 1652. — VI. Autre objection. Profession de foi commune du patriarche et du clergé, réponse, VII. Autre objection. Députés du clergé pour les comptes du séminaire, et réponse, 1654. VIII. Dernière objection, relative à la décision de la congrégation des cardinaux, et réponse, 1655. - IX. Synode de Parme, de l'an 1602 : déclaration du droit épiscopal, 1657.-X. Objection. Statuts faits du consentement du chapitre et réponse, · XI. Autre objection. Le clergé demande acte de son approbation, et consent à la clôture, réponse, 1659. XII. Synode de Namur eu 1604, 1661. XIII. Diverses objections sur ce synode, et réponses, 1662.XIV. Synode de Torcello en 1648. Objections et réponses, 1664.-XV. Synode de Torcello en 1739, 1667. -XVI. Synode de Capo-d'Istria en 1690, 1668. XVII. Synode de Capo-d'Istria en 1722, 1669.- XVIII. Synode de Capc-d'Istria en 1779, 1670. XIX. Synode de Naples en 1594, 1671.- XX. Objections tirées du mandement d'indiction, et du discours synodal, réponses, 1672. XXI. Synode de Feltri en 1760, VI. XXII. Première conséquence des synodes ci-dessus. Le droit épiscopal est formellement et universellement reconnu, 1674. XXIII. Seconde conséquence. Les décisions de la congrégation du concile sont respectées et exécutées, XXIV. Troisième conséquence. Le pontifical romain est entendu dans le sens 1675 que nous avons exposé.

J. Quatre décisions de la congrégation, interprète du concile de Trente, sur le droit des évêques, 1629. · II. Conséquence qui en résulte, III. Objection. Ces déci sions n'ont aucune autorité en France, et ne sont pas regardées comme des lois, même en Italie, 1631.— IV. Réponse, 1652.-V. Autre objection. Exemple d'une décision de la même congrégation qui a été abandonnée, Réponse, 1633. VII. Autre objection. Les décisions ne sont pas motivées, - VIII. Réponse, - IX. Autre objection. Les décisions sont en contradiction avec les décrets du concile de Trente, -X. Réponse, 1635. — XI. Autre objection. Ces décisions ne sont pas exécutées même en Italie, XII. Réponse, 1656,-XIII. Dernière et principale objection. Ces décisions sont condamnées par le pontifical romain, 1637. — XIV. Répouses. D'abord rétorsion de l'argument, XV. Explication des deux expressions qui forment l'objection. Approbation et confirmation, 1638. XVI. L'approbation des statuts ne suppose pas la délibération pour leur confection, 1639. XVII. Preuve de cette vérité par divers conciles et synodes, 1640. XVIII.-Difficulté fondée sur ce que le pontifical demande l'approbation, et que la congrégation la dit inutile, XIX. Réponse, 1641. — XX. Autre difficulté. La congrégation ne parlant que du conseil du chapitre, ôte la voix consultative au clergé, - XXI. Réponse, XXII. Examen de la signification du mot confirmation, XXIII. II ne signifie pas toujours un complément nécessaire à la validité de la loi; mais quelquefois une simple adhésion utile pour la plus sûre et la plus prompte observation, 1642. XXIV. Preuve de cette vérité par diverses autorités, XXV. Concile général d'Ephèse. Lettre du concile et de l'Empereur, 1643. XXVI. Concile de Chalcédoine. Discours et édit de l'empereur Marcien. -XXVII. Lettre encyclique de l'empereur Basilisque, 1644. XXVIII. Second concile général de Constantinople. L'empereur Justinien,-XXIX. Second concile général de Nicée. Profession de foi du patriarche de Jérusalem, 1645. XXX. Texte du droit canonique, 1646. XXXI. Synode de Capo-d'Istria en 1779,- XXXII. Conséquence de ces autorités, - XXXIII. Solution de l'objection tirée du pontifical romain, 1647- XXXIV. Autre difficulté tirée du même texte. Les prêtres du synode sont appelés Pères, – XXXV. Réponse, 1648. — XXXVI. Autre difficulté tirée du même texte. On doit opiner sur les statuts par scrutin, XXXVII. Réponses.

