...la langue en devenant plus décente est devenue plus pauvre. De là, la nécessité d'employer les circonlocutions timides, d'avoir recours à la lenteur...qui se condamnent à l'indigence de peur de déroger 1 . » De Rousseau date, comme tant d'autres révolutions, la rébellion du mot propre et coloré contre...

...d'être long pour ne pas être bas. Reprenant le mot de Voltaire, llelille compare le français à ces gentilshommes ruinés qui se condamnent à l'indigence de peur de déroger. Il apprécie dans la traduction le mérite qu'elle a de transporter dans la langue une foule de tour.-,...

...l'exercice des arts, ils lui ont aussi abandonné les termes qui peignent leurs opérations. De là la nécessité d'employer des circonlocutions timides,...recours à la lenteur des périphrases ; enfin d'être lony, de peur d'être bas, de sorte que le destin de notre langue ressemble assez à celui de ces gentilshommes...

...l'exercice des arts, ils lui ont aussi abandonné les termes qui peignent leurs opérations. De là la nécessité d'employer des circonlocutions timides,...se condamnent à l'indigence de peur de déroger. » Relativement aux périphrases, Sainte-Beuve émet ces intéressantes et très justes considérations...

...constatant la pauvreté de notre langue poétique, ne croit pas qu'on puisse l'enrichir : « De là, la nécessité d'employer des circonlocutions timides,...périphrases, enfin d'être long, de peur d'être bas. » Ainsi, Delille justifie les périphrases et Hugo les condamne. Sur les caractères de l'humour do...

...sont bannis comme bas : De là la nécessité d'employer des circonlocutions timides, d'avoir recourt à la lenteur des périphrases, enfin d'être long...le destin de notre langue ressemble assez à celui décès gentilshommes ruinés qui se condamnent à l'indigence plutôt que de déroger. (Dclille, Préface...

...foule d'expressions et d'images. La langue en devenant plus décente, est devenue plus pauvre. De là la nécessité d'employer des circonlocutions timides,...périphrases, enfin d'être long de peur d'être bas. » La recherche exagérée du noble, l'horreur du mot propre, le culte de la circonlocution élégante...

...Rouché, Delille même, ont dit leur embarras et leur tristesse. « Le destin de notre langue ressemble à celui de ces gentilshommes ruinés qui se condamnent à l'indigence de peur de déroger ». A l'Académie des voix s'élevèrent. Montcrif a plaidé en 1742 qu'on ne peut ni ne doit fixer une langue...