...! s'écria-t-il ensuite , que je «voie encore nos petites dames de Paris faire les «précieuses, et craindre d'entrer dans la chambre «de leurs maris...je «les enverrai à cette école! « Un jour qu'on représentoit à la princesse le danger auquel elle exposoit elle-même sa santé , en se ménageant...

...garde-malade : elle eut même l'adresse de lui laisser ignorer le caractère périlleux de sa maladie. Un jour qu'on représentait à la princesse le danger auquel elle exposait elle— même sa santé, en se ménageant si peu et en respirant habituellement l'air d'une maladie...

...Dauphine : « Oh bien ! s'écria-t-il, que je voie encore nos petites dames de Paris faire les précieuses et craindre d'entrer dans la chambre de leurs maris quand ils sont malades, je les enverrai à cette école. » Après quelques jours de vives alarmes, la forte consti1 LUYNES,...

...aller à l'humeur de son âpre nature : « Que je voie nos petites dames de Paris faire les précieuses et craindre d'entrer dans la chambre de leurs maris quand ils sont malades; comme je les enverrai à l'école de Madame la Dauphine ! 1 » Personne ne fut plus heureux que Madame la Dauphine de la guérison...

...» Une fois édifié, il observa : « Que je voie nos petites dames de Paris faire les précieuses, et craindre d'entrer dans la chambre de leurs maris...malades : comme je les enverrai à cette école ! » Un beau matin, il prit Louis XV par le bouton et lui servit ce petit discours : « Monsieur... Monsieur......

...admiration lui faisait encore écrire : « Que je voie nos petites Dames de Paris faire les précieuses et craindre d'entrer dans la chambre de leurs maris quand ils sont malades. Comme je les enverrai à l'école de Madame la Dauphine. » — « 11 faut aller chercher sa femme en Saxe, disait un courtisan,...