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I. Autorité du consentement unanime des docteurs, 1675. - II. Autorité de ce consentement, plus imposante encore sur notre question, 1676.-III. Sur cette question, il n'a pas pu y avoir de changement dans la doctrine de l'Eglise, - IV. Les écrivains jansénistes de ces derniers temps n'empêchent pas l'unanimité des docteurs catholiques 1677.-V. Avant la condamnation du jansénisme, aucun auteur n'avait attribué aux prêtres le suffrage délibératif en synode, VI. Examen de l'opinion de Gibert, 1678.VII Justification de Benoît XIV, qui taxe Gibert d'hérésie, -VIII. Auteurs qui enseignent que le pouvoir de faire les statuts en synode appartient à l'évêque seul, 1679. — ix. Benoit XIV, -X. Jacobatius, - XI. Barbosa,-XII. Suarès, XIII. Vasquez, 1680. XIV. Pierre Catalani, XV. Pierre Lucrenius,-XVI. Raisons pour lesquelles peu de docteurs ont traité cette matière, 1681. - XVII. Mais tous ceux qui l'ont traitée, ont enseigné nos principes, XVIII. Autre preuve de l'unanimité. Défaut de disputer dans les synodes sur le suffrage du second ordre, 1682.XIX. Synode où M. M. prétend trouver des contestations sur le suffrage du second ordre, · XX. Synode de Parme en 1602, XXI. Synode d'Avignon, en 1496, 1683. XXII. Synode de Reggio en 1627, - XXIII. Synode de Luçon en 1767 et 1768. Relation de M. Maultrot, 1686. XXIV. L'autorité sur laquelle M. M. fonde sa relation, est - XXV. Autre récit exact la Gazelle Ecclésiastique, 1688. 1649

PREUVE DU DROIT QUI APPARTIENT AUX ÉVÊQUES DE FAIRE
DES STATUTS EN SYNODE. SANS ÊTRE TENUS D'en déli-
BÉRER AVEC les prêtres, tirée de l'exécution dES

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Seconde partie.

1093

RÉPONSES AUX OBJECTIONS PAR LESQUELLES ON COMBAT LE DROIT QUI APPARTIENT AUX EVEQUES DE FAIRE EN SYNODE LES STATUTS, SEULS ET SANS EN DELIBERER AVEC LES PRETRES.

I. Idée générale de cette partie, II. Notice des diverses objections résolues jusqu'à présent. 1695.

CHAPITRE PREMIER.

RÉPONSE A L'Objection que le synode est une assem-
BLÉE ECCLÉSIASTIQUE.

I. Objection. La délibération conjointe est le droit de

1875

TABLE METHODIQUE.

toute assemblee, 1697. II. Réponse. H peut y avoir des
assemblées pour d'autres objets,-III. Objection. Les mem-
bres de l'assemblée, quoique inégaux entre eux, délibèrent
ensemble, 1698.-IV. Réponse. Ils ne délibèrent pas né-
cessairement et toujours,-V. Objection. L'intervalle entre
l'évêque et les prêtres est fort petit,-VI. Réponse. La dis-
tance entre eux est indifférente à notre question, 1699. –
VII. Objection. L'intérêt qu'ont les curés aux statuts, assure
VIII. Réponse. Il n'est pas vrai
leur droit de délibérer,
que l'intérêt donne droit à la délibération, 1700.-X. Ré-
ponse. Ce n'est un motif que de les consulter, — XI.
Objection. Le pape, comme métropolitain, ne pourrait pas
en concile décider sans les évêques,-XII. Réponse. Cette
difficulté ne prouve rien ni contre les ultramontains, ni
· XIII. Objection. L'évêque agirait
contre nous, 1701.
irrégulièrement, en ordonnant quelque chose à un curé,
sans l'avoir entendu, - XIV. Réponse. Le principe sup-
posé vrai prouverait seulement, qu'il doit entendre les
curés dans le synode.

CHAPITRE DEUXIEME,

RÉPONSE A L'OBJECTION, QUE LE SYNODE EST
ASSEMBLÉE HIÉrarchique.

