...assez qu'il désapprouvoit leur démarche. « Je suis sensible , dit sa majesté à l'abbé Mullot , à la démarche de la commune. J'ai déjà répondu...que mes tantes étant maîtresses de leurs personnes , avoient le droit d'aller partout où bon leur sembloit. Je connois trop leur cœur pour croire qu'où...

...assez qu'il désapprouvoit leur démarche. « Je suis sensible , dit sa majesté à l'abbé Mullot , à la démarche de la commune. J'ai déjà répondu...mes tantes étant maîtresses de leurs personnes, avoient le droit d'aller partout où bon leur sembloit. Je connois trop leur cœur pour croire qu'on...

...sonnes , ont le droit de voyager par-tout où » bon leur semble. Je connois trop leurs 9 cœurs , pour croire qu'on puisse concevoir » des inquiétudes sur les motifs de leur déi> part. » Mesdames avoient un passe-port du mîîiistre des affaires étrangères ; elles en firent...

...trop funestes à la monarchie pour que Louis XVI reconnût aux sections le droit d'en faire usage. 11 ne dit donc rien à leurs députés, et se borna à...fût, le langage du roi n'était pas de nature à câliner les esprits, et la Commune fut loin de s'en montrer satisfaite. Quant à la section de Mauconseil,...

...allocution qu'il feignit d'écouter à peine : au municipal Mullot, il dit simplement : « Je suis sensible à la démarche de la Commune. J'ai déjà répondu...concevoir des inquiétudes sur les motifs de leur voy âge (1).» Les délégués revinrent peu satisfaits, et d'autant plus mal intentionnés : l'un...

...attention fort distraite. « Monsieur, dit-il, en se tournant vers l'abbé Mulot, je suis sensible à la démarche de la commune. J'ai déjà répondu...concevoir des inquiétudes sur les motifs de leur voyage. » Cependant, sans qu'il en fit rien paraître, les démarches réitérées faites auprès du roi,...