Tractatus de judiciis ecclesiasticis: ubi et de vicario generali episcopi, 1. cilt

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Perisse Fratres, 1883 - 535 sayfa

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Sayfa 87 - Que le pouvoir civil dispose des effets civils qui dérivent du mariage, mais qu'il laisse l'Église régler la validité du mariage même entre chrétiens. Que la loi civile prenne pour point de départ la validité ou l'invalidité du mariage comme...
Sayfa 30 - Si autem te non audierit, adhibe tecum adhuc unum, vel duos, ut in ore duorum, vel trium testium, stet omne verbum. Quod si non audierit eos, die Ecclesiae: si autem Ecclesiam non audierit, sit tibi sicut ethnicus et publicanus.
Sayfa 30 - Si autem peccaverit in te frater tuus, vade et corripe eum inter te et ipsum solum; si te audierit, lucratus eris fratrem tuum.
Sayfa 86 - C'est un dogme de foi, que le mariage a été élevé par Jésus-Christ, Nôtre-Seigneur, à la dignité de sacrement, et c'est un point de la doctrine de l'Église catholique, que le sacrement n'est pas une qualité accidentelle surajoutée au contrat, mais qu'il est de l'essence même du mariage, de telle sorte que l'union conjugale entre des chrétiens n'est légitime que dans le mariage-sacrement, hors duquel il n'ya qu'un pur concubinage.
Sayfa 32 - Ibidem etiam exhortationes, castigationes et censura divina. 4 Nam et iudicatur magno cum pondere, ut apud certos de Dei conspectu, summumque futuri iudicii praeiudicium est, si quis ita deliquerit, ut a communicatione orationis et conventus et omnis sancti commercii relegetur.
Sayfa 104 - IV de 1606 (art. 14), nous lisons que i les régents, précepteurs ou maîtres d'école des petites villes et villages seront approuvés par les curés des paroisses ou personnes ecclésiastiques qui ont droit d'y nommer ; et où il y aurait plainte des dits maîtres d'écoles, régents ou précepteurs, y sera pourvu par les archevêques ou évêques, chacun en leur diocèse • (Isambert, Anciennes lois françaises, t.
Sayfa 86 - Une loi civile qui, supposant le sacrement divisible du contrat de mariage pour des catholiques, prétend en régler la validité, contredit la doctrine de l'Église, usurpe ses droits inaliénables, et, dans la pratique, met sur le même rang le concubinage et le sacrement du mariage, eu les sanctionnant l'un et l'autre comme également légitimes.
Sayfa 86 - Quant à la première condition , ou l'on entend par mariages valides les mariages régulièrement célébrés devant l'Église, et dans ce cas, non-seulement la distinction de la loi serait superflue, mais il y aurait une véritable usurpation sur le pouvoir légitime , si la loi civile prétendait connaître et juger des cas où le sacrement de mariage a été ou n'a pas été célébré régulièrement devant...
Sayfa 86 - ... usurpe ses droits inaliénables, et, dans la pratique, met sur le même rang le concubinage et le sacrement de mariage, en les sanctionnant l'un et l'autre comme également légitimes. La doctrine de l'Église ne serait pas sauve et les droits de l'Église ne seraient pas suffisamment garantis par l'adoption, à la suite de la discussion qui doit avoir lieu au sénat, des deux conditions indiquées par les ministres de Votre Majesté, savoir : 1°...

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