I. Objection, 1702. II. Réponse.

CHAPITRE TROISIEME.

1702

UNE

1703

RÉPONSE AUX OBJECTIONS, QUE LE SYNODE A TOUJOURS ÉTÉ
NOMMÉ CONCILE, ET QU'IL A TOUS LES CARACTÈRES
D'UN VRAI CONCILE.

ARTICLE PREMIER.

Réponse à l'objection que les synodes ont toujours porté le nom de conciles, ei ont été mis au rang des conciles.

I. Objection de M. M. Le synode est très-souvent appelé II. Conséquence de cette qualification, 1105.— qui concile, III. Réponse. Première observation. Le mot concile, signifiait primitivement toute assemblée, a été restreint depuis par l'usage aux assemblées ecclésiastiques, - IV. Seconde observation. Cette dénomination appliquée plus proprement aux assemblées d'évêques, 1706.-V. Troisième observation. Il y a entre le concile et le synode dio-VI. Le mot concésain beaucoup de choses communes, cile est générique, et comprend les synodes, comme une de ses espèces, 1707. VII. On ne peut pas conclure de cette dénomination, le droit de suffrage des prêtres au synode, VIII. Les auteurs qui font du synode une classe des conciles, ne disent pas qu'on y délibère : plusieurs disent le contraire, IX. Plusieurs disent que la dénomination de concile n'appartient pas proprement au synode XI. Les PP. Durand et diocésain, X. Jacobatius, Martenne, 1708.- XII. L'abbé Ladvocat,- XIII. Salmon, -XIV. L'auteur du Dictionnaire des Conciles,-XV. Deux acceptions du mot concile, l'une plus étendue, l'autre plus - XVI. Objection de M. M. contre l'abbé stricte, 1709. XVII. Et contre Salmon, et réLadvocat, et réponse ponse, 1710-XVIII. Les prêtres ne délibérant pas au 1711. concile, cette dénomination du synode ne peut pas prouver qu'ils y doivent délibérer.

ARTICLE SECOND.

Réponse à l'objection, que le synode diocésain a tous les
caractères d'un véritable conci e.

I. Il est naturel que le synode soit tenu avec solennité,
1711. II. Il est également naturel que les formes ex-
térieures du synode soient semblables à celles du concile,
- III. Enumération des objections et des conformités du
V.
synode et du concile, 1712. IV. Objection. Lecture
dans le synode des canons qui règlent le concile,
VI. Objection. Indication du synode par l'é-
Réponse,
vêque, semblable à celle du concile par le métropolitain,
· VII. Réponse, — VIII. Objection. Prières faites avant
le synode comme avant le concile, IX. Réponse. 1o Ces
prières ne prouvent pas que le synode doive délibérer,
1713.
X. 2° Synodes où ces prières sont faites par l'é-
vêque de Milan, en 1574; de Bergame, en 1636; de Tor-
cello, en 1739; de Venise, en 1741, 1714. - XI. Objec-
tion. 1o On convoque au synode ceux qui de droit ou de
coutume doivent s'y trouver, - XII. 2° Ceux qu'on y ap-
pelle sont les exempts, qui n'ont pas de compte à rendre,
1716. XIII. Réponse à la clause qui appelle ceux qui
de droit ou de coutume doivent venir au synode, - XIV.
Réponse à l'objection tirée de ce qu'on invite les exempts,

