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1895.

87. Démonstration très simple de la cause commune de la tension superficielle et de l'évaporation des liquides. Ibd. XVIII, 1re partie, 49.

88. Sur la constitution des nuages. Ibd. XVIII, 1re partie, 102.

89. Quelques pages de l'histoire d'un grain de poussière. ASS., XVIII, 1re partie, 133. — RQS, (2), VI, 17.

90. Kritische Bemerkungen zu R. Klimpert's Aufsatz: Ueber Oberflachenspannung. NATUR. WOCHENSCHRIFT, IX, Band 1 und 8 Juli.

91. Sur les phénomènes constatés dans la couche superficielle d'un
liquide. BAR, (3), XXX, 488.

92. Quelques exploits d'une particule d'air. Ibd, (3), XXX, 701.
93. Sur une analogie très importante entre la constitution des solides
et des liquides. ASS., XIX, 1re partie, 8.

94. Sur la pression capillaire exercée par une couche superficielle
courbe. Ibd., XIX, 1re partie, 60 (voir 84), et 117-121.

95. L'Évaporation des liquides et des grandes théories capillaires. CR, CXXV, 461.

1896. 96. Sur les nombreux effets de l'élasticité des liquides. BAR, (3), XXXII, 270 et 418.

97. Quelques expériences propres à faire comprendre la constitution des liquides. ASS., XX, 1re partie, 22 et 65.

98. Principes généraux d'une nouvelle théorie capillaire. Ibd., XX,

1re partie, 18.

99. Discours prononcé aux funérailles de F. Donny. BAR, (3), XXXII, 496.

100. Quelques exploits d'une particule d'air. RQS, (2), IX, 211.

1897. 101. L'air atmosphérique exerce-t-il une influence sur la hauteur d'un

jet d'eau ? RAR, (3), XXXIV, 248.

102. Théorie de l'explosion d'une bulle de savon très mince. Ass., XXI, 1re partie, 25.

103. Étude sur l'influence exercée par un champ électrique sur un

mince jet d'eau. Ibd., XXI, 1re partie, 127.

104. Sur une résistance spéciale constatée à la surface des grands cours d'eau. COMPTES RENDUS DU IVe CONGRÈS SCIENT. INTERN.

DES CATHOL. (Fribourg, Suisse).

1898. 105. Sur l'interprétation du principe d'Archimède fondée sur la parfaite élasticité des liquides. BAR, (3), XXXV, 181.

106. Sur les nombreux effets de l'élasticité des liquides. Ibd., (3), XXXVI, 281; XXXVII. 497.

107. Le principe d'Archimède et l'égalité de l'action et de la réaction. ASS., XXII, 1re partie, 48.

108. Sur les dépôts formés à la surface des corps solides. RQS, (2),

XIV, 221.

109. Sur les propriétés fondamentales des liquides. ANN. ASSOC. DES

INGENIEURS (Gand), XXI, 3o livraison.

1899. 110. Sur les conditions générales de l'équilibre dans les vases communicants. BAR, (3), XXXVII, 558.

111. Quelques remarques sur une expérience curieuse de J. Plateau. ASS, XXIII, 1re partie, 10.

112. Sur les effets mécaniques produits par l'élasticité de l'eau. RQS,

(2), XV, 580.

113. Sur une expérience curieuse de J. Plateau. ASS, XXIII, fre partie, 72.

114. Notice sur H. Valerius. ARA, 1899.

1900. 115. Sur l'expérience inverse de celle du tonneau de Pascal. BCS,

1900, 611.

116. Sur les expériences du professeur Dewar et les théories capillaires. ASS, XXIV, 1re partie, 58.

117. Le centenaire de l'lustitution royale de la Grande-Bretagne. RQS, (2), XVII, 175.

118. Sur les phénomènes capillaires. Rapport présenté au Congrès international de Physique de Paris (1900). COMPTES RENDUS DU CONGRÈS, I, 487.

1901. 119. Remarques sur quelques phénomènes d'imbibition. BCS, 1901, 372. 120. Sur un cas particulier d'équilibre d'une colonne de mercure. ASS,

XXV, 1re partie, 166.

121. On a proof of traction-elasticity of liquide. NATURE, 17 Jan. 1901.

1902. 122. Sur un paradoxe hydrodynamique. BCS, 1902, 292.

123. Sur une expérience de capillarité. ASS, XXVI, 1re partie, 77. 1903. 124. Sur l'état sphéroïdale des liquides. Ibd., XXVII, 1re partie, 96. 125. Sur une relation entre les forces moléculaires et la solubilité. Ibd., XXVII, 1re partie, 127.

126. Sur une triple alliance naturelle. RQS, (3), III, 37.

1904. 127. Sur l'élasticité développée dans les Jets d'eau. BCS, 1904, 401. 128. Quelques mots sur la théorie des veines liquides. ASS, XXVIII, 1re partie, 126.

129. Ueber Ausbreitung und Extensionkraft. ANN. D. PHYS. (Drude), XV, 1043.

1905. 130. Contribution à la théorie des ménisques capillaires. BCS. 1905, 121,

555.

131. Sur quelques effets remarquables produits par un accroissement brusque de vitesse dans une masse liquide. Ibd., 1905, 432.

132. Les corps solides sont-ils doués de tension superficielle efficace? ASS, XXIX, 1re partie, 206.

1906. 133. Sur quelques faits singuliers observés pendant l'écoulement de l'eau. BCS, 1906, 183.