-

1876

-XVI. La pré1717. XV. Disputes antérieures au concile de Trente, sur l'assistance des exempts au synode, tention même des exempts, prouve que le second ordre ne délibère pas au synode, XVII. Décret du concile de Trente, qui a terminé la contestation avec les exempts, 1718. XVIII. Le décret du concile de Trente prouve que le second ordre vient faire au synode acte de soumission et non d'autorité, 1719. XIX. Difficulté tirée de que le concile de Trente n'est pas reçu en France, et XX. Les exempts ne sont pas ceux que la réponse, coutume appelle au concile, 1720. XXI. La coutume appelle au synode les simples clercs, qui ne viennent pas pour délibérer, — XXII. Objection. L'autorité de l'évêque, semblable à celle du métropolitain dans la convocation. XXIII. Réponse, - XXIV. Objection. Obligation de l'assistance personnelle au synode comme au concile, XXV. Réponse, 1721. — XXVI. Objection. Déclaration de l'ouverture et de la clôture du synode et du concile, — XXVIII. Objection. L'évêque n'est XXVI. Réponse, que le président du synode, comme le métropolitain du concile, 1722. XXIX. Réponse, 1723. XXX. Objec XXXII tion. Communion générale de la main du président an XXXI. Réponse, synode comme au concile, Objection. Durée du concile et du synode pendant pluXXXIV. Objection. sieurs jours, XXXIII. Réponse Décret de non préjudice dans les deux assemblées, 1724. XXXV. Réponse, 1725. — XXXVI. Objection. Prières semblables au commencement du concile et du synode XXXVII. Réponse, 1726. - XXXVIII. Objection. Habillements des membres du synode, — XXXIX. Réponse, XL. Objection. Exhortation du président au commencement du concile et du synode, XLI. Réponse, 1727. XLII. Objection. Obligation d'être à jeun au synode,XLIV. Objection. Titres donXLIII. Réponse, 1728. nés au synode et à ses membres, - XLV. Réponse, XLVI. Objection. Les décrets du synode appelés caXLVII. Réponse, 1729. XLVIII. Objection. Officiers du synode, XLIX. Réponse, 1750. — L. Objection. Acclamations qui terminent le synode de même que le concile, LI. Réponse, 1731. LII. Tous les raisonnements que tire M. Maultrot de ces diverses conformités, ne prouvent rien,-LIII. Derniers arguments de M. Maultrot, et conclusion qu'il tire des rapports du sy node avec le concile, 1732. LIV, Réponse au premier argument, que la délibération est de l'essence du coucile, 1734. LV. Réponse au second argument, qu'entre choses qui se ressemblent presqu'en tout, il ne peut y avoir de différences essentielles, 1735. clusion de tout le chapitre.

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CHAPITRE QUATRIEME.

LVI. Con

1736

RÉPONSE A L'OBJECTION, que presque tous LES STATUTS
STATUTS SYNODAUX SONT REÇUS, APPROUVÉS, etc. Par

LE SYNODE.

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I. Exposition de l'objection, 1736. II. Réponse. Examen des diverses expressions employées dans les synodes, - III. 1° La réception des statuts ne suppose point la dé libération, - IV. Preuve de cette vérité par la réception faite dans les synodes des conciles, V. Concile de ToVIII. Synode de lède, en 1565, 1737.- VI. Synode de Côre, en 1565, en 1592, VII. Synode de Concordia en 1587, Gênes, en 1588,-IX. Synode de Ciudad-Rodrigo, 1738.-X. Synode de Vicence, de 1689,- XI. Synode de Valence, de 1566, - XII. Conséquence de ces autorités, XIII. Autre preuve. Aveu de M. Maultrot; contradicXV. 2° L'ap tion où il tombe, 1739.XIV. Utilité de la réception dans l'hypothèse du suffrage consultatif, probation du synode ne suppose pas non plus la délibéra tion, XVI. 3o La confirmation des statuts par le synode, ne la prouve pas davantage, — XVII. 4° Le consentement du clergé n'en est pas non plus une preuve. Synode de Narni, en 1665, 1741. XVIII. 5° Le mot placet employé dans beaucoup de synodes, ne prouve pas la délibération, XX. Ni par son rapport avec les XIX. Ni par lui-même, XXII. L'accla conciles, 1743.- XXI. La manière de prendre l'agrément du clergé, prouve qu'il ne délibère pas, mation générale par laquelle le clergé donne son agré ment, n'indique que le suffrage consultatif,

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I. Exposé de l'objection, 1749.-II. Réponse. Petit nombre des synodes où se trouvent les signatures du second ordre. III. Ce petit nombre ne prouverait au plus que le fait de la délibération dans quelques synodes, et non le droit d'y délibérer. IV. Ce peuvent être de simples signatures d'adhésion, 1750.-V. Leur petit nombre favorise cette conjecture.-VI. Divers synodes qui changent cette conjecture en certitude.-VII. Synode d'Otrante, de l'an 1729.-VIII. Raisounement que fournit le texte de ce synode, 1751.-IX. Synode de Vieune, dont la date est inconnue.-X. Synode du Mont-Cassin de 1626, 1752.

XI. Autre synode du Mont-Cassin de 1651.-XII. Synode de Gierače de 1593.-XIII. Objection tirée d'un synode de Gierace de l'an 1551, 1755.-XIV. Réponse. La signature n'atteste que la réception des statuts, et nullement la délibération. - XV. Différence entre le conseil et l'avis que M. M. affecte constamment de confondre, 1754. -XVI. La différence entre diverses signatures ne prouve rien.-XVII. Conclusion de ce chapitre.

CHAPITRE SEPTIEME.

1733

RÉPONSES AUX OBJECTIONS tirées de divers ordres ou FORMULAIRES DE SYNODES.

I. Formulaire de synode qui se trouve à la suite du concile de Salgunstadt. Objection tirée de la prière par laquelle le synode commence, 1755. II. Cette prière prouve seulement que les prètres jugeront des causes, et non qu'il concourront aux statuts, 1756. III. — Exhortation que fait l'évêque à l'ouverture du synode, 1757. — IV. Objection de M. M. sur la première partie de cette exhortation.-V. Réponses. 1o L'évêque exhorte les assistants à pratiquer ce que, lui personnellement, aura réglé. — VI. 20 L'exhortation faite à ceux qui penseraient autrement, de le manifester, prouve qu'il ne doit pas y avoir de délibération, 1758.-VII. La seconde partie de l'exhortation porte entièrement sur le jugement des causes. - VIII. Conséquence qui résulte de la différente manière dont sont exprimées les deux parties de l'exhortation -IX. Objection tirée d'une collecte où l'évêque demande à Dieu d'augmenter en lui ses grâces, par la présence des ecclésiastiques ses frères, 1759.-X. Réponses. 1° Traduction inexacte du texte. 26 La voix consultative suffit pour autoriser cette prière.-XI. Autre objection tirée d'une autre collecte, et réponse.-XII. Objection contre la distinction entre le pouvoir de juger des causes, et celui de faire des statuts.-XIII. Réponses, 1760.-XIV. Formulaires tirés de l'ouvrage de D. Martenne, intitulé, de Sacris Ecclesiæ ritibus, 1761.-XV. Premier formulaire tiré du cabinet de M. Hermann. Conformité de la première prière et de la première exhortation, avec celles du formulaire de Salgunstadt, 1762.-XVI. Séances du second et du troisième jour du synode, selon ce formulaire. XVII Second formulaire de D. Martenne, tiré d'un pontifical de Besançon. Objection. - XVIII. Réponse, 1763. XIX. Troisième formulaire de D. Martenne, tiré d'un pontifical de Paris.-XX. Autre formulaire de D. Martenne, qui prouve que les prêtres ne doivent pas délibérer sur les statuts.-XXI. Encore un autre formulaire du même, qui prouve la même vérité, 1764. -XXII. Ordre du synode dans le pontifical romain. Objection sur la première prière. - XXIII, Réponse, 1765.- XXIV. Autre objection. Les grie's sont portés au synode, non à l'évêque, réponses. XXV. Diverses prieres et exhortations, qui annoncent que les prêtres jugeront des causes. XXVI. Autre

objection. Manière magnifique dont l'évêque parle des prêtres, 1766.XXVII. Réponse. Les éloges par lesquels les évêques relèvent la dignité du sacerdoce, ne prouvent pas le droit de délibérer, 1767.-XXVIII. Conclusion de ce chapitre:

1768

CHAPITRE HUITIEME.

RÉPONSE A L'OBJECTION, QUE DANS PLUSIEURS SYNODES IL EST QUESTION D'OBJETS DE LA COMPÉTENCE DU SYNODE.

I. Synodes où il est parlé de la compétence des synodes. II. Synode de Meaux, sans date, 1768. III. Synode d'Orléans, aussi sans date. IV. Autre synode d'Orleans, de l'an 1514. V. Statuts synodaux de Rodez, Cahors et Tulles, en 1287. VI. Synode d'Albi en 1340.