134. La loi de Lenz appliquée à une masse liquide en mouvement. ASS, XXX, 1re partie, 81.

135. Élasticité de traction des liquides. Ibd., XXX, 1re partie, 199.

136. Sur un effet curieux de l'élasticité de traction du mercure. ATTI ACAD. PONTIF. dei Nuovi Lincei, 7 juin, 1906.

1907. 137. Sur le siphon chanteur. BCS, 1907, 189.

138. Sur les effets observés dans les liquides soumis à la force centri

fuge. ASS, XXXI, 1re partie, 272.

139. Sur la constante K de Laplace. BCS, 1907, 1020.

1908. 140. Sur les conséquences directes de la cohésion des liquides. ASS,

XXXII, 1re partie, 141.

141. La capillarité dans ses rapports avec l'étude des cellules organiques. Ibd., XXXII, 1re partie, 250.

142 Aventures d'une parcelle solide plongée dans l'eau. RQS, (3), XIV, 214.

143 Sur le pseudo-siphon de J. Plateau. BCS, 1908, 257.

144 Sur les nombreux effets de l'élasticité des liquides. Ibd., 1908, 1001.

1909. 145. Sur quelques effets singuliers de l'élasticité des liquides. ASS, XXXIII, 1re partie, 131. — RQS, (3), XV, 353.

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146. Sur les nombreux effets de l'élasticité des liquides. BCS, 1909, 114. 1910. 147. Cause probable d'un accident singulier sur l'Escaut à Anvers. ASS, XXXIV, 1re partie, 234.

148. Ce qu'on peut apprendre en voyant couler l'eau. RQS, (3), XVII,

514.

1911. 149. Sur une source d'approvisionnement de sel marin dans les eaux de mer. ASS, XXXV, 1re partie, 193.

150. Sur les quatre propriétés providentielles de l'eau. RQS, (3), XX, 90. Biographie nationale. Notices de Quetelet (Ernest), Rees (Richard van), Rommelaere (Léonce), Rosselt (J.-B.), Rysselberghe (F. Van), Stessels (A.), Symon (Alexis).

Les rapports présentés par Van der Mensbrugghe à l'Académie royale de Belgique, au nombre d'une quarantaine, ne figurent pas dans cette liste, non plus que l'indication des périodiques français, anglais et allemands qui ont reproduit, en entier ou en partie, plusieurs des publications renseignées.

LA

PRÉCESSION DES ÉQUINOXES

SELON LES ASTRONOMES GRECS ET ARABES

Il y a un peu plus d'un an, nous détachions un chapitre d'un long ouvrage où nous nous proposons de retracer l'histoire des doctrines cosmologiques de Platon à Copernic; ce chapitre, consacré à la Physique néoplatonicienne du moyen âge, nous l'avons offert aux lecteurs de la REVUE DES QUESTIONS SCIENTIFIQUES (1) qui ont bien voulu lui faire un accueil favorable; puissent-ils recevoir avec la même faveur le nouveau fragment de notre œuvre que nous leur présentons aujourd'hui.

I

LES TRAVAUX D'HIPPARQUE

La lutte entre l'Astronomie des sphères homocentriques et l'Astronomie des excentriques et des épicycles, après avoir divisé les géomètres grecs, après avoir provoqué en des sens divers les tentatives des

(1) Troisième série, t. XVIII, 20 juillet et 20 octobre 1910, pp. 10-60 et 385-430.

savants de l'Islam, continuera à mettre aux prises les astronomes du moyen âge et de la Renaissance; elle ne prendra fin qu'au jour où le triomphe du système de Copernic plongera dans l'oubli les deux systèmes entre lesquels la faveur des hommes s'était jusque-là partagée.

Tandis que se poursuit cette grande bataille, d'autres combats de moindre ampleur se livrent en d'autres champs du domaine de l'Astronomie. Parmi ces combats, il n'en est aucun qui mérite l'attention au même degré que celui dont nous allons retracer les principales péripéties.

L'objet de ce combat est la conquête des lois qui président à ce phénomène lent et compliqué dont le nom moderne est : Précession des équinoxes.

La précession des équinoxes fut-elle connue, avant Hipparque, des astrologues de l'Orient? Pour découvrir ce phénomène, Hipparque fit-il usage d'observations chaldéennes ? Questions difficiles à résoudre, qui ont grandement excité la sagacité des érudits (1), sans obtenir de leurs efforts une solution certaine.

L'histoire précise, et autorisée par des textes, de la précession des équinoxes, débute avec les recherches d'Hipparque; encore les écrits où Hipparque avait présenté les résultats de ces recherches sont-ils aujourd'hui perdus et n'en connaissons-nous que ce qu'en rapporte Claude Ptolémée.

(1) Voir à ce sujet : L. Am. Sédillot, Matériaux pour servir à l'histoire comparée des sciences mathématiques chez les Grecs et les Orientaux, Paris, 1845. Th. Henri Martin, Mémoire sur cette question : La précession des équinoxes a-t-elle été connue des Égyptiens ou de quelque autre peuple avant Hipparque ? (Mémoires DE L'ACADÉMIE DES INSCRIPTIONs et BellesLETTRES, t. VIII, première partie, 1869). — L. Am. Sédillot, Sur quelques points de l'Histoire de l'Astronomie ancienne et, en particulier, sur la Précession des équinoxes; lettre au prince Boncompagni (BULLETINO DI BiblioGRAFIA E DI STORIA DELLE SCIENZE MATEMATICHE E FISICHE, t. V, p. 306; 1872).

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