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VII. Synode d'Augsbourg, en 1548.-VIII. Autre synode d'Augsbourg, en 1610, 1769.-IX. Synode de Naples, en 1565, 1770.-X. Synode d'Arras.-XI. Synode de Liége en 1587.-XII. Synode de Gierace en 1593.— XIII. Arguments que tire M. Maultrot de ces synodes, 1772. — XIV. Réponse. Observation. Tous ces synodes ne disent pas que les affaires sont décidées par tout le clergé. -XV. Autre observation. Les raisonnements de M. Maultrot ruinent une partie de son système.-XVI. Quand le synode aurait jugé quelques affaires, il ne les aurait pas pour cela décidées toutes, 1773.-XVII. De ce que le synode aurait eu pendant un temps une juridiction, il ne s'ensuivrait pas qu'il l'ait encore. XVIII. Il n'est pas vrai que le synode connût des affaires générales, et l'official des contestations particulières, 1774.- XIX. Au contraire, c'étaient des causes de l'ordre contentieux, que jugeait le synode, 1775. XX. Cette compétence des synodes, pour juger des causes, n'existe plus actuellement. XXI. Preuve de cette vérité, par l'autorité de VanEspen, 1776. XXII. Et par celle de Thomassin cité par M.M.-XXIII. Et par celle de Benoît XIV, 1777.-XXIV. Objection de M. M. sur ce que dit Benoît XIV des juges synodaux. XXV. Réponses, 1780.-XXVI. Examen de la manière dont les synodes ont acquis et perdu une juridiction contentieuse. XXVII. Diverses sortes de jugements rendus primitivement par les évêques. Ils n'étaient tenus d'en prononcer aucuns avec leurs synodes, 1781. XXVIII. Les synodes ne jugeaient les causes que par la volonté des évêques qui se les associaient pour cette fonction, 1783.-XXIX. L'usage que les synodes jugeassent les causes, a fiui avec celui que les évêques les jugeassent personnellement. XXX. Objection. Il y avait des causes qui appartenaient en propre aux synodes. ponse. C'était l'usage fréquent des évêques de les y porter qui avait formé une sorte de compétence, 1785. - XXXII. Il paraît impossible de marquer précisément le genre de causes que les synodes étaient dans l'usage de juger. -XXXIII. Résumé de ce chapitre.

CHAPITRE NEUVIEME.

XXXI. Ré

1786

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I. Objet de ce chapitre, 1791.-II. Objection Synode de Tournay par S. Eleuthère, au VIe siècle. Hérétiques con damnés, III. Réponse, - IV. Objection. Synode d'Albi de 1540. L'Evêque se met au niveau des autres membres, en se déclarant présent avec eux, 1792. — V. Réponse, - VI. Objection. Synode de Châlons-sur-Marne en 1557. Confirmation des statuts par l'évêque, 1793. Réponse, 1794. - VIII. Objection. Synode de Nantes en 1549. L'évêque confirme des statuts par l'autorité du synode, XI. Réponse, 1795.-X. Objection. Synode de Durham en 1255. L'évêque ordonne par l'autorité du sy

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node, XI. Réponse, XII. Objection. Synode de Chartres de 1550. Assemblée des doyens pour régler ce qu'ils doivent faire en synode, -XIII. Réponse,-XIV. Objection. Synode de Clermont en 1667. Les ecclésiastiques doivent au synode leur présence, 1796. - XV. RéXVI. Objection. Synode de Laon en 1696. Puponse, plication de statuts dans un synode particulier de doyens, en attendant la publication au synode général, 1797. XVII. Réponse, 1798. -XVIII. Objection. Synode de Lescure en 1551. Commissaires du clergé, pour examiner les statuts; mention de délibération, 1799.-XIX. Réponses, 1800.XX. Objection. Synode de Poitiers en 1544. Synodes substitués aux conciles, XXI. Réponse, 1802. XXII. Objections. Synode de Rouen en 1628. Mémoires des archidiacres remis au synode. Prédicateurs y prenant et y rendant compte de leur mission; affaires indécises renvoyées au synode suivant, 1803. XXIII. Réponses, 1804. XXIV. Objection tirée de ce que dit Benott XIV, que les cas réservés doivent être fixés en synode, 1805. XXV. Réponse, 1807. XXVI. Suite de l'objection précédente, 1808. XXVII. Réponse, 1809. — XXVIII. Objection tirée sur ce que d'après Benoit XIV, on peut contraindre les simples clercs à venir au synode, - XXIX. Réponse, 1811. XXX. Objection fondée sur ce que dit Benoft XIV, qu'on peut admettre les laïques, mais saus suffrage, XXXI. Réponse, 1812. — XXXIÍ. Objection de ce que dit Benoît XIV du procureur du synode, XXXIII. Réponse, 1813. — XXXIV. Objection. Synode de Cambrai de 1550. Statuts du synode; statuts revus par le synode, XXXV. Réponse, 1814. XXXVI. Objection. Synode d'Arras en 1584. Réunion des esprits dans le synode, XXXVII. Réponse, 1815. XXXVIII. Objection, Synode de Macerata en 1615. Compte à rendre à Dieu, et au synode, XXXIX. Réponse, XL. Objection. Synode de Salerne en 1579. Agrément demandé au synode, que les ordonnances de l'évêque aient la même force que ce qui est ordonné en synode, -XLI. Réponse, - XLII. Objection. Synode de Milan, en 1627. Titre du synode, 1816. XLIII. Réponse, XLIV. Objection. Synode de Milan en 1636. Statuts synodaux remis à l'exanien d'un autre synode, 1817. —XLV. Réponse.-XLVI.

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Objection. Synode de Côme, en 1565. Rapport à faire à l'évêque, ou au synode futur, XLVII. Réponse, XLVIII. Objection. Même synode. L'agrément du synode demandé pour le renvoi d'une affaire, XLIX. Réponse -L. Objection. Synode de Girone en 1606. Statuts faite et mis en ordre sous l'évêque, 1818. LI. Objection. Synode d'Osma en 1584. Mémoires demandés par l'évêque aux membres du synode, sur les statuts, LXIII. Řéponse, 1819. — LIV, Objection. Synode de Majorque en 1636. Permission aux prêtres de proposer comme de droit ce qu'ils croiront utile, LV. Réponse, - LVI. Objec tion. Synode de Turin en 1647. Eloge de la dignité sacerdotale. Diverses comparaisons du synode, 1820. - LVII. Réponse, 1822. LVIII. Objection. Synode de Lausane en 1665. Demande à Dieu de diriger les délibérations synodales, LIX. Réponse, LX. Objection. Synode de Constance en 1609. Les prêtres ont porté les lois avec l'évêque LXI. Réponse, 1823. LXII. Objection. Même synode. Les prêtres doivent traiter et conclure avec l'évêque,— LXIII. Réponse,-LXIV. Objection. Même synode. L'évêque trouve bon que le synode adjoigne des députés au grand vicaire, pour l'examen des procurations, 1824. LXV. Réponse, -LXVI. Objection. Même synode. Il sera déterminé contre les absents ce qui semblera bon à l'évêque et aux autres Pères présents, — LXVII. Réponse, LXVIII. Objection. Même synode. Temps donné aux prêtres, et division en classes pour délibérer, 1825,-LXIX. Réponse, 1826.-LXX. Objection. Synode de Sodorre en 1350. Constitutions faites par l'évêque avec tout son clergé, LXXI. Réponse, — LXXII. Objection. Synode d'Elyen en 1528. Le synode_désigne ceux qui absoudront des cas réservés,- LXXIII. Réponse, - LXXIV. Objection. Synode de Frisingue en 1440. Statuts faits avec mûre délibération, solennellement et en commun, 1828.- LXXV. Réponse, - LXXVI. Divers synodes au nombre d'environ 25, où il paraît que le clergé a délibéré sur les statuts. Raisons qui ont pu y engager dans quelques-uns, 1829. — LXXVII. Le petit nombre de faits ne peut pas balancer les preuves que nous avons dounées, LXXVIII. Conclusion de tout l'ouvrage.. 1853

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